Le site de l'Assemblée nationale a publié lundi la répartition des réserves parlementaires, député par député. C'est la troisième année consécutive que cette initiative est menée.
Le président des jeunes socialistes, Benjamin Lucas, a réagi lundi soir sur BFMTV au projet de loi sur le Travail. "Faciliter les licenciements c'est de la flexibilité, ce n'est pas de la sécurité. Remettre en cause les 35 heures, c'est de la flexibilité, ce n'est pas de la sécurité. Plafonner les indemnités de licenciements, ce n'est pas de la sécurité, c'est de la flexibilité. Je ne vois pas où il y a de la sécurité aujourd'hui", a-t-il déclaré.
La maire de Paris et la présidente de la région Ile-de-France effectuaient lundi un déplacement commun au Japon. Interviewées par Ruth Elkrief, elles ont appris lundi le report de la présentation du projet de loi El Khomri.
Invité sur BFMTV ce lundi, Jean-Marie Le Guen s'est exprimé sur le report de quinze jours de la présentation en Conseil des ministres du projet de loi Travail. "C'est un report d'explication, d'écoute, d'amélioration et peut-être d'évolution sur certains points", a déclaré le secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement. Pour lui, cet ajournement permettra "un certain nombre de rencontres", entre le Premier ministre et les différents "acteurs économiques". Ce qui permettrait de "peaufiner une réforme très importante", dont il estime qu'elle a été "largement caricaturée et parfois même désinformée".
A l'origine d'une pétition contre le texte porté par la ministre du Travail Myriam El Khomri, la militante féministe fait état de 780.000 signatures ce lundi. "Ce que (ces) personnes demandent, c’est le retrait de cette loi, pas un report", insiste-t-elle.
Caroline Hass, l'initiatrice de la pétition "Loi travail, non merci!", était l'invitée d'Olivier Truchot sur BFMTV lundi soir. Sur le changement d'appellation du projet de loi travail, désormais nommé avant-projet de loi sur les nouvelles protections pour les entreprises et les salariés, la militante répond: "Lol! Changer le nom du projet de loi en nous faisant croire qu'on va changer de contenu… on nous prend juste pour des imbéciles". Selon elle le problème fondamental de ce projet de loi est sa philosophie "qui vise à réduire le droit des salariés en expliquant que ça va réduire le chômage. C'est un mythe, c'est un mensonge".
Le sondage payé par la région Paca comportant des questions sur l'exécutif local et ses adversaires politiques ne passe pas. Le FN saisit le déontologue et le PS demande que l'étude soit rendue publique.
Moins chahuté que François Hollande lors de l'inauguration du Salon de l'agriculture, Manuel Valls a tout de même été reçu, ce lundi, dans une ambiance tendue. Accompagné de Stéphane Le Foll et d’un important service de sécurité, le Premier ministre a été pris à parti par des producteurs soucieux de le sensibiliser à la crise du secteur agricole. Mais c'est le ministre de l’Agriculture qui a essuyé sifflets et quolibets à chaque prise de parole. "T'as rien compris Le Foll, va te cacher", ont lancé certains éleveurs en colère. Cette visite intervient à quelques heures de la fin des négociations commerciales entre les industriels et la grande distribution, accusés de tirer les prix vers le bas.
Le projet de loi Travail sera présenté en Conseil des ministres le jeudi 24 mars au lieu du 9 mars, date initialement prévue. Faut-il y voir une victoire de ses détracteurs?
Détracteur de la première heure de la loi Travail, Benoit Hamon a déclaré sur BFMTV lundi qu'il était important que le gouvernement et le Premier ministre reprennent leur projet de loi. Le député PS des Yvelines trouvait "incongru" que le projet el Khomri fasse l'unanimité contre lui et soit rejeté par les organisations syndicales et une grande mobilisation citoyenne "à l'exception du Medef et de la droite".
Pierre Jacquemain, qui travaillait comme "plume" de Myriam El Khomri au ministère du Travail, explique dans un entretien à L'Humanité pourquoi il a claqué la porte de la rue de Grenelle mi-février. Et tire à boulets rouges sur le projet de loi travail.
Manuel Valls a confirmé ce lundi, lors de sa visite au Salon de l’agriculture, le report de la présentation du projet de loi El Khomri en Conseil des ministres. Le chef du gouvernement a néanmoins exclu tout "recul", tout en assurant vouloir laisser du temps au dialogue. La réforme du code du travail fait déjà polémique dans l’aile gauche du PS et les syndicats qui se dressent vent debout contre le texte. Une pétition en ligne a été signée par plus de 780.000 personnes et une manifestation est prévue le 9 mars. L'exécutif tente d’apaiser les tensions car il voit grandir avec inquiétude le spectre d’une mobilisation sociale de masse.
Le parti Les Républicains a affirmé lundi, par la voix de son porte-parole Guillaume Larrivé, qu'avec le report du projet de loi sur le travail, annoncé par le gouvernement, "on assiste à l'implosion en direct de la majorité".
Le consul général de France a rendu visite à Christophe Naudin, que l'Egypte s'apprête à extrader vers la République Dominicaine.
Manuel Valls était en visite au Salon de l'agriculture ce lundi, où il a été accueilli sans violences mais dans une ambiance tendue. Sa venue a divisé parmi les agriculteurs. Certains ont été déçus, estimant que cette visite n’était qu’un coup de communication politique en vue de la présidentielle. D’autres ont discuté avec le Premier ministre de leur situation dans le contexte actuel de crise agricole et se sont sentis écoutés. Il a été néanmoins mieux reçu que le chef de l’Etat qui avait inauguré l’événement samedi, sous les sifflets et les flots d’insultes des éleveurs.
Le député LR Thierry Solère a rappelé lundi que son parti était prêt à voter en l'état la loi Travail. Le député des Hauts-de-Seine regrette l'annonce du report de la présentation du projet de loi et qu'elle soit "renvoyée aux calendes grecques". "Je crois que c'est la fin des réformateurs à gauche", en conclut-il.
Le projet de loi sur la réforme du droit du travail, dont Manuel Valls a annoncé lundi matin le report, doit désormais être présenté le jeudi 24 mars en conseil des ministres, deux semaines après la date initialement prévue.
"Le gouvernement veut se donner du temps à la fois pour répondre à un certaine nombre d'inquiétudes mais aussi pour faire la pédagogie de ce texte. Depuis le début, ce texte a été caricaturé alors qu'il contient pout moi des avancées essentielles", a réagi le député PS Christophe Caresche après l'annonce du report de la présentation de la loi Travail.
Christian Paul a assuré sur BFMTV que le report de la présentation de la loi Travail en Conseil des Ministres au 24 mars "est un aveu du manque dramatique d'écoute et de dialogue social au cours des derniers mois". "Les coups d'arrêt que nous avons voulu donner ont porté", a souligné le chef de file des frondeurs, avant d'ajouter que "ce texte doit être retiré, et nous allons continuer à demander son retrait". Le député PS de la Nièvre a tout de même jugé positif la reprise du dialogue, car "un gouvernement qui ne peut plus dialoguer avec les syndicats n'est pas un bon gouvernement".
Réagissant au report de deux semaines de la présentation du projet de loi sur le Travail, le député PS du Cher Yann Galut a déclaré sur BFMTV ce lundi qu' "en faisant ce projet de loi, Manuel Valls a commis une erreur politique, il doit maintenant la reconnaître". "Avec les syndicats, qui s'opposent à ce projet de loi, il doit trouver des voies de négociations pour que nous puissions réformer avec intelligence le code du travail, et non pas de manière sociale-libérale tel que ça nous est proposé", a-t-il ajouté.
Manuel Valls, présent au Salon de l'agriculture ce mardi, a été à plusieurs reprises pris à parti par les agriculteurs. Accompagné de Stéphane Le Foll, le Premier ministre a répondu aux agriculteurs, qui réclament des prix enfin rémunérateurs ainsi qu'une baisse des normes et des charges. Face à ces demandes, Manuel Valls a souhaité "une vraie solidarité entre les éleveurs, les producteurs et les industriels".
Dimanche, Martine Aubry et ses proches ont annoncé qu’ils ne feraient plus partie de la direction du PS. Des déclarations qui soulignent un peu plus les fractures du parti, et laissent craindre une rupture toute proche.
Le report de l'examen de la loi n'est pas un recul, mais une manière de se donner "une marge supplémentaire pour approfondir le dialogue", dit le gouvernement.
Après la déclaration de la ministre de l'Ecologie, "prête" à prolonger de 10 ans la vie des centrales nucléaires françaises, les responsables d'EELV crient au scandale.
Valérie Pécresse a répondu aux questions de BFMTV lors de son déplacement au Japon avec la maire de Paris, Anne Hidalgo. La présidente "Les Républicains" de la région Île-de-France a expliqué qu'elle voterait en faveur de la loi Travail si elle était encore députée. La loi comporte selon elle "un certain nombre d'avancées" nécessaires pour endiguer le chômage.
Interviewée par BFMTV lors d'un déplacement au Japon lundi, la maire socialiste de Paris Anne Hidalgo a appris le report de la présentation de la loi Travail en conseil des ministres. Rappelant qu'elle n'a pas signé la tribune critiquant cette loi comme d'autres élus socialistes, elle affirme toutefois avoir "beaucoup de points d'accord avec elle", car en l'état, la loi est "déséquilibrée".
Le candidat déclaré à la primaire à droite va passer trois jours au Salon de l'agriculture. Lundi matin, lors du premier jour de son marathon, Bruno Le Maire est tombé sous le charme d'un coq de race hollandaise. "Fais une petite déclaration à la presse ça m'évitera de dire des bêtises", a lancé l'ancien ministre de l'Agriculture.
Bruno Le Maire, présent au Salon de l'agriculture ce lundi, a affirmé que "François Hollande ne s'est pas occupé des paysans français depuis le début de son quinquennat". "Aucune décision n'a été prise pour accompagner les producteurs", a dénoncé l'ancien ministre de l'Agriculture. Pour lui, "François Hollande a payé ça au cours de sa visite". "Il y a une colère profonde du monde paysans, parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils vont devenir en France", a-t-il conclu.
Manuel Valls a annoncé lundi le report d'une "quinzaine de jours" de la présentation en conseil des ministres du projet de loi sur le Travail. Rappelant la "très grande détermination" du gouvernement, le Premier ministre a assuré vouloir "lever les incompréhensions". "C’est par la discussion, le dialogue qu’on fait avancer les choses", a-t-il déclaré depuis le Salon de l'agriculture.
Chahuté au Salon de l’agriculture samedi, François Hollande a dû affronter la colère des agriculteurs sous les huées. Une altercation directe qui pose question sur la sacralisation de la fonction présidentielle.
Le Premier ministre confirme le report d'une "quinzaine de jours" de la présentation du projet de loi El Khomri en conseil des ministres.
Dominique Reynié, ex-tête de liste Les Républicains pour les élections régionales en Midi-Pyrénnées-Languedoc-Roussillon, a affirmé ce lundi matin sur BFMTV que "les 35 heures étaient une erreur historique que l'on n'a pas encore réparé". "La fin des 35 heures est programmée aujourd'hui par un espèce de consensus général sur le fait que c'est une grande erreur et que cette loi n'aurait jamais dû voir le jour", a soutenu celui qui a lancé, vendredi, une contre-pétition pour soutenir la Loi Travail, portée par Myriam El Khomri. Pour Reynié, "il y a une série de décisions qui ont été prises en France et dont on ne sait pas comment se tirer aujourd'hui".
Le ministre de l’Agriculture a été pris à partie par des éleveurs ce lundi, alors qu’il accompagnait Manuel Valls au Salon de l’agriculture.
Les éleveurs ont réservé un accueil tendu mais sans violence à Manuel Valls au Salon de l'Agriculture, soucieux d'attirer son attention sur la grave crise qu'ils traversent deux jours après l'inauguration ponctuée de sifflets et d'insultes par le chef de l'Etat.
Alors que le projet de loi sur la réforme du travail, porté par Myriam El Khomri, fait face à un feu nourri de critiques dans son propre camp politique, le texte a reçu un soutien aussi inattendu qu’embarrassant pour le gouvernement: celui d'un ex-candidat Les Républicains aux élections régionales. Dominique Reynié, auteur d'une contre-pétition, est venu s'en expliquer, ce matin, sur notre antenne.
Le Premier ministre Manuel Valls est allé à la rencontre des éleveurs, lundi matin au Salon de l’agriculture, pour évoquer avec eux la crise du secteur agricole. "Par principe, l'insulte, la destruction, ça ne fait pas avancer les choses", a-t-il déclaré. "Il y a urgence, donc il faut essayer maintenant d'avancer, c'est ce que nous faisons. C'est ce message de confiance que je suis venu dire", a-t-il ajouté. Manuel Valls a également appelé "chacun à assumer ses responsabilités". "Tous les secteurs des filières doivent se mettre en mouvement", a conclu le Premier ministre.
Le ministre de l’agriculture qui accompagnait Manuel Valls ce lundi au Salon de l’agriculture a été pris à partie par des éleveurs. "T’as rien compris le Foll, va te cacher", lancent les agriculteurs au passage du ministre. Stéphane Le Foll est également hué.
Accueilli dans le calme au Salon de l'agriculture 2016, Manuel Valls a eu plusieurs échanges tendus avec des agriculteurs dont l'un a exprimé son agacement face aux visites médiatiques des politiques dans les allées du Salon. "Si on ne vient pas, on est des trouillards, et si on vient on se pavane?", a répondu sèchement le Premier ministre, soulignant que "cela ne fait pas avancer le schmilblick".
Le ministre de l’agriculture présent avec Manuel Valls au Salon de l’agriculture ce lundi s’est fait hué par quelques agriculteurs lorsqu’il a tenté de prendre la parole. Leur visite intervient deux jours après celle de François Hollande, chahuté à l’ouverture du salon.
Manuel Valls s’est rendu ce lundi matin au Salon de l’agriculture deux jours après la visite mouvementée de François Hollande, chahuté par les agriculteurs. Dialoguant avec un éleveur, le Premier ministre a appelé à une solidarité entre tous les acteurs des filières, des industriels aux agriculteurs.
