Réserve parlementaire: comment votre député a dépensé son enveloppe?
Le site de l'Assemblée nationale a publié lundi la répartition des réserves parlementaires, député par député. C'est la troisième année consécutive que cette initiative est menée.
Le site de l'Assemblée nationale a publié lundi la répartition des réserves parlementaires, député par député. C'est la troisième année consécutive que cette initiative est menée.
Invité sur BFMTV ce lundi, Jean-Marie Le Guen s'est exprimé sur le report de quinze jours de la présentation en Conseil des ministres du projet de loi Travail. "C'est un report d'explication, d'écoute, d'amélioration et peut-être d'évolution sur certains points", a déclaré le secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement. Pour lui, cet ajournement permettra "un certain nombre de rencontres", entre le Premier ministre et les différents "acteurs économiques". Ce qui permettrait de "peaufiner une réforme très importante", dont il estime qu'elle a été "largement caricaturée et parfois même désinformée".
14 parlementaires Les Républicains et trois UDI ont co-signé une tribune de soutien à la réforme du code du travail portée par Myriam El Khomri.
Le Sénat à majorité de droite proposera d'inscrire dans la Constitution que la déchéance de nationalité ne pourra pas créer d'apatrides. Le Sénat examine début mars le projet de réforme annoncé après les attentats.
Les parlementaires français, comme leurs homologues européens, ont un accès restreint digne d'un James Bond aux négociations en cours sur le traité transatlantique. Mercredi, le député Jean-Frédéric Poisson, qui a pu consulter une partie du texte, s'en est ému à l'Assemblée nationale.
Le nouveau gouvernement assistait mardi à ses premières questions à l'Assemblée nationale. Jean-Vincent Placé s'est fait remarquer pour son retard, Jean-Michel Baylet pour sa maîtrise de l'exercice et Manuel Valls a défendu contre les critiques la "cohérence" de son action.
Des victimes et des proches des victimes des attentats du 13 novembre ont été auditionnés lundi à l'Assemblée nationale. Ils ont livré des témoignages douloureux, exprimé des dysfonctionnements et défendu les valeurs auxquelles ils tenaient.
Si le texte a été approuvé par les députés mercredi soir, il doit désormais être présenté au Sénat, majoritairement à droite. Et les sénateurs Les Républicains disent déjà leur intention de ne pas voter le projet de loi en l'état. Explications.
L'Assemblée a voté le projet de révision constitutionnelle annoncé par François Hollande après les attentats du 13 novembre.
Après plusieurs semaines de débat sur la révision constitutionnelle, le vote des députés à l'Assemblée Nationale se cristallise autour du principe de déchéance de nationalité.
Au coeur de la polémique autour de la réforme constitutionnelle, l'article 2 prévoyant la déchéance de nationalité, dont la référence à la binationalité a été gommée, a été adopté par une très courte majorité.
L'Assemblée nationale, où chaque camp est divisé, poursuit mardi les débats sur la révision constitutionnelle post-attentats.
C'est la voix tremblante que le député UDI Charles de Courson a évoqué son père et son grand-père pour expliquer sa position sur la déchéance de nationalité, lundi soir, lors de l'examen de la révision constitutionnelle.
La députée EELV de Paris est très investie dans les débats autour de la révision constitutionnelle. Après s'être opposée à Manuel Valls, elle s'est écharpée avec Claude Bartolone.
Dans un hémicycle boudé par les députés, l'Article 1 de la réforme constitutionnelle, prévoyant l'inscription de l'état d'urgence dans la Constitution, a été adopté à la majorité. Comme actuellement, seul le Parlement pourra proroger l'état d'urgence au-delà des douze jours initiaux.
Une passe d'armes entre Manuel Valls et Cécile Duflot a eu lieu vendredi à l'Assemblée au sujet de la la déchéance de nationalité.
L'un des principaux articles de la proposition de loi sur la sûreté dans les transports publics, qui concernait le harcèlement sexiste dans les transports, a été supprimé lors de son examen au Sénat.
Si le gouvernement semble avoir apaisé la colère d'une majorité de députés socialistes sur la question de la déchéance de nationalité, ils sont de plus en plus nombreux à droite à rejeter le projet, notamment au Sénat. Le texte arrivera-t-il devant le Congrès?
L'avant-projet de loi d'application de la réforme constitutionnelle concernant la déchéance de nationalité n'a pas du tout plu aux députés PS mardi. Certains dénoncent même un "subterfuge" du gouvernement pour ne toucher en réalité que les binationaux. Manuel Valls pourrait apporter de nouvelles modifications avant le Conseil des ministres mercredi.