Si le port du masque n'est plus obligatoire à partir de ce lundi dans les lieux soumis au pass vaccinal, certains patients atteints de cancers ou greffés s'inquiètent et appellent à son maintien.
Une recombinaison des variant Delta et Omicron a été repérée sur une dizaine de personnes, selon Santé publique France.
Bars, restaurants, salles de concert... Le port du masque n'est plus obligatoire dans les lieux soumis au pass vaccinal. Mais il ne disparaît pas totalement.
Le gouvernement a évoqué un passage sous le seuil des 1500 malades en soins critiques d'ici mi-mars parmi les critères pour lever tout ou partie du pass vaccinal en vigueur depuis un mois.
C'était il y a deux ans. Le 26 février 2020, un premier français décédait du Covid-19. Vous l'avez vécu sur BFMTV.
Un enfant est mort et une dizaine de contaminations graves à la bactérie ont été relevées chez des enfants de 1 à 15 ans depuis début février. Aucune piste n'est pour l'instant privilégiée.
Pour le ministre de la Santé islandais, la voie de sortie de l'épidémie se trouve dans "la résistance généralisée" au virus, qui pourra être atteinte grâce à l'infection du "plus grand nombre possible de personnes".
"L’épidémie de BA.2 ralentit la décroissance des cas sans toutefois générer un rebond épidémique important", écrit l'institut de recherche dans ses modélisations, qui courent jusqu'au 1er avril.
Le géant pharmaceutique français Sanofi a annoncé mercredi 23 février des résultats positifs à grande échelle pour son vaccin anti-Covid, développé avec le britannique GSK. Un projet qui aboutit ainsi avec près d’un an de retard.
Cette proposition de loi, dont le parcours a commencé en août 2020, doit passer en lecture définitive ce mercredi à l'Assemblée nationale, avant la suspension des travaux parlementaires.
"Nous ne voyons pas de différence en termes de gravité entre BA.1 comparé à BA.2", a expliqué une responsable de l'OMS.
Ce mardi devant le Sénat, le ministre de la Santé Olivier Véran, a évoqué les seuils qui décideront de la levée future du pass vaccinal. Vers quelle date cela pourrait-il se produire ?
Ces derniers mois, plusieurs hôpitaux et pompiers se sont laissés tenter par un petit boîtier en forme de cœur qui réconforte les bébés hospitalisés contraints d'être séparés de leurs parents, en simulant leur présence.
Auditionné ce mardi au Sénat, le ministre de la Santé Olivier Véran a indiqué qu'il faudrait par exemple "que l'on redescende aux alentours de 1500 patients Covid en réanimation".
Auditionné devant le Sénat ce mardi matin, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a évoqué les seuils qui décideront de la levée du pass vaccinal. "On pourra ainsi considérer que le pic de l'épidémie sera vraiment passé, avec un retour à la normale dans les hôpitaux, quand le nombre de personnes en réanimation sera passé sous les 1500 patients", a expliqué le ministre de la Santé Olivier Véran, ce qui pourrait arriver d'ici deux ou trois semaines selon lui. Il faut également "que le facteur R soit durablement inférieur à 1" et que le taux d'incidence soit entre 300/500 "au plus fort pour pouvoir considérer qu'on a passé le plus dur", a-t-il déclaré. Cela pourrait arriver "d'ici deux à trois semaines aussi".
La vague épidémique du Covid-19 poursuit son déclin en France, confirmant une tendance engagée depuis plusieurs semaines. Devant cette baisse, le gouvernement a prévu la levée des restrictions mi-mars.
Tandis que la rentrée des écoliers en zone B est marquée par l'assouplissement du protocole sanitaire à l'école élementaire et maternelle, les contaminations au Covid-19 continuent de chuter dans tous les départements français.
Depuis plusieurs semaines, les indicateurs sont en déclin. Au cours des dernières 24 heures, 17.195 nouveaux cas ont été enregistrés.
Ces tests sont notamment utilisés dans les écoles. La Haute autorité de santé s'oppose toujours à leur remboursement.
Les enfants de la zone B, pour qui ce lundi marque la fin des vacances d'hiver, pourront notamment retirer le masque dans la cour de récréation.
Ce lundi marque le retour à l'école des élèves de la zone B. En cette rentrée, le protocole sanitaire est allégé: le port du masque n'est plus obligatoire en extérieur et donc pendant la récréation, mais le reste en classe.
1,14 million de doses du sérum, le cinquième autorisé dans le pays, seront livrées dans les prochains jours.
La DREES note dans son dernier rapport une baisse globale du nombre de cas positifs, et une diminution des patients hospitalisés pour Covid-19. Les personnes non vaccinées représentent encore une part importante des malades.
Le risque de développer un trouble mental est plus élevé après avoir contracté le Covid-19, assure une étude américaine. Les auteurs de la publication demandent, dans ce contexte, plus de considérations pour le Covid long.
Les dernières modélisations publiées par l'institut Pasteur laissent entrevoir une baisse importantes des hospitalisations - conventionnelles et en soins critiques - pour Covid-19 jusqu'au début du mois de mars.
L'étude pointe de très fortes disparités régionales: les régions ultramarines, Paca et la Corse enregistrant la plus forte proportion de femmes enceintes non vaccinées.
Dès la mi-mars, le masque pourrait ne plus être obligatoire dans les écoles, les transports les entreprises. C’est en tous cas ce qu’a annoncé le ministre de la santé Olivier Véran mais certains ont d’ores et déjà décidé: ils ne le retireront pas.
BioNTech va envoyer dans des pays d'Afrique des usines en kit pour produire le vaccin contre le Covid-19. Une mesure qui doit permettre d'améliorer la situation du continent le moins vacciné au monde.
Le président du Conseil scientifique a estimé que "nous sommes en train d'en finir avec Omicron".
Deux ans après le premier cas de Covid en Suisse, le pays s'apprête à retrouver une certaine normalité, avec la levée de presque toutes les mesures. Seuls sont maintenus jusqu'à fin mars le masque dans les transports publics et les établissements de santé et l'isolement des malades pendant 5 jours.Dès minuit mercredi, l'accès aux magasins, aux restaurants, aux établissements culturels, aux établissements ouverts au public et aux manifestations est à nouveau possible sans masque, ni certificat Covid.
Bruno Megarbane, chef du service de réanimation à l'hôpital Lariboisière de Paris, était l'invité de BFMTV ce mercredi soir.
Le nombre de contaminations est également en diminution, même s'il reste à un niveau élevé.
Depuis le 12 février, l'exécutif a allégé son dispositif de contrôle aux frontières, surtout pour les voyageurs vaccinés.
Pour qu'une infection au Covid-19 vienne remplacer une dose de rappel, elle doit intervenir au moins trois mois après la dernière injection, souligne la Direction générale de la santé.
La Haute autorité de santé émet ce mercredi de nouvelles recommandations face à ces objets, présentant la rapidité de réaction en cas d'ingestion comme "essentielle".
Ce mercredi matin, Olivier Véran a indiqué auprès de France Info que l'obligation du port du masque en intérieur pourrait être levée à la "mi-mars", si les conditions sanitaires pour un tel allègement sont remplies. Les médecins mettent en garde contre un relâchement trop précoce ou trop large.
Comme tous les jours, notre journaliste Roselyne Dubois répond à vos questions dans le Live Toussaint sur BFMTV.
Invité ce mercredi matin de la matinale de France Info, le ministre de la Santé a fixé un horizon "probable" à la levée de l'obligation du port du masque en intérieur, transports en commun et entreprises compris. Elle pourrait intervenir d'ici la mi-mars si les "conditions sont réunies", a précisé Olivier Véran.
Alors que la circulation du Covid-19 décroit, l'infectiologue a alerté ce mercredi sur BFMTV-RMC sur l'abandon des gestes barrières, alors que l'épidémie pourrait rebondir dans les semaines à venir.
Interrogé sur France Info sur la question du port du masque en intérieur, Olivier Véran a ouvert la porte à une levée de l'obligation "à la mi-mars", soit 15 jours après sa levée dans les lieux soumis au pass vaccinal.
Interrogé sur France Info sur la question du port du masque en intérieur, Olivier Véran a ouvert la porte à une levée de l'obligation "à la mi-mars", soit 15 jours après sa levée dans les lieux soumis au pass vaccinal. "Une décision politique", estime le Pr Gilles Pialoux sur notre antenne.
Le professeur Gilles Pialoux, chef du services des maladies infectieuses à l'hôpital Tenon (APHP) à Paris était l'invité d'Apolline de Malherbe, ce mercredi sur BFMTV et RMC.
Le Pr Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital Tenon à Paris, était l'invité ce mercredi d'Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC.
Le professeur Gilles Pialoux, chef du services des maladies infectieuses à l'hôpital Tenon (APHP) à Paris était l'invité d'Apolline de Malherbe, ce mercredi sur BFMTV et RMC.
C'est une nouvelle vague de levée des restrictions qui attend les Français ce mercredi. Réouverture des discothèques, reprise de la consommation au comptoir dans les bars et des concerts debout: le retour de la vie normale se poursuit.
Les Français, trop sédentaires? C'est le principal résultat d'une étude menée par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). D'après les experts, 95% des Français sont en "insuffisance d'activité physique". L'Anses estime même que 38% des adultes se trouvent en position de "sédentarité" assise ou couchée passive plus de huit heures par jour. Pour les Français les moins actifs, cela augmente le risque de mortalité de 40%.
Elle avait fugué, elle a fumé du crack, mais sa mère l’a retrouvée. Âgée de 14 ans et originaire de Saint-Brieuc, Endy a fugué de chez ses parents le 17 janvier dernier. Elle a été retrouvée ce lundi dans le campement de consommateurs de crack, porte de la Villette à Paris. Sa mère témoigne au micro de BFMTV.
La prise d'antirétroviraux pour lutter contre le VIH quatre jours par semaine serait aussi efficace que de les prendre tous les jours selon une récente étude. Une découverte qui pourraît faire baisser les coûts du traitement.
Les chercheurs pensent que cette protection vient notamment d'un transfert d'anticorps contre le virus entre une mère enceinte et son bébé.
Selon des chercheurs de l'université de l'Iowa (États-Unis), la pratique d'un exercice physique juste après la vaccination permet d'augmenter le taux d'anticorps.
