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Rama Yade: la procédure d'exclusion "s'arrêterait si je retirais ma plainte en justice"

Rama Yade: la procédure d'exclusion "s'arrêterait si je retirais ma plainte en justice"

Rama Yade était l'invitée de BFMTV vendredi, l'occasion pour elle de s'exprimer sur son exclusion du Parti radical. L'ancienne secrétaire d'État de Nicolas Sarkozy a estimé que les reproches qui lui sont faits par son parti ne sont pas justifiés. Pour elle, son exclusion est due à la plainte qu'elle a déposée à l'encontre de Laurent Hénart, le Présidence du Parti radical. Rama Yade l'a accusé d'avoir organisé une fraude lors de son élection en juin 2014. Elle affirme que la procédure d'exclusion aurait pu s'arrêter si elle avait retiré sa plainte: "il m'a été dit que si la procédure s'arrêterait, si je retirais ma plainte en justice".

Fabius: Bachar al-Assad est "le principal responsable du désastre syrien"

Fabius: Bachar al-Assad est "le principal responsable du désastre syrien"

Laurent Fabius, a participé à la réunion internationale sur la Syrie, à Vienne, vendredi. Le ministre français des Affaires étrangère s'est exprimé après les huit heures de négociations: "La France fait tout ce qu’il faut pour arriver à la paix." Le ministre a réaffirmé la position de la France concernant Bachar al-Assad, le dirigeant syrien :" Pour nous, les choses sont claires, il est le principal responsable du désastre syrien, et donc il n'est pas question qu'il soit le futur de la Syrie". Laurent Fabius a confirmé qu'il restait encore des points de désaccord. Une nouvelle réunion internationale sera organisée dans deux semaines.

A Béziers, Morano drague les déçus du parti LR et les sympathisants FN

A Béziers, Morano drague les déçus du parti LR et les sympathisants FN

Nadine Morano s'est déplacée à Béziers, ce jeudi, pour un discours multipliant les appels de pieds pour rallier à sa cause les déçus du parti Les Républicains et sympathisants du Front national. Celle qui s'est vue retirer de la campagne des élections régionales en Meurthe-et-Moselle, réitère ses propos sur la "race blanche" à qui veut l'entendre. Entre phrases solennelles et piques à Nicolas Sarkozy faisant rire la salle, la députée européenne soigne son show pour convaincre sur son Rassemblement pour le peuple de France.

Sarkozy cherche à représidentialiser son image

Sarkozy cherche à représidentialiser son image

Nicolas Sarkozy a accordé ce jeudi soir une interview à BFMTV en direct de Moscou, après un long tête-à-tête avec Vladimir Poutine. En stagnation dans les sondages, l'ancien chef de l'État cherche à représidentialiser son image. "Pour lui, c'était très important de donner une autre image que celle du bateleur dans les meetings, qui utilisait notamment des expressions très dénoncées comme la fuite d'eau", a expliqué Ruth Elkrief, qui a mené l'interview.

Sarkozy ressort la stratégie du ni-ni pour les élections régionales

Sarkozy ressort la stratégie du ni-ni pour les élections régionales

En direct sur BFMTV depuis Moscou ce jeudi soir, Nicolas Sarkozy a remis en avant la stratégie du ni-ni pour les prochaines élections régionales. "Ni rapprochement, ni front républicain. Chacun prendra ses responsabilités et analysera les résultats au premier tour (…) Même vu de Moscou, je ne me rapproche pas de François Hollande", a affirmé l'ancien chef de l'État. Pour la gauche, il s'agit d'une position ambiguë vis-à-vis du Front national.

En Lorraine, François Hollande s’invite à boire un café chez Lucette

En Lorraine, François Hollande s’invite à boire un café chez Lucette

En déplacement en Lorraine ce jeudi, François Hollande a passé un long moment au contact de la population. En fin d’après-midi, le président de la République est allé prendre le goûter à Vandoeuvre, chez Lucette, 69 ans. Dans son coquet 46 m2, l’habitante avait préparé du café pour son invité. Le chef de l’État l’a interrogée sur ses conditions de vie, de son loyer au confort de son appartement, ce à quoi cette dernière lui a répondu avec humour: "C'est bon, comme il faut… Je ne vous demanderai pas de chèque."

Le Guen: le ni-ni de Sarkozy "est une position sectaire, cynique et irresponsable"

Le Guen: le ni-ni de Sarkozy "est une position sectaire, cynique et irresponsable"

Jean-Marie Le Guen était l'invité d'Apolline de Malherbe vendredi matin sur BFMTV et RMC et a réagi aux propos de Nicolas Sarkozy, jeudi soir en direct de Moscou sur BFMTV. Le président du parti Les Républicains a prévenu qu’il n’y aurait ni rapprochement, ni front républicain avec la gauche aux prochaines élections régionales. "C'est une position sectaire, cynique et irresponsable. Il faudra bien que Les Républicains se rassemblent pour faire front contre le Front national", a affirmé le secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement.

Nicolas Sarkozy à Ruth Elkrief: "Vous me voyez comme un drogué, quoi"

Nicolas Sarkozy à Ruth Elkrief: "Vous me voyez comme un drogué, quoi"

Depuis Moscou, Nicolas Sarkozy a donné, ce jeudi soir, une interview à BFMTV. Ruth Elkrief lui a demandé si lorsqu'on a été président de la République, on ne peut pas se passer de le redevenir. "Vous me voyez comme un drogué, a répondu le chef de file des Républicains. Quelqu'un qui ne peut pas débrancher comme cela, une espèce de frénétique. Je n'y peux rien, j'ai la France en moi, cela me passionne. J'avais une responsabilité, un devoir, j'ai choisi de revenir pour redresser ma famille politique", a déclaré l'ancien chef de l'Etat.

Sarkozy "n'aurait pas tenu" les propos de Guaino sur Marion Maréchal-Le Pen

Sarkozy "n'aurait pas tenu" les propos de Guaino sur Marion Maréchal-Le Pen

Nicolas Sarkozy a accordé à BFMTV, ce jeudi, une longue interview depuis Moscou où il a rencontré le président russe Vladimir Poutine. Interrogé sur les propos de Henri Guaino, qui se dit prêt à travailler avec Marion Maréchal-Le Pen, l'ancien chef de l'Etat a seulement affirmé qu'il "n'aurait pas tenu" lui-même ces propos. Mais le chef de file du parti Les Républicain a tout de même manifesté son soutien au député des Yvelines: "il a dit beaucoup de choses que j'approuve, comme le fait qu'il n'accepterai jamais d'être dans une majorité avec le Front National".

Sarkozy: "Bachar al-Assad ne peut pas représenter l'avenir de la Syrie"

Sarkozy: "Bachar al-Assad ne peut pas représenter l'avenir de la Syrie"

Nicolas Sarkozy a donné, ce jeudi, une longue interview à Ruth Elkrief sur BFMTV depuis Moscou. Le chef de file des Républicains a rencontré le président russe et a évoqué la situation en Syrie. "J'ai dit à monsieur Poutine que nous avions un ennemi commun qui s'appelait Daesh. Les bombes russes, comme les bombes européennes, américaines, françaises doivent tomber sur ces barbares de Daesh et non pas sur l'opposition nationale. Bachar al-Assad ne peut pas représenter l'avenir de la Syrie, en revanche le parti Baas, la minorité alaouite, peut-être même l'entourage et les amis de Bachar al-Assad doivent être appelés à la réconciliation de la Syrie. La Syrie ne se reconstruira pas sans les Syriens", a-t-il déclaré.

Nicolas Sarkozy: "Il n'y a qu'un seul président de la République, c'est François Hollande"

Nicolas Sarkozy: "Il n'y a qu'un seul président de la République, c'est François Hollande"

Nicolas Sarkozy en déplacement en Russie, a répondu aux questions de Ruth Elkrief sur BFMTV depuis Moscou. Il s'est défendu de vouloir prendre la place de François Hollande en parlant de sa rencontre avec Vladimir Poutine et a justifié son déplacement dans la capitale russe: "il est de mon devoir et de ma responsabilité de contribuer à défendre les industries françaises et la position française". L'ancien chef de l'État s'en est pris directement à François Hollande tout en gardant le respect dû à la fonction: "Il n'y a qu'un seul président de la République c'est François Hollande, il mène une politique que je combats, je n'en dirais pas un mot de l'étranger." Nicolas Sarkozy a par ailleurs affirmé que "nous avons besoin d'un accord loyal et franc avec la Russie".

Nicolas Sarkozy depuis la Russie: "Je ne me résous pas à ce climat de Guerre froide inutile"

Nicolas Sarkozy depuis la Russie: "Je ne me résous pas à ce climat de Guerre froide inutile"

En déplacement en Russie, l'ancien chef de l'Etat a accordé à BFMTV un entretien exclusif. L'occasion pour Nicolas Sarkozy de revenir sur la différence de point de vue entre la Russie et la France dans le dossier Syrien. Le président du parti Les Républicains a déclaré que " Le monde a tellement de problème à gérer. Est-ce qu'on a besoin en plus de se rajouter une nouvelle Guerre froide". Le chef des Républicains a par ailleurs estimé qu'"on peut parler avec les dirigeants russes et notamment Vladimir Poutine".