L'ancien président de la république, Nicolas Sarkozy, a rencontré le président russe, Vladimir Poutine, près de Moscou jeudi. L'ancien chef de l'État a déclaré que "le monde a besoin de la Russie, et que le Russie et l'Europe sont faites pour travailler ensemble". Le président du parti Les Républicains s'est dit "très content d'être de nouveau ici" et a souligné que malgré leurs désaccords: "j'ai toujours su trouver les voies d'un bon compromis".
Alain Juppé a publié jeudi une note de blog dans laquelle il fait allusion à la visite de Nicolas Sarkozy à Moscou.
Le premier centre de Service militaire volontaire a ouvert ses portes en Lorraine. Avec un encadrement militaire, les jeunes vont recevoir une formation professionnelle. Pour François Hollande, il s'agit aussi d'une "formation humaine".
Alors que Nicolas Sarkozy est en Russie, notamment pour rencontrer Vladimir Poutine, les critiques se font entendre depuis la France. Après Bruno Le Roux, le patron des députés PS mercredi, c'est le Premier ministre qui demande au président des Républicains de ne pas critiquer la politique de la France hors des frontières.
Le président russe et le président du parti Les Républicains s'entretiennent de la guerre en Syrie mais aussi des relations franco-russes après avoir échangé les amabilités d'usage devant les médias, en préambule.
La ministre de la Justice, Christiane Taubira, a vivement réagi, jeudi sur BFMTV, aux propos d'Henri Guaino qui a qualifié certains magistrats de "psychopathes" ou "d'aveugler par leur idéologie". "C'est absolument indigne d'un parlementaire. Il doit se hisser à la dignité de sa charge. Un tel propos est déjà inacceptable de la part d'un citoyen ordinaire, de la part d'un parlementaire, c'est tout simplement scandaleux et honteux", s'est-elle offusqué.
Christiane Taubira a commenté, jeudi sur BFMTV, les événements dramatiques qui ont eu lieu à Melun dans la matinée. Le bâtonnier du Tribunal a été touché par des coups de feu tirés par un avocat dans son bureau, l'homme c'est ensuite suicidé. "Notre responsabilité c'est de s'assurer que les sites judiciaires sont correctement sécurisés. Les avocats sont une profession libérale nous allons réfléchir ensemble pour dire s'ils considèrent qu'en toutes circonstances les avocats doivent faire l'objet d'un contrôle", a-t-elle indiqué.
La ministre de la Justice a réagi au drame qui s'est déroulé jeudi matin au tribunal de Melun. "Il nous faut savoir exactement ce qui s’est passé", a martelé la garde des Sceaux.
La tête de liste FN en Nord-Pas-de-Calais-Picardie a rencontré plus de 200 personnes en trois jours, qui aspirent à se présenter sur ses listes aux régionales. Le but? Eviter les candidats dont les paroles ou les blagues douteuses pèseraient sur sa candidature.
Brouillée avec la chef de file du parti Les Républicains aux régionales depuis 2010, l'ex-secrétaire d'Etat de Nicolas Sarkozy est visée par une procédure d'exclusion du parti radical, dont elle avait tenté de prendre la tête en 2014.
Nicolas Sarkozy a tenu une conférence ce jeudi matin devant des étudiants de l’Institut d’État des relations internationales de Moscou. "Il faut choisir le rapprochement et le dialogue", a-t-il déclaré, faisant allusion aux relations diplomatiques entre les deux pays. "Nous ne devons à aucun prix accepter une nouvelle guerre froide", a ajouté l’ancien chef de l’État.
Henri Guaino était l'invité d'Apolline de Malherbe jeudi matin sur BFMTV et RMC. La veille, à la même place, Marion Maréchal-Le Pen avait cité d'elle-même le nom du député LR comme quelqu’un avec qui elle se verrait bien travailler. "S'il s'agit de faire un rapport, une mission, oui. C'est quelqu'un que je respecte (Au contraire) je crains que le caractère de Marine Le Pen soit un peu dissuasif, indépendamment de sa fonction", a répondu le député Les Républicains.
Invité d'Apolline de Malherbe jeudi matin sur BFMTV et RMC, Henri Guaino a réagi aux déclarations de Manuel Valls qui a affirmé qu'"il est hors de question de laisser le Front national gagner une région ", proposant ainsi un front républicain. "Ça fait le jeu du Front national parce que c'est ce qu'on appelait l'UMPS", a rétorqué le député du parti Les Républicains.
Henri Guaino était l'invité d'Apolline de Malherbe jeudi matin sur BFMTV et RMC. Le député Les Républicains avait affirmé la veille à l'Assemblée nationale que certains magistrats étaient "des psychopathes et des pervers". "Le syndicalisme dans la magistrature est une calamité. Je pense qu'il faut, par référendum, interdire le syndicalisme dans la magistrature", a affirmé l'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, condamné la semaine dernière pour outrage à magistrat.
Nicolas Sarkozy tient une conférence ce jeudi matin devant des étudiants de l’Institut d’État des relations internationales de Moscou. L’ancien chef d’État va rencontrer à la mi-journée Vladimir Poutine pour la troisième fois depuis qu’il a quitté l’Élysée. Cette visite "pour maintenir le dialogue" fait grincer des dents la majorité.
Henri Guaino, député Les Républicains des Yvelines, était jeudi matin l'invité d'Apolline de Malherbe sur BFMTV et sur RMC.
La vengeance de Nadine Morano a commencé. En séance plénière au Parlement européen, celle qui a été évincée par son parti Les Républicains, pour les élections régionales à cause de ses propos sur la "race blanche", réitère et tacle son ancien mentor Nicolas Sarokzy sur l'immigration. "Le discours de Viktor Orban a été le plus courageux. Nicolas Sarkozy est venu dire son discours, c'est la répétition de ce que j'entends depuis des années, donc rien de nouveau sous le soleil", a déploré la députée européenne.
Sur sa page Facebook, une élue municipale d'Indre-et-Loire, apparentée Les Républicains, a comparé la ministre de la Justice à un singe. L'antenne locale de SOS Racisme a annoncé son intention de porter plainte.
Pas moins de huit meetings du Parti socialiste attendent le Premier ministre d'ici le premier tour des élections régionales, le 6 décembre.
Le président des Républicains rencontre jeudi le président russe Vladimir Poutine au Kremlin. Il sera accompagné de plusieurs de ses anciens ministres.
Au menu de ce mercredi 28 octobre, un téléphone ultra-sécurisé pour François Hollande et Angela Merkel, le débat sur la taxe tampon fait des remous, et Jean-Vincent Placé plagié par Beyoncé. Du lundi au jeudi, le PoliticoZap est un rendez-vous décalé sur l’actualité politique. Découvrez les images, les vidéos, les petites phrases, les polémiques du jour.
La carte de vote de la présidente du FN aurait été utilisée huit fois en son absence. Le groupe PPE a demandé une enquête.
Anne Hidalgo est revenue mercredi soir sur les propos de Manuel Valls qui a scandé qu'il était "hors de question" de laisser le FN remporter une région. La maire de Paris juge que la situation aujourd'hui est "dramatique".
Anne Hidalgo était l'invitée de BFM Story mercredi soir. La maire de Paris en a profité pour revenir sur les propos de Manuel Valls qui a demandé de "tout faire" pour barrer la route au Front national. "Nous sommes dans une situation dramatique, vous imaginez ce que ça signifie d'avoir le Front national aux portes du pouvoir dans les régions et peut-être au-delà, dans un pays qui est le pays de la déclaration universelle des droits de l'Homme". Elle considère que l'accès au pouvoir du FN serait "un message de fermeture". La maire socialiste estime que si le Front National remporte une région, se serait une "mauvaise nouvelle, un signal négatif envoyé par la France"
Le député des Yvelines, Henri Guaino, s'en est pris à certains magistrats mercredi à l'Assemblée nationale. L'élu a dénoncé une "justice qui ne mérite plus son nom". Manuel Valls lui a demandé de reprendre "ses esprits".
Bruno Odos, l'un des deux pilotes qui se sont échappés de République dominicaine, a témoigné mercredi sur BFMTV. L'ancien militaire n'avait pas participé à la conférence de presse organisée mardi par ses avocats en présence de l'autre pilote Pascal Fauret. Bruno Odos s'est voulu combatif: "je n'ai pas peur à partir du moment où je n'ai rien à me reprocher" mais il admet rester "prudent et attentif à tout ce qui se passe ". Le pilote demande que "sa vérité soit entendue" par la justice et il reste persuadé qu'elle servira à l'enquête.
La tête de liste PS pour les élections régionales en PACA, Christophe Castaner, a réagi mercredi sur BFMTV aux déclarations de Manuel Valls. Selon le chef du gouvernement, "tout devra être fait pour empêcher" des victoires du FN aux régionales, quitte à retirer des listes PS dans l'entre-deux tours. "On demande systématiquement au Parti socialiste de soutenir et de faire barrage pour des gens qui, comme Christian Estrosi, ont souvent des propos, des thèses, des attitudes qui vont au-delà même du Front national", a déploré le député des Alpes de Haute-Provence.
Le Premier ministre, Manuel Valls, a déclaré que "tout devra être fait pour empêcher" des victoires du Front national aux élections régionales, quitte à retirer des listes PS dans l'entre-deux tours. La déclaration a bien entendu fait réagir au FN, mais même au sein de son propre parti, les soutiens ne se sont pas bousculés. "Laissons le débat de second tour quand nous aurons les résultats du premier tour", a affirmé quant à lui Christophe Borgel, député PS de Haute-Garonne.
Après avoir été accusé de ne pas être domicilié dans la région où il se porte candidat, Dominique Reynié (LR), se défend. Pour lui ces "attaques" sont formulées pour l'empêcher "de faire campagne".
Le patron du PS et le ministre de l'Economie ont récemment échangé des mots peu amènes. Mais Emmanuel Macron - non encarté au PS - veut désormais s'engager dans la campagne des régionales, alors les deux hommes vont déjeuner ensemble jeudi.
Le Front national a de fortes chances de remporter les régions Nord-Pas-de-Calais-Picardie et PACA aux prochaines élections de décembre. Pour lui faire barrage, Manuel Valls a appelé mardi à l'union de la gauche dès le premier tour. "Il est hors de question de laisser le Front national gagner une région, donc tout devra être fait pour l'empêcher", a déclaré le Premier ministre lors d'un entretien sur le Bondy blog.
Invitée d'Apolline de Malherbe mercredi matin sur BFMTV et RMC, Marion Maréchal-Le Pen, députée Front national, s'est exprimée sur la probable implication d'Aymeric Chauprade, du même parti, dans l'évasion des deux pilotes français de l'affaire "Air Cocaïne". "C'est l'État français qui aurait dû se charger de cela. C'est quand même malheureux qu'on soit obligé de passer par des choses détournées. En tout cas, je félicite Aymeric Chauprade d'avoir été mobilisé dès le premier jour pour des Français", a affirmé la tête de liste FN aux élections régionales en PACA.
Invité d'Apolline de Malherbe mercredi matin sur BFMTV et RMC, Marion Maréchal-Le Pen, députée Front national, a réagi aux propos de Robert Ménard qui a tendu la main à Nadine Morano, mise de côté par le parti Les Républicains, pour ces propos sur "la race blanche". "Il faut dire que Nadine Morano a été une adversaire de longue date et elle a d'ailleurs rappelé, après ses propos, qu'elle n'avait strictement rien à faire avec le Front national. Dans ces conditions, je ne vois pas à quel titre nous devrions l'accueillir", a affirmé la tête de liste FN aux élections régionales en PACA.
Marion Maréchal-Le Pen était l'invitée d'Apolline de Malherbe mercredi matin sur BFMTV et RMC. Ce mardi Manuel Valls avait déclaré au Bondy blog: "Il est hors de question de laisser le FN remporter une région". "Je suis très choquée par ce genre de propos parce que ce n'est pas au Premier ministre de la France d'estimer qui a le droit ou non d'accéder à ce type de mandat", a rétorqué la tête de liste FN aux élections régionales en PACA.
Pour voir leur candidature validée à la présidentielle, les candidats doivent présenter au Conseil constitutionnel 500 parrainages d'élus. En 2012, Marine Le Pen s'était opposée à leur publication.
En vue des prochaines régionales, le Parti socialiste a choisi de placer des candidats quasi-inconnus face à des ténors de la droite et du FN, dans plusieurs régions. Faiblesse ou atout?
Manuel Valls avait estimé mardi qu'il était "hors de question de laisser le Front national gagner une région" lors des élections des 6 et 13 décembre.
La France, qui "n'a rien à voir" avec la fuite des deux pilotes, qui devaient être jugés en appel en République dominicaine pour un trafic de drogue présumé, ne les extradera pas, malgré les demandes de Saint Domingue.
