A moins de deux mois des élections régionales, Xavier Bertrand, Marine Le Pen et Pierre de Saintignon, têtes de liste dans la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie se retrouvaient pour la première fois lors d'un débat télévisé.
Au menu de ce mardi 27 octobre, Robert Ménard propose à Nadine Morano une alliance, Emmanuel Macron dans une entreprise de vente de chaussures en ligne, un comique à la tête du Guatemala... Du lundi au jeudi, le PoliticoZap est un rendez-vous décalé sur l’actualité politique. Découvrez les images, les vidéos, les petites phrases, les polémiques du jour.
"Tout devra être fait" pour empêcher le Front national de gagner une région lors des élections de décembre, a dit le Premier ministre Manuel Valls au Bondy Blog, mardi.
L'eurodéputé FN Aymeric Chauprade était l'invité de BFMTV mardi pour revenir sur l'évasion des pilotes de l'affaire "Air Cocaïne". Le député frontiste est resté assez évasif sur son implication dans la fuite des deux Français : "'J'ai participé mentalement et de cœur à cette évasion parce que je comprends ce qu'ont fait ces pilotes". Aymeric Chauprade a précisé qu'il n'était pas l'organisateur de l'évasion. Il a par ailleurs accusé la justice dominicaine de ne pas avoir "respecté les éléments de base de la législation internationale".
L'ancienne ministre des Républicains tiendra jeudi une réunion publique à Béziers. L'occasion pour le maire de la ville, apparenté FN, de lui proposer une rencontre, voire une "alliance".
Manuel Valls a annoncé la prochaine nomination de délégués gouvernementaux dans dix villes ayant des quartiers considérés comme difficiles, dans le cadre d'une expérimentation visant à améliorer l'action locale des pouvoirs publics. Le quartier de Drouot à Mulhouse a été sélectionné, à la satisfaction de ses habitants. "On pourrait donner nos idées, on pourrait faire plein de choses avec lui. Moi j'y crois vraiment", affirme une retraitée.
Lors de la cérémonie d'hommage aux 43 victimes de la collision de Puisseguin, le président François Hollande a promis "la vérité" aux familles. "L'enquête sera menée jusqu'au bout sous l'autorité de la justice", a-t-il martelé.
François Hollande a promis mardi "la vérité" aux familles des victimes de l'accident de car de Puisseguin, en Gironde, pour éviter "toutes les rumeurs" et "toutes les amertumes", lors de la cérémonie d'hommage aux 43 personnes décédées dans la collision, mardi à Petit-Palais-et-Cornemps. \t
Depuis 2013, l'humoriste Jean Roucas s'affichait régulièrement aux côtés de personnalités du Front national. Il veut désormais tourner cette page.
BFMTV a passé la journée de lundi avec la ministre du Travail Myriam El Khomri, l’une des figures montantes du gouvernement. Des Mureaux à Marseille, cette journée s’est conclue par l’annonce sans triomphalisme de la plus importante baisse du chômage depuis 2007.
Le vice-président PS du Conseil régional d'Ile-de-France, Julien Dray, était l'invitée d'Apolline de Malherbe mardi matin sur BFMTV et RMC. Dix ans après les émeutes en banlieue, le co-fondateur de SOS racisme refuse d'être défaitiste. "La banlieue française a changé de visage (…) Une partie des jeunes dans les cités ont dit 'maintenant il faut aussi qu'on s'en sorte par nous-même'", a assuré le candidat tête de liste du PS aux élections régionales dans le Val-de-Marne.
Tête de liste aux régionales dans le Val-de-Marne, Julien Dray était l’invité d'Apolline de Malherbe ce mardi matin, sur BFMTV et RMC.
Le président des Républicains s'envolera mercredi pour Moscou, où il doit rencontrer Vladimir Poutine. L'occasion d'évoquer plusieurs dossiers internationaux en cours, notamment le dossier syrien, point de crispation entre l'Elysée et le Kremlin depuis l'entrée en jeu de la Russie sur le terrain.
Au menu de ce lundi 26 octobre, opération séduction pour le gouvernement en banlieue, une langue qui fourche au Conseil de Paris, et Manuel Valls qui fait de l'humour... Du lundi au jeudi, le PoliticoZap est un rendez-vous décalé sur l’actualité politique. Découvrez les images, les vidéos, les petites phrases, les polémiques du jour.
Une évaluation publiée par l'OMS sur les risques de cancers liés à la consommation de viande rouge et de charcuterie a fait couler beaucoup d'encre ce lundi. Le ministre de l'Agriculture a réagi en fin de journée sur BFMTV en tentant de rassurer.
Après le déplacement de Manuel Valls et de ses ministres aux Mureaux, Les Républicains ont accusé le Premier ministre de faire de la "retape". Selon une porte-parole du parti, "la gauche n'a rien fait" dans les banlieues.
Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, a réagi sur BFMTV lundi soir à l'étude publiée par l'OMS qui accuse la charcuterie et la viande rouge de favoriser certains cancers. "Cette étude confirme des éléments scientifiques qui existaient déjà. On sait que toute surconsommation en particulier de viande rouge peut avoir des conséquences en termes de santé. Il n'y a pas de panique à avoir, il faut rester vigilant sur l'équilibre. Il y a plein de facteurs qui rentrent en compte: des facteurs d'hygiène de vie, d'activité sportive. Toute consommation uniforme d'un ou deux produits n'est pas bonne pour la santé. Il faut diversifier son alimentation", a déclaré le ministre.
La candidate Les Républicains pour la région Ile-de-France a fait sponsoriser dimanche soir un tweet contre son adversaire Claude Bartolone. L'équipe du socialiste a saisi la commission des comptes pour cette publicité jugée illégale.
Eric Woerth a commenté, lundi sur BFMTV, le chiffre du chômage au mois de septembre qui ont connu leur plus forte baisse depuis 2007. L'ancien ministre du Travail a qualifié d'"escroquerie" cette baisse: "faire baisser un peu ce qu'on a beaucoup fait augmenter, c'est une escroquerie de penser qu'on a réussi. C'est évidemment un échec total". L'ancien ministre UMP regrette que "le chômage de masse soit une caractéristique française" qu'on ne retrouve pas dans d'autres pays. La forte démographie française n'est pas un "handicap" pour le maire de Chantilly mais au contraire, un "atout formidable".
Face au recul du chômage en France au mois de septembre, Eric Woerth, député LR de l'Oise, parle d'une "escroquerie". "Quand on fait baisser un peu ce qu'on a beaucoup faut augmenter avant, c'est une escroquerie", répète-t-il sur la baisse du chômage.
La ministre du Travail, Myriam El Khomri, a salué sur BFMTV lundi soir les bons chiffres du chômage. Le chômage a connu en septembre sa plus forte baisse depuis fin 2007, hors bug SFR d'août 2013, avec 23.800 personnes sans aucune activité de moins en métropole (-0,7%), sur un total de 3,55 millions. "Ces chiffres sont satisfaisants. La tendance sur les quatre derniers mois est une baisse que nous n'avions pas connue depuis 2011 pour les chômeurs en catégorie A. J'ai un autre motif de satisfaction, c'est la baisse depuis quatre mois consécutifs du chômage des jeunes avec près de 25.000 jeunes qui sont sortis du chômage sur les quatre derniers mois. Ces résultats encourageants ne doivent pas demander de faiblir, il faut rester particulièrement mobilisé", a déclaré la ministre.
Manuel Valls a organisé ce lundi un comité interministériel aux Mureaux dans les Yvelines dix ans après les émeutes urbaines. Le Premier ministre a débuté sa journée en visitant plusieurs chantiers de la ville, avant de rencontrer quelques jeunes à la mission locale. Sur place, les habitants ont regretté de ne pas avoir pu aborder le chef du gouvernement lors de sa visite de la ville, certains l'accusent de déjà penser à 2017. Pour éteindre toute polémique, Manuel Valls a effectué un petit bain de foule avant de quitter la commune sous les applaudissements.
Dix ans après le déclenchement des émeutes qui ont secoué les banlieues françaises, Manuel Valls et 17 de ses ministres étaient en comité interministériel lundi aux Mureaux, dans les Yvelines. L'occasion pour le gouvernement d'annoncer une série de mesures pour lutter contre cet "apartheid" dont souffre les banlieue.
En déplacement aux Mureaux, dans les Yvelines, à l’occasion du dixième anniversaire des émeutes qui ont embrasé Clichy-sous-Bois, Manuel Valls s’est montré irrité par les questions des journalistes. Notamment par celle lui demandant pourquoi il n’allait pas à la rencontre des habitants des quartiers.
Manuel Valls, accompagné de 17 ministres, a entamé sa visite lundi aux Mureaux, dans les Yvelines, dans le cadre d’un comité interministériel sur l’égalité et la citoyenneté. Le Premier ministre s’est montré très vite agacé par les questions posées par les journalistes. "Je ne suis pas dans votre jeu", s'est-il emporté. "C’est votre jeu à vous, les médias, et je le respecte. Mais nous sommes là pour travailler".
Invitée d'Apolline de Malherbe ce lundi matin sur BFMTV et RMC, Fadela Amara a salué la visite de François Hollande réalisée en banlieue la semaine dernière, et celle de Manuel Valls et d’autres ministres prévue ce jour. L'ancienne secrétaire d'État à la Ville estime que c'est "un symbole", "un message" qui dit: "On ne nous laisse pas tomber, on nous abandonne pas. On vient nous voir et on vient nous écouter".
Le 25 octobre 2005, le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy provoque la colère des jeunes, lors d'un déplacement tardif à Argenteuil. Ses déclarations restent dans les esprits. "On va vous débarrasser de ces racailles!", avait prononcé le ministre. Aujourd'hui, les habitants estiment que peu de choses ont changé. "Les jeunes trainent toujours dehors, il n'y a pas de travail, il n'y a rien", explique l'un des habitants.
Dix ans après les émeutes de 2005, l'image des banlieues ne s'est pas améliorée. Deux tiers des Français trouvent que l'Etat n'en fait pas assez pour améliorer la situation.
Laurent Fabius a gentiment taclé, dimanche, Emmanuel Macron. Invité du Supplément de Canal+, le ministre des Affaires étrangères a comparé leurs deux carrières politiques.
L'accident entre un autocar et un camion qui a fait au moins 43 morts vendredi près de Libourne "doit nous interroger sur les choix politiques qui sont faits en matière d’infrastructures", notamment ceux concernant le transport par autocars "de la loi Macron", avait fustigé Noël Mamère quelques heures après le drame.
Invité de BFM Politique ce dimanche, le député PS Malek Boutih s'est montré très pessimiste au sujet de la présidentielle de 2017. "Je crois que c'est un peu joué d'avance", a-t-il avancé, avant d'aller plus loin: "En l'état actuel des choses, je ne vois pas comment Marine Le Pen" peut ne pas gagner la présidentielle, a-t-il notamment affirmé.
