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Philippot: les Français jihadistes "moralement, ils ne sont plus dignes d'être français"

Philippot: les Français jihadistes "moralement, ils ne sont plus dignes d'être français"

Florian Philippot, était lundi soir l'invité de Ruth Elkrief sur BFMTV. Le vice-président du Front national a réagi aux Français qui pourraient avoir été tués lors des frappes françaises en Syrie pour lutter contre Daesh. "Que des Français jihadistes perdent la vie dans cette affaire-là, c'est leur responsabilité. En allant s'entraîner dans ces camps de la barbarie, ils savent ce qu'ils font. Pour moi, à partir du moment où ces Français entrent dans cette voie du jihadisme et de l'horreur islamiste, ils perdent la dignité de Français. Pour moi, ce ne sont plus des Français. Ils le sont peut-être juridiquement mais j'aimerais qu'ils ne le soient plus. Nous sommes favorables à la déchéance de nationalité pour les jihadistes binationaux. Déjà au moins moralement, ils ne sont plus dignes d'être français", a-t-il déclaré.

Besancenot: "Je n’ai jamais vu un patron voyou se faire lever à 6h du matin"

Besancenot: "Je n’ai jamais vu un patron voyou se faire lever à 6h du matin"

"Il n’y a pas que les méthodes d’interpellation qui m’ont choqué c’est le fait même qu’il y ait une interpellation", a expliqué Olivier Besancenot lundi lors d’un rassemblement en solidarité avec les six salariés placés en garde en vue le matin même dans l'enquête sur les violences de la semaine dernière. "Sous François Hollande, je n’ai jamais vu un banquier voleur se faire lever à 6 heures du matin, je n’ai jamais vu un patron voyou se faire lever à 6 heures du matin, je n’ai jamais vu un délinquant en col blanc se faire lever à 6 heures du matin", s’est indigné l’ancien porte-parole du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA).

Manuel Valls: "Les terroristes n'ont pas de passeport"

Manuel Valls: "Les terroristes n'ont pas de passeport"

En déplacement en Jordanie, le Premier ministre Manuel Valls s'est exprimé lundi au sujet des frappes aériennes françaises en Syrie. "A partir du moment où nous savons que des attentats se préparent ici en Syrie, au nom de la légitime défense c'est une obligation que de frapper Daesh. Nous continuerons quelle que soit la nationalité de ceux qui sont dans ces centres qui préparent des attentats. Les Français ont droit à la plus grande protection. Les terroristes de ce point de vue-là n'ont pas passeport", a déclaré le Premier ministre.

Régionales Île-de-France: le FN tente de séduire les banlieues avec un magazine

Régionales Île-de-France: le FN tente de séduire les banlieues avec un magazine

Le Front national a été sur le terrain, en banlieue parisienne, pour séduire les électeurs avec un magazine qui n'affiche pas clairement sa couleur politique. "L'idée est de leur faire lire un tract avec nos propositions très concrètes, sans leur dire que c'est du Front national et en leur disant à la fin que c'est un tract du Front national", a expliqué Jordan Bardella, tête de liste FN en Seine-Saint-Denis.

Sarkozy ironise sur les mauvais sondages pour Hollande

Sarkozy ironise sur les mauvais sondages pour Hollande

Nicolas Sarkozy a affirmé samedi que son parti, Les Républicains, était "la seule alternative au Front national". "Il fut un temps où Santini disait qu'à force de chuter dans les sondages ils avaient fini par trouver du pétrole, mais lui François Hollande, il est au niveau du gaz de schiste, beaucoup plus bas", a ironisé l'ex-chef de l'Etat, devant environ 1.200 personnes, réunies au siège du parti, à l'occasion des états généraux de sa fédération de Paris.

NKM "revendique" ses propos qualifiant de "connards" les climato-sceptiques

NKM "revendique" ses propos qualifiant de "connards" les climato-sceptiques

Nathalie Kosciusko-Morizet était l'invitée de Jean-Jacques Bourdin lundi matin sur RMC et BFMTV. La députée Les Républicains est revenue sur ses propos qualifiant de "connards" les climato-sceptiques et affirmé qu'elle les "revendique", alors que certains, comme Alain Juppé, les ont considérés comme excessifs. "J'entends son conseil avec beaucoup d'intérêt et s'il en accepte un de ma part, peut-être faut-il que je modère mes propos, je lui suggère de ne pas modérer les idées", a jugé l'ancienne ministre de l'Environnement.

Régionales Île-de-France: le FN tente de séduire les banlieues avec un magazine

Régionales Île-de-France: le FN tente de séduire les banlieues avec un magazine

Le Front national a été sur le terrain, en banlieue parisienne, pour séduire les électeurs avec un magazine qui n'affiche pas clairement sa couleur politique. "L'idée est de leur faire lire un tract avec nos propositions très concrètes, sans leur dire que c'est du Front national et en leur disant à la fin que c'est un tract du Front national", a expliqué Jordan Bardella, tête de liste FN en Seine-Saint-Denis.

NKM estime que "Marine Le Pen n'essayerait pas grand-chose au regard de son programme"

NKM estime que "Marine Le Pen n'essayerait pas grand-chose au regard de son programme"

Invitée de Jean-Jacques Bourdin lundi matin sur RMC et BFMTV, Nathalie Kosciusko-Morizet a commenté les sondages qui placent le Front national en tête des élections régionales. "Marine Le Pen n'essayerait pas grand-chose au regard de ce qu'il y a dans son programme, parce que refermer la France, sortir de l'euro, c'est beaucoup de risque pour les épargnants. C'est probablement l'accélération sur la voix de la faillite", a jugé la députée Les Républicains.

Morano: "Je ne peux pas laisser Nicolas Sarkozy dire n'importe quoi"

Morano: "Je ne peux pas laisser Nicolas Sarkozy dire n'importe quoi"

En meeting ce dimanche après-midi à Velaine-en-Haye, en Meurthe-et-Moselle, quatre jours après avoir perdu son investiture pour les régionales, Nadine Morano est revenue sur la polémique liée à ses propos sur la "race blanche" et sur les conséquences politiques qui s'en sont suivies. "Quand je vois les propos que Nicolas (Sarkozy, ndlr) tient, en disant 'je n'ai rien contre Nadine Morano', je me dis 'heureusement'. Je n'ai rien contre lui non plus, mais je ne peux pas le laisser dire n'importe quoi, sous prétexte qu'il a besoin de trouver une excuse à son injustice", a-t-elle lancé devant les sympathisants venus l'écouter.

Alain Finkielkraut: "Je ne suis pas un défenseur de Nadine Morano"

Alain Finkielkraut: "Je ne suis pas un défenseur de Nadine Morano"

Alain Finkielkraut est venu présenter, ce vendredi chez Ruth Elkrief sur BFMTV, son nouveau livre chez Stock "La Seule exactitude", un recueil de chroniques d'actualité. Il a tenu à préciser sa position après les propos polémiques de Nadine Morano. "Je ne suis pas un défenseur de Nadine Morano contrairement à ce que j'ai lu dans le journal Le Monde. La France c'est une certaine idée de la langue et Nadine Morano malmène la langue française à chacune de ses interventions. Il n'en reste pas moins qu'elle a maladroitement cité une phrase du général de Gaulle (…) Je veux bien que les choses aient changé mais criminaliser les propos du général de Gaulle c'est une preuve absolue d'inculture", a expliqué le philosophe.