Italie: une ministre démissionne après la mise en cause de son mari par la justice
Le mari de Federica Guidi est suspecté de trafic d'influences. Il aurait pu profiter de sa relation avec la ministre pour favoriser certains contrats.
Le mari de Federica Guidi est suspecté de trafic d'influences. Il aurait pu profiter de sa relation avec la ministre pour favoriser certains contrats.
Les policiers de l'aéroport dénonçaient des problèmes de sécurité avant même les attentats. La grève pourrait bien durer jusqu'au mois de juin.
Des comiques belges ont choisi de répondre avec l'arme du rire aux attentats de Bruxelles. "J'aime rire de ce qui me fait peur et j’avoue que ces enfoirés me font peur", raconte sur scène Pierre-Emmanuel un humoriste. "Demander à un Belge de ne plus faire la fête c'est comme demander à un kamikaze de ne plus se faire exploser", explique-t-il pour justifier sa démarche. L’humour comme baume cicatrisant, c’est l’une des étapes indispensables dans le mécanisme de reconstruction, selon les spécialistes.
Une semaine après les attentats qui ont endeuillé Bruxelles, la plupart des commerces tournent au ralenti. Le taux d'occupation des hôtels est au plus bas dans le centre-ville de la capitale et autour de l'aéroport de Zaventem où certains employés sont au chômage. Le pays reste en niveau 3 d'alerte avec des renforts policiers et militaires.
Liza Dignac, une Française installée à Bruxelles, était à l'aéroport de Zaventem quand deux terroristes ont actionné leur bombe. Une semaine après le drame, elle explique son besoin de comprendre.
Une semaine après les attentats, le mystère reste entier sur le troisième assaillant de l'aéroport de Bruxelles, surnommé "l'homme au chapeau". Lundi, le seul inculpé dans ce dossier a finalement été remis en liberté.
Plusieurs centaines de personnes se sont recueillies lundi en fin d'après-midi à la cathédrale de Bruxelles, lors d'une cérémonie oecuménique en mémoire des victimes des attentats du 22 mars.
Fayçal Cheffou, arrêté jeudi dernier, était soupçonné d'être le troisième terroriste qui avait participé à l'attaque de l'aéroport de Zaventem. Cette libération intervient après la diffusion d'une nouvelle vidéo de "l'homme au chapeau" toujours activement recherché.
Les enquêtes sur les réseaux jihadistes prennent une tournure de plus en plus européenne près d'une semaine après les attentats de Bruxelles. De la France aux Pays-Bas, en passant par l'Italie.
La jeune fille, âgée de 15 ans, a profité de l'absence de son kidnappeur pour quitter l'appartement où il l'a retenait depuis deux ans.
Six jours après les attaques, la police belge a diffusé ce lundi un extrait de la vidéosurveillance de l'aéroport de Bruxelles-Zaventem, dans le but d'identifier "l'homme au chapeau", troisième suspect des attentats.
Le recueillement a été troublé par des hooligans, dimanche après-midi, à Bruxelles. "On est chez nous!", "complices terroristes": quelque 300 manifestants nationalistes ont fait irruption dimanche sur la place de Bruxelles transformée en mémorial après les attentats meurtriers de mardi, avant d'être dispersés par la police qui a interpellé une dizaine d'entre eux.
Après que la manifestation en hommage aux victimes des attentats a été perturbée dimanche, un manifestant a dénoncé "un véritable scandale". Selon lui "les policiers ont laissé passer les hooligans et les ont même accompagnés" jusqu'à la place de la Bourse. Les militants d'extrême droite auraient aussi "tapé des gens".
La traque pour "anéantir" le réseau jihadiste à l'origine des attentats de Bruxelles et Paris a enregistré une avancée samedi avec l'inculpation d'un suspect susceptible d'être le troisième homme de l'attaque contre l'aéroport de la capitale belge. Il aurait été confondu par le chauffeur de taxi qui a convoyé les trois terroristes à l’aéroport. Mais malgré ces interpellations des membres de cette cellule terroriste franco belge sont toujours en fuite comme Naim Al Hamed et Mohammed Abrini.
Le quotidien s'est fait épingler par l'organisme de régulation de la presse britannique pour un sondage dont une question a été jugée tendancieuse.
Accédant à la demande des autorités belges d'un report de la manifestation prévue dimanche, les organisateurs ont confirmé que celle-ci était annulée pour des raisons de sécurité.
La "marche contre la peur" prévue dimanche à Bruxelles après les attentats qui ont fait 31 morts mardi dans la capitale belge a été annulée pour des raisons de "sécurité" à la demande des autorités, ont annoncé samedi ses organisateurs. ""La sécurité des citoyens est une priorité absolue. Dès lors, nous rejoignons totalement les autorités dans cette proposition de report à une date ultérieure", ont-ils indiqué.
Face à l'ampleur de la menace et aux enquêtes en cours après les attentats survenus en Belgique, le bourgmestre de Bruxelles Yvan Mayeur a demandé samedi aux Belges de repousser la manifestation de soutien aux victimes prévue dimanche.
L’opération anti-terroriste menée jeudi à Argenteuil a permis l’arrestation de Reda Kriket, soupçonné de préparer un projet d'attentat. Comme Abdelhamid Abaaoud ou Najim Laachraoui il gravitait dans la "mouvance Zerkaoui", un recruteur de jihadistes qui avait implanté son réseau à Molenbeek
Youssef Ben Yahad est arrivé sept minutes seulement après l'explosion à la station de métro de Maelbeek, mardi. Cet agent de sécurité des transports en commun de Bruxelles est encore traumatisé par l'horreur, mais il reste combatif. BFMTV l'a rencontré.
Stéfanie de Loof-Chassagne est l’une des deux femmes de la photo marquante des attentats à l’aéroport de Zaventem. Elle et une autre rescapée, Alexia, ont raconté à BFMTV la panique qui a suivi les deux explosions le jour de l'attentat.
Une impressionnante opération antiterroriste a eu lieu, ce vendredi après-midi, dans la commune bruxelloise. Plusieurs riverains ont capturé une des interpellations à l'aide de leurs téléphones portables.
Un avocat allemand en voyage d’affaires s’est retrouvé sur les lieux des deux attentats de Bruxelles mardi dont il est miraculeusement sorti indemne.
Cinq personnes ont été arrêtées dans différents quartiers de la capitale belge. Une autre dans une commune voisine.
Deux jours après les attaques en Belgique, trois kamikazes ont pu être identifiés. Najim Laachraoui et Ibrahim El Bakraoui ont fait exploser leur charge à l'aéroport. Le frère de ce dernier, Khalid, a attaqué la station de métro.
Mourad Laachraoui, athlète belge de haut niveau, a tenu une conférence de presse pour expliquer que ni lui, ni sa famille, n'était au courant des projets terroristes de son frère. Il n'avait plus de contact avec Najim, identifié comme le 2e kamikaze de l'aéroport de Bruxelles, depuis 2013.
Najim Laachraoui, l'un des kamikazes de l'aéroport de Zaventem, avait eu un parcours d'étudiant classique, passant même par une école catholique. Depuis 2013 et son départ en Syrie, sa famille n'avait plus de nouvelles.
31 personnes, au moins, sont mortes, et près de 300 blessées, dans les attentats de Bruxelles. Le travail des autorités belges s'avèrent particulièrement compliqué pour identifier les victimes à cause des dégâts provoqués par le souffle des explosions.
Les dysfonctionnements des services de renseignement belges sont montrés du doigt depuis les attentats de Bruxelles, de même que le manque de coopération entre services européens. Les critiques sont d'autant plus virulentes qu'il a été établi que les attaques de Bruxelles avaient été perpétrées par une équipe liée aux terroristes du 13 novembre à Paris.
CARTE INTERACTIVE - Les attaques de Paris et de Bruxelles nous rappellent ce que les données confirment: depuis janvier 2015, le monde doit faire face à une menace terroriste exceptionnellement élevée. Soixante-cinq attentats ont été commis sur la planète, dont la moitié attribuée à Daesh. L'organisation terroriste a démontré sa capacité à se projeter n'importe où pour semer la mort.
Stéphane est un rescapé de l'attentat du mardi 22 mars à l’aéroport de Bruxelles. Après les deux explosions coup sur coup, il a réussi à s’extraire du terminal dévasté. L’homme décrit une scène d’apocalypse.
L’aéroport de Bruxelles a été la cible d’attaques terroristes ce mardi. Deux explosions ont retenti coup sur coup, tuant au moins 14 personnes. Le récit d’une journée tragique à l'aéroport international de Zaventem.
Son fils va bientôt naître dans une Belgique sous le choc d'une série d'attentats terroristes. S'excusant de lui laisser un monde de violence, la future mère le met en garde contre les "méchants".
Il conduisait la rame dans laquelle Kalhid El Bakraoui s'est fait exploser, mardi matin, à Maelbeek à Bruxelles. Marqué par ce qu'il a vu, Christian Delhasse a décidé de résister à sa façon, en reprenant son travail dès le lendemain matin.
Au lendemain des attentats perpétrés à l'aéroport et dans le métro de Bruxelles, la Belgique est en deuil. La police belge traque toujours un suspect repéré par des caméras de surveillance mais deux des auteurs présumés des attentats ont été identifiés comme étant les frères El Bakraoui.
L'aéroport international de Bruxelles-Zaventem a été victime d'une attaque terroriste peu avant 8 heures, ce mardi. Trois hommes sont arrivés ensemble en taxi et ont rejoint le hall des départs où une photo de caméra de vidéosurveillance a été prise. Puis, ils se sont séparés pour couvrir une zone plus large. Ibrahim El Bakraoui a été le premier à se faire exploser à 7h58. Quelques secondes plus tard, c’est Najim Laachraoui qui a activé son dispositif explosif. Le troisième homme, celui portant un bob et toujours activement recherché, a laissé son bagage avant de s’enfuir juste avant le déclenchement des bombes. Cette valise contenait une charge explosive supérieure aux autres et a explosé peu après l’arrivée des services de déminage.