IVG dans la Constitution: Emmanuel Macron ne sera pas lundi au Congrès à Versailles
Le chef de l'État ne se rendra pas lundi à Versailles, où le Congrès a été convoqué pour voter l'inscription de l'IVG dans la Constitution.
Le chef de l'État ne se rendra pas lundi à Versailles, où le Congrès a été convoqué pour voter l'inscription de l'IVG dans la Constitution.
Emmanuel Macron a affirmé jeudi que "chacun des mots" qu'il prononce sur la guerre en Ukraine est "pesé". Plus tôt dans la semaine, il a déclaré que l'envoi de troupes occidentales en Ukraine n'était "pas exclu" tout en soulignant qu'il n'y avait pas de consensus sur le sujet. Plusieurs pays ont ensuite rejeté cette idée.
Le président de la République va rassembler ce jeudi à l'Élysée autour d'un dîner les têtes de la majorité, notamment François Bayrou et Édouard Philippe. Ordre du jour: les élections européennes.
Après l'Assemblée nationale, le Sénat a voté ce 28 février à une large majorité pour l'inscription de l'IVG dans la Constitution.
En revendiquant une "ambiguïté stratégique" de la France, le président de la République n'a pas écarté hier soir la possibilité d'un envoie de troupes sur le territoire ukrainien. Retour sur les propos tenus par Emmanuel Macron à l'issue de la conférence internationale de soutien à l'Ukraine.
Emmanuel Macron a demandé au gouvernement de faire "devant le Parlement une déclaration" relative la guerre en Ukraine, qui sera "suivie d'un débat et d'un vote", annonce l'Elysée ce mardi.
Emmanuel Macron a haussé le ton ce lundi 26 février face à la Russie affirmant ne pas "exclure l'envoi de troupes au sol". Une démonstration de force qui s'apparente à de la dissuasion pour les experts interrogés par BFMTV.
Le président de la République s'est exprimé à l'issue d'une conférence internationale de soutien à l'Ukraine, deux ans après le début de la guerre contre la Russie.
Lors d'une conférence de presse ce lundi 26 février, le président de la République annonce qu'une coalition européenne va fournir des "missiles et bombes de moyenne et longue portée" à l'armée ukrainienne.
Interrogé lors du Salon de l'agriculture sur ces propos rapportés par le journal La Marseillaise, le chef de l'État a assuré n'avoir jamais employé "une formule comme celle-ci".
La visite du président de la République a été émaillée de tensions, de sifflets, mais également de temps d'échanges, d'annonces.
Emmanuel Macron avait démenti toute invitation du collectif écologiste radical à l'évènement, prévu ce samedi 24 février au Salon de l'Agriculture, avant de finalement être annulé, face à la polémique.
Le président a officiellement donné le coup d'envoi du 60e Salon de l'agriculture en coupant le ruban, malgré les huées des manifestants.
Les propos prêtés au président de la République dateraient d'une rencontre à l'Élysée avec le syndicat Modef, le 14 février.
Face au boycott des syndicats, le président a annoncé annuler son "grand débat" sur l'agriculture, mais leur a proposé de les voir, quelques minutes avant l'ouverture du salon.
Le président de la République s’est entretenu ce vendredi 23 février avec le président américain pour évoquer "la nécessité de continuer à renforcer le soutien à l'Ukraine".
À la veille de l'organisation de son grand débat au Salon de l'agriculture, le chef de l'État a annoncé qu'il prenait "acte" de la décision des syndicats de ne pas y participer.
L'organisation de ce 60e Salon de l'agriculture n'en finit pas de faire transpirer l'Élysée. L'annonce "par erreur" d'une invitation lancée aux Soulèvements de la Terre jeudi 22 février a fait cafouiller toute l'opération de communication du gouvernement destinée à apaiser la colère des agriculteurs.
D'abord invités par l'Élysée, les Soulèvements de la Terre ne participeront pas au grand débat sur l'agriculture organisé par Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron va organiser ce lundi 26 février, à l’Élysée, une réunion "de soutien à l’Ukraine" avec plusieurs chefs d’État et de gouvernement ou leurs représentants ministériels.
La 60e édition du Salon de l'agriculture s'ouvre ce samedi 24 février à Paris, dans un contexte marqué par un mouvement de colère des agriculteurs depuis plusieurs semaines.
Alors que Missak Manouchian et sa femme ont franchi ensemble ce mercredi 21 février les portes du Panthéon, temple des grandes figures de la Nation, le président de la République a prononcé un discours, suivi d'une Marseillaise.
Ce rendez-vous était l'occasion pour la France de marquer sa "volonté" de renouer un lien de confiance avec le Maroc, après une longue période de froid.
Si le président de la République rappelle que son "devoir est d'inviter tous les représentants élus par le peuple français", il estime que "l'esprit de décence, le rapport à l'histoire devraient conduire", ceux du RN à "faire un choix".
Emmanuel Macron ne se dit toutefois pas favorable à une suppression du droit du sol sur le reste du territoire français, comme le voudraient la droite et l'extrême droite.
Emmanuel Macron juge, dans les colonnes de L'Humanité ce dimanche 18 février, que la ville de Rafah dans le sud de la bande de Gaza constitue "un point de rupture" dans les opérations israéliennes.
Si le chef de l'État dit dans les colonnes de L'Humanité que l'on ne peut pas "faire abstraction" de la présence du Rassemblement national à l'Assemblée, il affirme qu'il ne considère pas que le parti s'inscrit dans "l'arc républicain".
Le président français Emmanuel Macron a échangé par téléphone samedi 17 février avec son homologue égyptien Abdel Fattah Al-Sissi sur la situation au Moyen-Orient. Ils ont tous deux dit leur "opposition" à une offensive israélienne à Rafah.
Le président de la République, qui avait initialement prévu un déplacement en Ukraine lors de ce mois de février, a finalement accueilli ce vendredi son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky à l'Élysée.
Le chef de l'État a dénoncé un "changement de posture" de la Russie, notamment sur les armes nucléaires dans l'espace et les cyberattques ciblant des pays occidentaux, qui "exige un sursaut collectif".
Le chef de l'État a reproché à Moscou de "mettre au goulag ses esprits libres et les condamne à mort".
Le président Emmanuel Macron a pour la première fois déclaré que "la reconnaissance d'un État palestinien" n'était "pas tabou" pour la France, appelant en faveur d'un "élan décisif et irréversible".
Le président français estime que le bilan humain et la situation humanitaire dans la bande de Gaza sont "intolérables".
Le président de la République a prononcé un discours en la mémoire de l'ex-garde des sceaux, mort il y a moins d'une semaine, saluant notamment son combat en faveur de l'abolition de la peine de mort.
Lors de l'hommage national rendu à Robert Badinter ce mercredi, le chef de l'État a indiqué son souhait que le "nom" de l'ancien ministre de la Justice, mort le 9 février, "s'inscrive au Panthéon". De son vivant, Robert Badinter avait réfusé toute décoration.
Les représentants des syndicats agricoles vont être reçus un à un par Emmanuel Macron avant le Salon de l'agriculture, qui doit se tenir fin février, a annoncé l'Élysée à BFMTV. Les syndicats menacent de recommencer à manifester s'ils n'obtiennent pas plus de réponses à leurs revendications.
L'ancien garde des Sceaux est mort dans la nuit de jeudi à vendredi à l'age de 95 ans. Il avait été l'un des grands artisans de l'abolition de la peine de mort.
Au lendemain de l'annonce du gouvernement complet, dans lequel François Bayrou a refusé de figurer, Emmanuel Macron lui a à nouveau accordé sa confiance et témoigné de son amitié.
Le chef de l'État refuse de considérer que le RN "aurait moins de droits parlementaires, moins de reconnaissance". Après les propos de Gabriel Attal qui "assume" de "travailler avec tout le monde", Emmanuel Macron juge qu'il ne peut pas faire de "tri dans l'expression du suffrage universel".
L'ancien ministre de la Justice Robert Badinter est mort à 95 ans. Le président de la République Emmanuel Macron rend hommage à "l'homme de l'abolition de la peine de mort".
Le Président a évoqué la guerre entre Israël et le Hamas ce mercredi 7 février au cours de son discours en hommage aux victimes françaises des attaques du mouvement islamiste.
Le président de la République a prononcé un discours à l'Hôtel des Invalides en la mémoire des victimes françaises des attaques du Hamas en Israël du 7 octobre dernier.
Ces deux chiens ont été offerts au président de la République lors de sa visite au Kazakhstan, en novembre dernier, révèle Le Parisien.
Après avoir déjeuné pendant 2h45 avec son Premier ministre, le président de la République s'est rendu dans le Doubs pour "échanger" avec des agriculteurs. Il en a profité pour faire un arrêt improvisé dans un bar-tabac.
Une "forme de cancer" a été diagnostiquée au roi Charles III. Selon le communiqué du palais de Buckingham, le souverain britannique est "très optimiste quant à son traitement".
La politique de l'exécutif pour sortir de la crise agricole va à l'encontre de plusieurs grands principes édictés au préalable. "Le macronisme est un pragmatisme: gérer les affaires courantes au gré des situations", analyse Matthieu Croissandeau, éditorialiste sur BFMTV, expliquant néanmoins que cette méthode peut entretenir "la confusion".
Le président de la République, en déplacement à Bruxelles, constate "partout en Europe" des "mouvements importants de contestation".
Le président de la République est à Bruxelles ce jeudi pour un sommet européen, qui, s'il n'y est pas dédié, intervient en pleine crise agricole. Sujet sur lequel le président de la République s'entretiendra avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.