Israël-Hamas: Emmanuel Macron fait part de sa "grande joie" après la libération de Mia Schem
Le président de la République assure que la France continue d'"agir avec ses partenaires pour obtenir" la libération des autres otages.
Le président de la République assure que la France continue d'"agir avec ses partenaires pour obtenir" la libération des autres otages.
Le président français doit rencontrer l'émir qatarien, alors ce pays du Golfe joue un rôle essentiel de médiation pour la libération d'otages israéliens en échange de détenus palestiniens.
Après le décès de cette grande figure de la diplomatie américaine, le président français relève son "influence durable sur notre époque et sur notre monde". De nombreux dirigeants lui rendent également hommage.
Le président de la République a échangé pendant une heure et demie avec son ministre de la Justice relaxé par la Cour de justice de la République.
Présent à Nantes ce mardi devant le secteur de la pêche, le chef de l'État a filé la métaphore des éléments marins. Le président a assuré "être à la barre", se disant prêt à affronter "le grand large". De quoi espérer rassurer la majorité présidentielle qui peine à se projeter dans les prochains mois.
Eitan Yahalomi, Sahar Kalderon et Erez Kalderon étaient détenus à Gaza par le Hamas depuis le 7 octobre dernier. Ils font partie de la quatrième vague de libération d'otages depuis l'accord passé entre Israël et le Hamas.
Le président a opéré un arrêt impromptu dans un café lors d'un déplacement dans le Jura. Il en a profité pour jouer au nouveau jeu "Mission nature" de la Française des Jeux.
Le chef de l'État, qui a accueilli notamment des représentants des représentants de l'Arabie Saoudite, de l'Égypte, des territoires palestiniens mercredi , a salué "la lueur d'espoir" après l'annonce d'une trêve et la libération d'otages dans la bande de Gaza, désormais repoussées.
Israël et le Hamas ont annoncé un accord prévoyant la libération de 50 otages retenus à Gaza contre 150 prisonniers palestiniens et une trêve de quatre jours dans le territoire palestinien.
Le président de la République s'est exprimé, devant des maires invités à l'Élysée, sur la rixe mortelle à Crépol, qui a fait une victime et plusieurs blessés graves.
Emmanuel Macron a salué ce mercredi 22 novembre "l'annonce d'un accord pour la libération d'otages" retenus par le Hamas et "une trêve humanitaire" entre Israël et le mouvement islamiste palestinien.
Le président français a échangé samedi avec son homologue égyptien pour rappeler la volonté de la France d'accélérer l'aide humanitaire à Gaza. "Jusqu'à 50" de ces enfants pourront être soignés dans l'Hexagone.
À l'initiative d'Emmanuel Macron, plusieurs chefs de parti se sont rendus à Saint-Denis pour échanger sur le Proche-Orient, des questions institutionnelles comme les statuts de la Nouvelle-Calédonie et de la Corse ou encore l'épineux débat autour d'un référendum sur l'immigration.
À l'issue de la réunion entre Emmanuel Macron et les chefs de partis à Saint-Denis, plusieurs participants ont indiqué un manque de consensus sur le sujet.
L'humoriste Yassine Belattar a été reçu par deux conseillers de l'Élysée selon des informations de l'Express, confirmées par BFMTV, et aurait, selon le journal, alerté sur les effets possibles d'une participation d'Emmanuel Macron à la marche contre l'antisémitisme. Une visite qui crée la polémique à droite et à l'extrême droite.
Le président de la République a condamné la dégradation de ces stèles lors d'une conférence de presse en Suisse, rappelant son "engagement personnel" à "lutter de manière implacable et sans relâche contre toutes les formes d'antisémitisme".
Critiqué pour ne pas s'être rendu à la marche contre l'antisémitisme dimanche dernier, Emmanuel Macron a assuré que "la place d'un président de la République n’est pas d’aller à une marche", surtout quand sa position sur un sujet n'est pas "ambiguë".
Le chef de l'État souhaite à nouveau réunir les chefs de parti représentés au Parlement vendredi à Saint-Denis.
En annonçant mardi son refus de participer à la prochaine "Rencontre de Saint-Denis" organisée vendredi par Emmanuel Macron, le président des Républicains, Éric Ciotti, vide de sa substance ce rendez-vous déjà boudé par LFI et le PS, même si la présidence veut garder les "portes ouvertes".
Le président de la République sera accompagné de son épouse Brigitte Macron.
Présent à la réunion entre les représentants du culte et Emmanuel Macron, Chems-Eddine Hafiz déplore une "vraie confusion" entre "islamisme" et "islam".
Au lendemain des marches pour la République et contre l'antisémitisme en France, Emmanuel Macron recevra les représentants des cultes à 9h30, a appris BFMTV auprès de l'Élysée.
Emmanuel Macron s'est entretenu ce dimanche 12 novembre avec le président israélien, Isaac Herzog, ont annoncé les deux présidences. Vendredi, le président français Emmanuel Macron a "exhort(é) Israël à cesser" les bombardements tuant des civils à Gaza, des propos qui "ont causé beaucoup de douleur et de contrariété en Israël", selon la présidence israélienne.
Dans une lettre aux Français publiée dans le Parisien ce samedi, Emmanuel Macron juge que la lutte contre l’antisémitisme "ne doit jamais nous diviser ni jamais conduire à opposer certains de nos compatriotes à d’autres".
En marge des commémorations à Paris du 105e anniversaire de l'Armistice de 1918, le chef d'État a été interrogé par Yaël Perl Ruiz, arrière petite fille du Capitaine Alfred Dreyfus, sur sa non-participation à la marche contre l'antisémitisme prévue à Paris ce dimanche.
Le chef de l'État a rendu hommage au Soldat inconnu lors des commémorations de la fin de la Première guerre mondiale. Il en a profité pour appeler discrètement à l'unité au-delà des appartenances religieuses et des origines, alors les actes antisémites sont en hausse.
Le président de la République ne sera pas présent ce dimanche à la marche parisienne contre l'antisémitisme, qui ne cesse de diviser la classe politique. Son choix a suscité des réactions contrastées.
Dans une interview accordée à la télévision britannique, le président a estimé qu'il n'y a "pas d'autre solution qu'une pause humanitaire" et qu'un "cessez-le-feu" à Gaza.
INFO BFMTV. Emmanuel Macron ne se rendra pas à la marche contre l'antisémitisme organisée ce dimanche 12 novembre à Paris. Il considère toutefois ces rassemblements comme "un motif d'espérance".
Le président français Emmanuel Macron a annoncé vendredi lors de la clôture d'un sommet sur les pôles et les glaciers à Paris la construction d'un navire français dans le cadre d'un effort de recherche polaire dans lequel la France investira un milliard d'euros "d'ici 2030".
"Depuis le 7 octobre, la France a annoncé 20 millions d'euros d'aide humanitaire supplémentaires et nous allons porter cet effort à 100 millions d'euros pour 2023", a expliqué le président.
Le chef de l'État a pris position en faveur d'un 'cessez-le-feu" dans la bande de Gaza lors d'une conférence humanitaire à l'Élysée. Benjamin Netanyahu a cependant évacué cette hypothèse à plusieurs reprises.
Le chef de l'État se montre à la manœuvre pour acheminer au plus vite l'aide humanitaire dans la bande de Gaza. Alors que l'Hexagone compte parmi les plus importantes communautés juives et musulmanes d'Europe, le Président espère qu'une accalmie permette d'éviter l'importation du conflit.
Dans un discours devant le Grand Orient de France, le président a mentionné une "loi de liberté et de respect" sur la fin de vie, alors que le texte gouvernemental est encore attendu.
Un mois après le début du conflit entre Israël et le Hamas, le président a accusé les insoumis de vouloir "flatter de nouveaux communautarismes". Le chef de l'État a également regretté que le mouvement de Jordan Bardella ne "condamne" pas" "sa position passée" sur l'antisémitisme.
Emmanuel Macron a ouvert la porte à un élargissement du référendum aux grandes questions de société, dont l'immigration. Une suggestion largement approuvée par les Français, comme le souligne un sondage Elabe pour BFMTV
Le chef de l'État a promis d'être "impitoyable face aux porteurs de haine" dans un contexte de montée des actes antisémites, un mois après le début du conflit entre Israël et le Hamas.
Emmanuel Macron renoue avec une tradition abandonnée depuis 27 ans. Ce mardi matin, il présidait la grande relève de la Garde devant le Palais de l'Elysée. Cette cérémonie aura désormais lieu le premier mardi de chaque mois.
Une première réunion entre le président de la République et les dirigeants de partis politiques s'était déroulée fin août.
Chaque premier mardi du mois, à partir de 9 heures les militaires défileront le long de l'avenue de Marigny et de la rue de l'Elysée.
La bande de Gaza continue d'être pilonnée par l'armée israélienne et de subir un siège total, privant ses habitants d'eau, d'électricité et de nourriture.
Emmanuel Macron sera en Bretagne en début d'après-midi, pour échanger avec des habitants touchés par la tempête Ciaran ces dernières heures. L'endroit précis où le chef de l'État est attendu n'est pas encore connu.
"Je déteste ce débat qui divise les gens et où l'on dit: 'pour moi les vies juives sont plus importantes' ou 'pour moi les vies palestiniennes sont plus importantes'", a déclaré le président de la République
Le président de la République est arrivé ce mercredi à Astana, capitale du Kazakhstan. Il s'envolera ensuite pour l'Ouzbékistan et cherchera à l'occasion de ces déplacements à renforcer la présence française en Asie centrale.