BFMTV
Philippe : "L’augmentation du budget de la Défense n’est pas pour vous faire plaisir. Nous en avons besoin"

Philippe : "L’augmentation du budget de la Défense n’est pas pour vous faire plaisir. Nous en avons besoin"

Le premier ministre Edourd Philippe se rend à Toulon ce samedi en compagnie de la ministre des Armée Florence Parly pour rendre visite au personnel du porte-avions Charles de Gaulle qui fait l’objet d’une rénovation. Entre le gouvernement et l'armée, l'été a été difficile, notamment depuis la démission du chef d'état-major Pierre De Villiers. Une visite aux allures de réconciliation donc avec la confirmation d'une augmentation du budget de la Défense 2018 : + 1,8 milliard d'euros par rapport à 2017, soit 34,2 milliards d'euros. "Nous en avons besoin", a estimé le Premier ministre.

Projet de loi finances: Edouard Philippe "assume", quelles sont les réactions sur les réseaux sociaux

Projet de loi finances: Edouard Philippe "assume", quelles sont les réactions sur les réseaux sociaux

Le projet de loi de finances pour 2018, dévoilé ce mercredi, prévoit la suppression de l'Impôt de solidarité sur la fortune (ISF), qui sera remplacé par un impôt sur la fortune immobilière (IFI). Dans le projet du gouvernement, l'IFI ne concerne que l'immobilier. Les actions ou les assurances-vie en sont exclues, mais également les biens mobiliers, comme ceux de luxe. Ainsi, un yacht, un jet privé, ou des lingots d'or, qui auraient été soumis à l'ISF en l'état actuel du texte, seront épargnés par le futur IFI. Invité de l'"Emission politique" ce jeudi soir sur France 2, le Premier ministre, Edouard Philippe, a semblé assumer les choix fiscaux du gouvernement. Véronique Reille-Soult, directrice générale de Dentsu Consulting, analyse sur BFMTV ce que les internautes ont pensé de la prestation du Premier ministre lors de son passage dans cette émission.

"Si le peuple corse demandait un référendum, je dirais oui", dit Jean Lassalle

"Si le peuple corse demandait un référendum, je dirais oui", dit Jean Lassalle

Jean Lassalle a estimé, ce vendredi sur BFMTV, que Madrid avait fait preuve de maladresse au sujet du référendum d’indépendance que veulent organiser les autorités catalanes le 1er octobre. "Il faut organiser les référendums lorsqu’ils sont demandés", a assuré le berger qui était candidat à la présidentielle. Le député non-inscrit des Pyrénées-Atlantiques a ainsi expliqué qu’il serait pour la tenue d’une consultation si le peuple corse le demandait, car "c’est encore pire de ne pas répondre".