Alors que le ministre de l’Économie a annoncé au Journal du dimanche ce 24 septembre qu’il adhère au mouvement En marche, Éric Le Woerth, député LR de l’Oise, a estimé que Bruno Le Maire "allait au bout de sa logique".
Le leader de la France insoumise dénonce un "montage mensonger" de ses propos tenus samedi, à l'issue de la manifestation contre la réforme du travail.
Le ministre de l'Economie et des finances a rejoint le parti fondé par Emmanuel Macron. Mais il continue à se considérer comme un homme de droite.
Le chef de l'Etat voit sa popularité remonter: 45% des Français sont satisfaits de son action, selon le baromêtre Ifop-JDD.
Comment élit-on un sénateur, et à quoi sert le Sénat ? Le parti d’Emmanuel Macron va-t-il gagner cette élection? Le point sur les sénatoriales du 24 septembre prochain.
Au lendemain de la manifestation de la France insoumise à Paris, le ministre de l'Economie répond à Jean-Luc Mélenchon et assure que le texte de la réforme du travail "ne changera pas".
Lors de son discours prononcé sur la place de la République ce samedi, Jean-Luc Mélenchon a multiplié les avertissements à Emmanuel Macron, lui lançant notamment: "c'est la rue qui a abattu les nazis". Des propos jugés "indignes" par plusieurs ministres.
L'ancien candidat socialiste à la présidentielle a défendu sa présence au côté de Jean-Luc Mélenchon dans la manifestation contre "le coup d'état social" d'Emmanuel Macron ce samedi à Paris.
Près de 30.000 personnes ont défilé samedi à Paris à l'appel de Jean-Luc Mélenchon, selon une source policière. La France insoumise évoque de son côté "plus de 150.000" personnes réunies place de la République pour écouter le discours du député des Bouches-du-Rhône.
Le leader de La France insoumise a motivé ses troupes ce samedi place de la République, rappelant que "la bataille" contre la réforme du Code du travail ne faisait que "commencer".
"Vous irez avec des casseroles samedi prochain faire le plus de bruit possible", a proposé Jean-Luc Mélenchon le leader de la France insoumise ce samedi 23 septembre, pendant son discours place de la République à Paris quelques instants après le défilé de son mouvement parti place de Bastille et qui a réuni 150.000 personnes selon l’organisation. "Voici quel sera le sens du message: vous nous pourrissez la vie et vous nous empêcher de rêver alors on vous empêche de dormir", a-t-il ajouté.
"Pour que les ordonnances aient force de loi, il faut qu’elle repasse devant le parlement", a affirmé Jean-Luc Mélenchon le leader de la France insoumise ce samedi 23 septembre, pendant son discours place de la République à Paris quelques instants après le défilé de son mouvement parti place de Bastille et qui a réuni 150.000 personnes selon l’organisation. "La bataille n’est pas finie, elle commence", a-t-il poursuivi.
"On en a déjà connu d’autres qui se disaient droits dans leurs bottes et à qui on a fini par les retirer", a ironisé Jean-Luc Mélenchon, le leader de la France insoumise ce samedi 23 septembre, pendant son discours place de la République à Paris quelques instants après le défilé de son mouvement parti place de Bastille et qui a réuni 150.000 personnes selon l’organisation.
Le leader de la France insoumise a enjoint, ce samedi, ses sympathisants à faire "le plus de bruit possible" face au "coup d'Etat social" d'Emmanuel Macron".
"On a appris que la démocratie, ça ne serait pas la rue. Monsieur le Président, il vous reste à consulter l’histoire de France", a affirmé lancé Jean-Luc Mélenchon le leader de la France insoumise ce samedi 23 septembre, pendant son discours place de la République à Paris quelques instants après le défilé de son mouvement parti place de Bastille et qui a réuni 150.000 personnes selon l’organisation, avant de se lancer dans une anaphore contre la fameuse phrase d'Emmanuel Macron, "la démocratie ce n'est pas la rue". "C’est la rue qui a abattu les rois, c’est la rue qui a abattu les nazis…", a poursuivi le leader de la France insoumise.
"Vous êtes la fierté et l’honneur de la patrie qui ne se laisse pas insulter", a lancé Jean-Luc Mélenchon le leader de la France insoumise ce samedi 23 septembre, pendant son discours place de la République à Paris quelques instants après le défilé de son mouvement parti place de la Bastille à Paris et qui a réuni 150.000 personnes selon l’organisation. "Personne n’avait jamais parlé au peuple de cette façon", a-t-il ajouté.
Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon ont marché ensemble en tête du défilé contre la réforme du Code du Travail ce samedi. Une image forte six mois après l'échec d'une alliance entre les deux hommes en vue du premier tour de l'élection présidentielle.
"Nous allons être très nombreux à l’arrivée. Je ne sais pas combien on est mais nous on a nos repères", a précisé Jean-Luc Mélenchon dans le cortège du "rassemblement populaire" organisé à Paris par la France insoumise. "On a l’impression d’être au-delà de tout ce qu’on a fait jusqu’à présent", a-t-il ajouté.
"Résistance aux ordonnances Macron, résistance aux décisions très injustes qui ont été prises par le pouvoir sur les allocations logements", a lancé Raquel Garrido, de la France insoumise dans le cortège du "rassemblement populaire" organisé ce samedi 23 septembre à Paris. "Chacun a une raison de résister", a-t-elle poursuivi.
Lors d'une conférence de presse ce samedi à Toulouse, la présidente du FN s'est montrée rassurante sur l'avenir du parti, tout en avertissant son ancien bras droit.
Le député LR confirme à BFMTV avoir reçu une bouteille de champagne de la part de Japan Tobacco International, mais il assure avoir renvoyé le présent.
Contre les ordonnances réformant le code du travail, La France insoumise fait valoir la légitimité de la rue, au moment d'appeler à manifester ce samedi, et utilise les réseaux établis pendant les campagnes présidentielle et législatives.
A la veille d'une nouvelle mobilisation contre la réforme du code du travail par ordonnances, à l'appel de La France insoumise, sa porte-parole a appelé sur notre antenne à respecter les personnes qui descendront dans la rue.
Emmanuel Macron a signé ce vendredi les cinq ordonnances permettant de réformer le Code du travail. Le chef de l'État vantait devant les caméras une "réforme en profondeur inédite de notre marché du travail, menée dans un temps record". Le gouvernement a-t-il gagné la bataille de communication sur la réforme du droit du travail ? Et qu'est-ce qui explique les craintes des Français par rapport au texte ? Les réponses avec Bernard Sananès, dans sa chronique Bonnes opinions, sur BFMTV. - Les bonnes opinions, du vendredi 22 septembre 2017, présenté par Bernard Sananès, sur BFMTV.
"Si on veut sérieusement lutter contre cette violence dans la société, il faut donner la respiration citoyenne", a estimé ce vendredi 22 septembre sur BFMTV Raquel Garrido de la France insoumise. "Il faut aussi respecter les gens qui sont dans la rue et ne pas les traiter de fainéants", a-t-elle poursuivi.
"Le problème d’Emmanuel Macron, c’est qu’il n’a pas de majorité sociale qui soutienne son projet et son programme", a estimé ce vendredi 22 septembre Bastien Lachaud, député France insoumise de Seine-Saint-Denis. "Il a été élu, tout le monde le sait, par défaut, pour empêcher qu’une fasciste arrive au pouvoir dans ce pays", a-t-il ajouté alors que son mouvement organise samedi un "grand rassemblement populaire".
Les 46 conseillers régionaux FN du Grand Est, élus en 2015 avec Florian Philippot comme tête de liste, vont se scinder en deux groupes, avec 11 élus "Les Patriotes" autour de l'ancien numéro deux du parti, a annoncé ce dernier vendredi sur Twitter.
"Cette réforme entrera en vigueur à compter de sa publication", a déclaré le président de la République Emmanuel Macron, après la signature des ordonnances réformant le code du travail. "Il y a une petite vingtaine de décrets qui sont prévus. Tous seront pris avant la fin de l’année (...) Les réformes seront applicables au plus tôt au tard au 1er janvier prochain", a-t-il ajouté.
Depuis l'Elysée, le président a apposé à cinq reprises sa signature sur les ordonnances réformant le Code du travail. Celles-ci doivent à présent être publiées au Journal officiel ce qui rendra les premières mesures applicables dans les prochains jours.
Emmanuel Macron a signé, ce vendredi, les ordonnances réformant le code du travail en direct à la télévision.
Marine Le Pen se dit "prête à parler avec tous ceux qui ne veulent pas faire une croix sur la nation".
Sans être abandonnée, la sortie de l'euro est reportée sine die par la présidente du Front national.
Marine Le Pen, invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC ce vendredi, a considéré que "l'union de la droite est une trop petite ambition". "Il faut réunir l'ensemble de ceux qui considèrent que la nation doit vivre", a ajouté la présidente du Front national.
Marine Le Pen était l’invité de BFMTV ce vendredi, au lendemain de la démission de Florian Philippot du Front national. La dirigeante du FN a notamment évoqué "le retour à la souveraineté monétaire", qui selon elle n’est "plus un préalable". La question de la sortie de l’euro avait justement déclenché une crise au sein du parti frontiste en mai et était justement l’un des fondamentaux du projet que portait l’ex-vice-président.
Marine Le Pen, invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, a avoué avoir "le sentiment d'un gâchis" concernant le départ de Florian Philippot du Front national. "Il va perdre son énergie, il n'a pas d'espace politique", a-t-elle affirmé.
Marine Le Pen, invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC ce vendredi, a estimé que la manière dont Florian Philippot quitte le Front national "n'est pas à la hauteur". "On peut partir par le haut d'un parti politique, le Front national n'est pas une secte", a-t-elle lancé.
Au lendemain du départ de Florian Philippot, la présidente du Front national était l'invitée de BFMTV et RMC, ce vendredi matin.
Florian Philippot met en garde Marine Le Pen sur son isolement face aux "opportunistes" du Front national.
L'éditorialiste de BFMTV Christophe Barbier a estimé que le départ de Florian Philippot n'aurait pas de grande incidence sur l'avenir du Front national. "Si vous n'êtes pas Le Pen, vous n'êtes pas grand chose", a-t-il lancé.
Le quatrième de l'élection présidentielle gagne en popularité, mais ne ferait un bon président qu'aux yeux d'un tiers des Français interrogés.
Les ordonnances réformant le Code du travail devraient être publiées au Journal officiel la semaine prochaine, ce qui les rendra immédiatement applicables.
Les sénateurs sont élus tous les six ans et la moitié du Sénat est renouvelée tous les trois ans. Cette année, 171 sièges sont à pourvoir dans la Chambre haute du parlement.
L'ex-Premier ministre a incité Emmanuel Macron à "tenir bon" avec la réforme du code du travail par ordonnances, qu'il juge "nécessaire pour le pays".
Manuel Valls s'est exprimé ce jeudi soir sur notre antenne sur la crise que traverse le Front national, jugeant qu'elle découle en parti de l'échec de Marine Le Pen à la présidentielle et au débat d'entre-deux-tours.
"Je pense que c’était un patriote sincère, je regrette son départ", a déclaré Bruno Gollnisch, membre du bureau politique du Front national après le départ de Florian Philippot. "Il avait sa place dans notre mouvement", a-t-il ajouté.
LE CARNET DE THIERRY ARNAUD - Retrouvez le décryptage du chef du service politique de BFMTV.
"Florian Philippot était entouré de gens particulièrement dangereux", a déclaré ce jeudi 21 septembre l'ancien Premier ministre et député de l'Essonne, Manuel Valls après le départ de Florian Philippot du FN. "Le Front national est un parti qui n'est pas démocratique. Un parti d'affrontement, de haine", a-t-il poursuivi.
"Je suis à l'aise dans cette majorité tout simplement parce que je veux la réussite de mon pays", a déclaré l'ancien Premier ministre manuel Valls ce jeudi 21 septembre sur BFMTV. "Je ne me place pas comme quelqu'un qui donne des conseils", a-t-il poursuivi.
