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Claude Guéant condamné à deux ans de prison avec sursis dans l'affaire des primes détournées

Claude Guéant condamné à deux ans de prison avec sursis dans l'affaire des primes détournées

Claude Guéant a été condamné vendredi à deux ans de prison avec sursis dans l'affaire des primes perçues lorsqu'il était un conseiller de Nicolas Sarkozy au ministère de l'Intérieur. Le tribunal a également infligé à l'ancien ministre 75.000 euros d'amende et une interdiction d'exercer dans la fonction publique pendant cinq ans. Claude Guéant était poursuivi pour complicité de détournement de fonds publics et recel. Il a annoncé par la voix de son avocat qu'il ferait appel de la condamnation. L’ex directeur général de la police nationale, Michel Gaudin, a lui écopé de 10 mois de prison avec sursis. Il a décidé comme Claude Guéant de faire appel.

"Qu'on nous foute la paix!", lance Aubry sur les fusions de liste

"Qu'on nous foute la paix!", lance Aubry sur les fusions de liste

"On est en train de faire campagne. Si on pouvait nous laisser tranquille ce serait bien. On voudrait faire gagner le FN qu'on ne s'y prendrait pas autrement. Qu'on nous foute la paix!", a lancé vendredi Martine Aubry après les propos de Manuel Valls évoquant une possible fusion des listes droite-gauche au second tour des régionales face à Marine Le Pen en Nord-Pas-de-Calais/Picardie. "On sera au second tour et on sera en tête au premier tour", a martelé la maire de Lille en présence de la tête de liste Pierre de Saintignon.

Marisol Touraine: Le tiers-payant "est une mesure de justice"

Marisol Touraine: Le tiers-payant "est une mesure de justice"

Marisol Touraine était l'invitée de Jean-Jacques Bourdin ce vendredi matin sur BFMTV et RMC. Face à la grogne des médecins, qui ont organisé un mouvement de grève pour protester contre la proposition de la loi de la ministre de la Santé, celle-ci a défendu la mesure du tiers-payant, qui a cristallisé les tensions. "C'est une mesure de justice. C'est une mesure de simplification aussi, c'est moins de paperasse. C'est une mesure qui apparaîtra progressivement comme une évidence", a assuré la ministre.

Marisol Touraine "ne souhaite pas" un assouplissement de la loi Évin

Marisol Touraine "ne souhaite pas" un assouplissement de la loi Évin

Invitée de de Jean-Jacques Bourdin ce vendredi matin sur BFMTV et RMC, Marisol Touraine s'est opposée à l'assouplissement de la loi Evin, souhaitée par le ministre de l'Économie Emmanuel Macron. Cette loi limite la publicité sur l'alcool, mais conserve un "équilibre", qui risquerait d'être rompu selon la ministre de la Santé. "Je le crains, mais j'aurai l'occasion de redire une nouvelle fois à l'Assemblée nationale que je ne souhaite pas que ce soit le cas", a affirmé la ministre.

Ayrault: l'amendement sur la CSG "est une baisse d'impôts"

Ayrault: l'amendement sur la CSG "est une baisse d'impôts"

L'Assemblée nationale a adopté par 35 voix contre 21 l'amendement de l'ex-Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, qui amorce une progressivité de la CSG. Le député de Loire-Atlantique a tenu à défendre son amendement sur BFMTV. "Ce qui a été voté cette après-midi, c'est une baisse d'impôts et pas une augmentation" a affirmé l'ancien maire de Nantes. Il estime que cet amendement va permettre une meilleure "justice fiscale", et en a profité pour donner les premiers détails de la réforme. "Le taux de cotisations de la CSG va passer de 8% à 1.5% et ça se traduirait au 1er janvier 2017 par environ 100 euros de plus sur la fiche de paie", a affirmé Jean-Marc Ayrault

Fusion des listes PS-LR aux régionales: la polémique ne fait que commencer

Fusion des listes PS-LR aux régionales: la polémique ne fait que commencer

Pour faire barrage à Marine Le Pen lors du second tour des élections régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, Manuel Valls envisage une fusion des listes de gauche et de droite. Pierre de Saintignon, la tête de liste PS dans la région, rejette la proposition du Premier ministre, avec le soutien du premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis. À droite, Xavier Bertrand, le candidat Les Républicains, a déclaré qu"'il n'y aura pas d'alliance". À moins d'un mois du premier tour des élections régionales, la stratégie du Premier ministre étonne et embarrasse la majorité.

Fusionner les listes PS-LR aux Régionales? "Tout le monde est hypocrite", estime Apolline de Malherbe

Fusionner les listes PS-LR aux Régionales? "Tout le monde est hypocrite", estime Apolline de Malherbe

Martine Aubry et Manuel Valls ne s'entendent pas, c'est bien connu. Leur relation ne risque pas de s'améliorer avec la position de la maire socialiste de Lille qui rejette la proposition du Premier ministre de fusionner les listes du Parti socialiste et du parti Les Républicains au deuxième tour des élections régionales si le Front national est en tête. "Dans cette histoire, on le sent bien, tout le monde est hypocrite. Manuel Valls pourra rejeter la faute sur Les Républicains en disant 'ils n'ont pas voulu fusionner les listes'. Martine Aubry pourra rejeter la faute sur Manuel Valls (…) Et la droite espère tout de même les voix des électeurs de gauche", a estimé Apolline de Malherbe, éditorialiste politique à BFMTV.

Fillon: "Je pense que les Français n'accepteront pas un remake de 2012"

Fillon: "Je pense que les Français n'accepteront pas un remake de 2012"

Invité de de Jean-Jacques Bourdin ce jeudi matin sur BFMTV et RMC, François Fillon s'est de nouveau prononcé contre la possibilité de retrouver les candidats de 2012 aux élections présidentielles de 2017 . "Je pense que les Français n'accepteront pas un remake de 2012 (…) Il s'agit de refuser une situation où cinq ans après, les Français n'ont comme seul choix que celui de 2012, c'est-à-dire Nicolas Sarkozy, François Hollande et Marine Le Pen", a estimé l'ancien Premier ministre.

Fillon sur la fusion des listes PS-LR aux régionales: "C'est une idée qui n'a aucun sens"

Fillon sur la fusion des listes PS-LR aux régionales: "C'est une idée qui n'a aucun sens"

François Fillon était l'invité de Jean-Jacques Bourdin ce jeudi matin sur BFMTV et RMC. Le député Les Républicains a réagi à la proposition de Manuel Valls de fusionner les listes du Parti socialiste et de la droite, pour faire barrage à l'extrême droite. "C'est une idée qui n'a aucun sens (…) Dire aux Français que face à cette situation on va fusionner avec ceux qui gouvernent, donc on va maintenir la même politique qu'avant, est la meilleure façon de faire monter le Front national", a affirmé l'ancien Premier ministre.