Employant volontairement une "expression forte", l'ancien Premier ministre candidat à la primaire de la droite compare "le totalitarisme islamiste" au "nazisme" et appelle des mesures drastiques, comme le retour de la "double peine". Une mesure supprimée par Nicolas Sarkozy, en 2003.
Si la présidente du Front national a témoigné de sa "solidarité" envers les victimes de la fusillade de Munich, des frontistes ou proches du FN ont eux dénoncé un silence voire un mensonge des médias et des autorités allemandes.
Dans une longue tribune publiée sur Facebook, Christiane Taubira dénonce "ceux qui vocifèrent sans respect des larmes", en privilégiant "leurs intérêts partisans ou leur impatience à s'emparer du pouvoir d'État".
Lors de son premier séminaire depuis les attentats de novembre, samedi, le gouvernement a pris la décision de tenir tout l'été une réunion par semaine consacrée à la sécurité.
Les membres du gouvernement se réunissent en séminaire, ce samedi à l'Elysée, pour définir les priorités de la rentrée.
Le parquet a réclamé vendredi 22 juillet un procès pour le FN et deux de ses dirigeants dans l'enquête sur le financement de ses campagnes de 2012, selon une source judiciaire.
La Cour de cassation a validé vendredi 22 juillet le renvoi en procès de Christine Lagarde, directrice générale du FMI, jugée dans l'affaire de l'arbitrage Tapie pour délit de négligence ayant permis un détournement de fonds publics.
Le gouvernement aura réussi à faire passer sa loi Travail malgré 5 mois de contestations. Mais la bataille est loin d'être terminée. Des parlementaires comptent maintenant sur le Conseil constitutionnel. Les syndicats préparent la rentrée sociale. Et Nuit debout n'est pas encore couché.
Le ministre de l'Intérieur est au coeur de la polémique autour du dispositif de sécurité mis en place le soir de l’attentat de Nice. Mais il garde pour l'instant le soutien de François Hollande.
François Hollande s’est exprimé ce vendredi à la suite du conseil restreint de sécurité et de défense, la quatrième réunion de ce type après l’attentat du 14-Juillet. L'occasion de dresser un nouveau bilan, tout en détaillant les mesures pour contrer Daesh au Levant.
Le candidat déclaré à la présidentielle de 2017 s'est retrouvé dans une situation pour le moins embarrassante jeudi 21 juillet, après avoir accusé la chaîne de magasin Carrefour de vendre le manifeste d'Adolf Hitler.
Julien Dray, conseiller régional socialiste d’Ile-de-France, était l'invité de BFMTV ce vendredi matin. Interrogé sur la polémique entourant le dispositif de sécurité sur la Promenade des Anglais le soir de l'attentat à Nice, l'élu a appelé à la "prudence", tout en évoquant une nouvelle piste.
Après l'attentat du 14 juillet, nourris "de la conviction que la sécurité de nos concitoyens doit prévaloir sur toute autre considération", les Républicains s’affranchissent de toutes les règles juridiques forgées par des années de respect du cadre constitutionnel", dénonce le garde des Sceaux dans une tribune publiée par Libération.
La Haute autorité pour la primaire à droite a donné tort au bureau politique du parti Les Républicains jeudi 21 juillet, en décidant que le vote serait électronique pour tous les français de l'étranger alors que la parti souhaitait un mode de scrutin mixte.
Le projet de loi Travail a été définitivement adopté au Parlement jeudi 21 juillet, faute de motion de censure après le 49-3.
La prolongation pour six mois de l'état d'urgence a été définitivement votée par le Parlement, jeudi 21 juillet.
L'Assemblée nationale a voté une quatrième prolongation de l'état d'urgence jusqu'à fin janvier 2017. Le texte repasse au Sénat dans l'après-midi.
En déplacement à Dublin, François Hollande est revenu sur la polémique autour du dispositif de sécurité le soir de l'attentat de Nice. Le chef de l'Etat en a profité pour réaffirmer son soutien à Bernard Cazeneuve.
Le Front National a appelé jeudi 21 juillet le gouvernement à s'expliquer et a jugé la démission de Bernard Cazeneuve "inévitable" après les révélations de Libération sur les failles du dispositif de sécurité le soir de l'attentat de Nice.
Pour l'élu frontiste, le gouvernement n'est pas à la hauteur. Il propose la création d'un "Guantanamo à la française".
Le compromis trouvé prévoit une prolongation de l'état d'urgence jusqu'en janvier 2017. Il doit être entériné jeudi, une simple formalité.
Alors que des questions demeurent sur le dispositif de sécurité mis en place le soir de la fête nationale à Nice, le Premier ministre a voulu rappeler mercredi aux élus niçois que tout avait été "concerté, consenti et validé" par le maire de Nice.
Le Premier ministre a annoncé mercredi 20 juillet un troisième recours à l'article 49-3 concernant la loi travail, en lecture définitive à l'Assemblée.
Fils d'un ancien ministre de Georges Pompidou, Pierre-Emmanuel Taittinger a décidé de se présenter à l'élection présidentielle sans étiquette.
"Nous assistons à surenchère sécuritaire jamais vue", a déploré dans la nuit de mardi à mercredi l'ex députée écolo Isabelle Attard, à l'Assemblée nationale. "Vous avez décidé, chers collègues, de faire de 'Minority Report' un film de petit joueur", a-t-elle lancé lors de l'examen du projet de loi prorogeant l'état d'urgence. La parlementaire a proposé dans un amendement que "soient considérés comme ayant fait publiquement l’apologie du terrorisme tous les hommes publics, ministres, sénateurs, députés ayant trafiqué de leur mandat, touché des pots-de-vin, participé aux affaires financières véreuses." Il a été rejeté.
François Hollande a lancé mercredi 20 juillet un appel aux Français souhaitant rejoindre les rangs des réserves des forces de sécurité, soulignant qu'"une garde nationale se constitue en France".
Alors que les députés viennent de prolonger de six mois l'état d'urgence, la droite juge la mesure insuffisante. Plusieurs députés en appellent à la fin de l'Etat de droit.
Six jours après l'attentat qui a tué 84 personnes à Nice, François Hollande a dit comprendre la colère mais que celle-ci ne pouvait pas "dégénérer dans la haine et la suspicion" mercredi 20 juillet.
Le député du Rhône Les Républicains Georges Fenech a plaidé mercredi 20 juillet pour la création d'un "Guantanamo à la française" pour gérer le retour des jiihadistes de Syrie et d'Irak.
L'examen du projet de loi reconduisant pour six mois l'état d'urgence a été à la fois âpre et long. Les dissensions ont porté sur l'essentiel: la défense des valeurs républicaines contre le terrorisme.
489 députés se sont prononcés en faveur d'une prorogation du régime d'exception après l'attentat de Nice. 26 se sont prononcés contre.
Après l'attentat de Nice, la députée LR avance ses propositions pour lutter contre le terrorisme islamiste. Elle suggère notamment de renforcer le renseignement et de rendre le salafisme illégal.
La députée FN de Vaucluse est revenue mardi sur BFMTV sur l'attentat de la promenade des Anglais et sur l'hommage aux victimes, ponctué par des sifflets adressés au Premier ministre.
Le Sénat à majorité de droite a rejeté le projet de loi travail sans débat dans l'hémicycle mardi 19 juillet à l'occasion de sa nouvelle lecture.
L'état d'urgence, qui devait prendre fin le 26 juillet, va être prolongé, comme l'a annoncé François Hollande quelques heures après l'attentat de Nice. Le texte va être débattu mardi après-midi à l'Assemblée national pour un vote définitif d'ici à la fin de la semaine.
Quatre jours après l'attentat de Nice, les polémiques se multiplient entre les différents partis politiques. Cette fois, la droite accuse le FN d'avoir fait huer Manuel Valls lors de l'hommage national aux 84 victimes.
C'est un "guide", non une "consigne", avance le ministre de la Jeunesse, Patrick Kanner. Il doit permettre de laisser s'exprimer la parole infantile, mais sans risquer d'en dire plus que ce que les enfants peuvent entendre.
