Lors du premier jour de son procès, Nordahl Lelandais s'est excusé et a reconnu avoir "donné la mort" à Maëlys. La mère et la sœur de l'ancien militaire ont témoigné.
Au premier jour de son procès pour meurtre lundi à Grenoble, Nordahl Lelandais a reconnu avoir "donné la mort" à la jeune Maëlys, avant de présenter ses excuses à sa famille.
"On est rejeté de partout, on est insulté de partout, je n'ai pas le droit de vivre, moi", a-t-elle-dit devant la cour d'assises de Grenoble.
Trois hommes ont été condamnés à des peines de 12 à 18 mois de prison pour avoir agressé Romain Grau, député LaREM, en marge d'une manifestation contre le pass vaccinal.
Le Roubaisien Amine Elbahi, qui avait dès 2020 lancé l'alerte auprès de la préfecture du Nord sur l'islam radical, est victime de nombreuses menaces de mort.
Un policier est toujours activement recherché après que le corps de sa compagne a été retrouvé sans vie vendredi à Paris. Il avait déjà été condamné en 2019 pour des faits de violence conjugale.
En 2020, une plainte a été déposée contre un Ehpad du groupe Orpea situé à Neuilly-sur-Seine, soit près de deux ans avant la publication du livre "Les Fossoyeurs", qui a plongé le groupe dans la tourmente la semaine dernière.
Au premier jour de son procès pour meurtre lundi à Grenoble, Nordahl Lelandais a reconnu avoir "donné la mort" à la jeune Maëlys, avant de présenter ses excuses à sa famille. Me Yves Crespin, avocat des associations L'Enfant bleu et La Voix de l’enfant, parties civiles au procès de Nordahl Lelandais, a réagi ce lundi soir sur BFMTV.
Au premier jour de son procès pour meurtre lundi à Grenoble, Nordahl Lelandais a reconnu avoir "donné la mort" à la jeune Maëlys, avant de présenter ses excuses à sa famille. Pour l'avocat du père de Maëlys, la parole de Nordahl Lelandais est "la bienvenue" s'il souhaite s'expliquer sur les "zones d'ombre" du dossier.
Amine Elbahi, juriste en droit public à Roubaix, a été placé sous protection policière. Il est menacé de mort après avoir dénoncé l’islamisme à Roubaix dans un reportage de Zone Interdite.
Dimanche dernier, la chaine M6 diffusait un épisode de Zone Interdite sur l'islamisme et communautarisme notamment à Roubaix. Depuis, la présentatrice Ophélie Meunier et un des intervenants Amine Elbahi ont reçu des menaces de morts et sont placés sous protection policière.
La femme âgée de 33 ans a été placé en garde à vue ce lundi. Selon les premiers éléments de l'enquête, le couple se serait disputé.
Après les révélations d'un voisin de cellule de Cédric Jubillar sur un possible emplacement du corps de Delphine Jubillar, disparue depuis plus d'un an, les forces de l'ordre poursuivent les fouilles près d'un champ photovoltaïque .
La gendarmerie a organisé à la Grande Halle de la Villette, à Paris, un escape game du 28 au 30 janvier. L'occasion de tester les outils numériques de la gendarmerie. BFMTV vous emmène résoudre une enquête avec Élodie Clouvel, vice-championne Olympique de pentathlon moderne.
Une plainte pour viol a été déposée contre le proche conseiller d'Éric Zemmour a été déposée. Devant le QG du candidat de Reconquête, les réactions sont rares. Le porte-parole du mouvement Antoine Diers, a considéré que "dans toutes les campagnes, on instrumentalise ce genre de choses".
Olivier Ubéda, proche conseiller en communication d'Éric Zemmour, est visé par une plainte pour viols. Le jeune homme qui porte plainte estime avoir été manipulé et ne pas avoir été en mesure de s'opposer à Olivier Ubéda. Ce dernier, qui conteste les faits, va être entendu par la police judiciaire.
Un collectif de familles accuse un Ehpad du groupe Orpéa d'avoir fait subir "des maltraitances" à leurs proches. L'avocate Me Sarah Saldmann, qui les représente, a déclaré sur BFMTV qu'une action collective en justice allait être déposée "début mars".
INFO BFMTV - Contacté par BFMTV, Olivier Ubéda conteste et parle d'un "coup monté pour salir la campagne". Il va être entendu dans les prochains jours par la police judiciaire.
Le procès de Nordahl Lelandais, qui est jugé pour la mort de la petite Maëlys, s'est ouvert ce lundi à Grenoble, en Isère. Avant de prendre la parole, l'accusé a reconnu avoir "donné la mort à Maëlys" et a présenté ses excuses à la famille de la fillette.
Nordahl Lelandais, jugé depuis ce lundi devant la cour d'assises de l'Isère pour l'enlèvement et le meurtre de Maëlys, a reconnu avoir "donné la mort" à la petite fille.
Le procès de Nordahl Lelandais pour l'enlèvement et le meurtre de la petite Maëlys s'est ouvert ce lundi à la cour d'assises de l'Isère.
Sven Lelandais a fait parvenir un courrier dans lequel il affirme ne rien avoir a faire avec son frère et ne pas souhaiter venir témoigner.
Un homme, un policier, est toujours activement recherché après la découverte vendredi du corps de sa compagne dans son appartement à Paris. La victime a été étranglée.
Ce sont de nouvelles révélations autour de maltraitances et négligences présumées dans un Ehpad Orpea. Le groupe privé de gestion de maisons de retraite est dans la tourmente depuis la publication d'une enquête la semaine dernière, entraînant le limogeage de son directeur général dimanche soir. Sur BFMTV, un collectif de proches de résidents d'un établissement de la société situé en Seine-Saint-Denis, dénonce le traitement qui leur est réservé.
La famille de Maëlys est au premier rang, avec de nombreuses photos et de la jeune fille.
Maître Bernard Boulloud souhaite, par respect pour la famille de Maylis, ne pas participer à cette audience.
Maître Bernard Boulloud souhaite, par respect pour la famille de Maylis, ne pas participer à cette audience.
Joachim de Araujo, le père de Maëlys s'exprimait avant le début du procès sur le meurtre de sa fille.
Nordahl Lelandais est de retour lundi devant une cour d'assises à Grenoble pour répondre de la mort en 2017 de la petite Maëlys De Araujo, un procès de trois semaines qui s'annonce comme l'un des plus suivis de l'année tant l'affaire captive médias et opinion.
Nordahl Lelandais est de retour lundi devant une cour d'assises à Grenoble pour répondre de la mort en 2017 de la petite Maëlys De Araujo, un procès de trois semaines qui s'annonce comme l'un des plus suivis de l'année tant l'affaire captive médias et opinion.
Le trentenaire va devoir répondre de l'agression sexuelle de deux petites cousines qu'il avait filmé. Des faits qui se sont produits quelques semaines avant la mort de Maëlys de Araujo.
Les parties civiles attendent une sanction lourde, mais Nordahl Lelandais a déjà été condamné à 20 ans de prison pour le meurtre d'Arthur Noyer. Au-delà de la peine, l'enjeu est aussi pour elle de comprendre les circonstances de la mort de la petite fille.
Le policier de 29 ans, soupçonné d'avoir tué sa femme est toujours activement recherché depuis vendredi soir. L'autopsie indique que la victime est morte "par strangulation". Le suspect était affecté au commissariat du Blanc-Mesnil, il avait déjà été placé en garde-à-vue, il y a plus de deux ans pour des violences sur sa compagne de l'époque. Il est sans doute en fuite avec son arme de service.
Début ce lundi du procès de Nordahl Lelandais devant la cour d’assises de l’Isère. Jugé pour le meurtre de Maëlys et pour des agressions sexuelles sur des petites cousines, Nordahl Lelandais verra sa personnalité analysé par de nombreux experts. Que disent les psychologues qui l’ont rencontré en détention ?
Nordahl Lelandais est jugé à partir de ce lundi, et pour trois semaines, par la cour d'assises de Grenoble pour le meurtre de Maëlys de Araujo en 2017. L'ancien maître-chien militaire de 38 ans est jugé pour le meurtre précédé de l'enlèvement et de la séquestration de cette fillette de 8 ans en août 2017, ainsi que pour des agressions sexuelles à l'encontre de deux de ses petites-cousines au cours du même été.
L'ULM s'est écrasé dans un champ au moment de l'atterrissage, à Douzy.
Une enquête pour "destruction par moyens dangereux pour les personnes" a été ouverte.
Cette femme avait été arrêtée vendredi, après la découverte du corps de son enfant de dix ans jeudi.
Nordahl Lelandais est jugé à partir de ce lundi par la cour d'assises de Grenoble pour le meurtre de Maëlys de Araujo en 2017. Les trois semaines de procès prévues vont peut-être permettre d'éclaircir les zones d'ombre qui perdurent dans ce dossier.
Les policiers intervenaient pour un différend entre deux hommes. La victime, armée, est accusée d'avoir menacé les fonctionnaires, qui ont fait usage de leur arme de service.
Une femme a été découverte dans un appartement du 19e arrondissement de la capitale, vendredi, par des policiers venus alors qu'un de leurs collègues n'avait pas pris son service. La victime a été étranglée, selon les premiers résultats de l'autopsie.
Signalée disparue depuis mercredi soir, la mère du garçon retrouvé mort jeudi, poignardé, dans une benne à gravats de Ferrières-en-Brie a été interpellée à Choisy-le-Roi, dans le Val-de-Marne. Durant sa garde à vue, la mère a évoqué "un trou de mémoire" au moment des faits, "une absence". Mais les éléments recueillis lors de l'enquête sont à charge et accablants. Selon sa famille, c'est une femme qui n'allait pas bien depuis la naissance de son fils il y a 10 ans mais elle n'avait aucun suivi psychologique.
Soupçonnée d'avoir tué son enfant de dix ans, elle avait été arrêtée vendredi matin et a passé deux jours en garde à vue. Selon nos informations, les éléments recueillis lors de l'enquête sont à charge et accablants.
Après sa garde à vue, la mère d'un petit garçon de dix ans, retrouvé mort dans une valise, sera ensuite présentée au Tribunal Judiciaire de Meaux ce dimanche. Elle est soupçonnée d'être impliquée dans la mort de son fils.
Nordahl Lelandais est jugé à partir de ce lundi, et pour trois semaines, par la cour d'assises de Grenoble pour le meurtre de Maëlys de Araujo en 2017.
Une femme avait été tuée à Epinay-sur-Seine (région parisienne) par son ex-conjoint libéré de prison plus tôt, après une remise de peine. Elle n'en avait pas été informée.
L'homme a été interpellé dans le 9e arrondissement de Paris samedi soir, plus de 24 heures après avoir quitté son lieu d'internement. Il est le troisième à s'être échappé de cet hôpital psychiatrique.
Romain, 13 ans, a été décapité en juillet dernier par un homme déséquilibré, qui venait d'avoir l'autorisation de sortir d'un hôpital psychiatrique dans les Bouches-du-Rhône.
La femme de 36 ans, travailleuse du sexe transgenre sans-papier, avait été assassinée lors d'une "expédition punitive" au bois de Boulogne en août 2018.
L'appartement appartient à la grand-mère du suspect, mis en examen et déféré.
