Rébellion avortée: CNN révèle qu'un général russe très important était un membre "VIP" de Wagner
Le général Sergueï Sourovikine, ancien chef des opérations militaires en Ukraine, serait membre du groupe Wagner, selon des documents obtenus par CNN.
Le général Sergueï Sourovikine, ancien chef des opérations militaires en Ukraine, serait membre du groupe Wagner, selon des documents obtenus par CNN.
Les centres de recrutement de Wagner continuent de tourner à plein régime, révèle une enquête de la BCC.
Le ministre des Affaires étrangères russe a déclaré que la nation russe est "toujours sortie plus solide, plus forte, de toutes les difficultés" et que cette tentative de mutinerie avortée n'y déroge pas.
Vladimir Poutine, en visite dans la république russe du Daguestan le 28 juin, a pris un bain de foule sur une place de Derbent, la capitale régionale. Une attitude inhabituelle.
La télévision d'État russe a montré le président Vladimir Poutine rencontrant une foule de sympathisants dans le centre de la ville la plus méridionale de la Russie, Derbent, au Daghestan, ce mercredi soir. Ce bain de foule intervient quatre jours après la rébellion de la milice Wagner, dirigé par Evgueni Prigojine, qui a fortement ébranlé le pouvoir russe en plein conflit en Ukraine.
Le président russe, lors d'une rencontre avec le chef de la république du Daguestan ce mercredi, a affirmé qu'il n'a "pas douté de la réaction" de la population pendant la rébellion de Wagner, qui a fait trembler le Kremlin.
La Biélorussie a annoncé l'arrivée sur son territoire d'Evgueni Prigojine, chef du groupe de mercenaires Wagner, dans le cadre d'un accord avec Vladimir Poutine, mettant fin à la rébellion de la milice samedi dernier. Pour le président polonais Andrzej Duda, la présence du groupe Wagner en Biélorussie pourrait constituer "une menace" pour les pays voisins.
Le président américain a fait un nouveau lapsus devant les journalistes, ce mercredi. Interrogé sur Vladimir Poutine, Joe Biden a confondu la guerre en Ukraine avec celle d'Irak.
Un restaurant dans le centre-ville de Kramatorsk a été bombardé par les forces russes, mardi soir. Le bilan provisoire s'élève à 11 morts et 56 blessés. La Russie a expliqué avoir voulu viser des infrastructures militaires.
Akhmed Zakaïev, premier ministre en exil de la République tchétchène autoproclamée d’Itchkérie, était l'invité de BFMTV pour s'exprime sur Vladimir Poutine et la Russie, après le putsch avorté du groupe paramilitaire Wagner.
Un restaurant dans le centre-ville de Kramatorsk a été bombardé par les forces russes, mardi soir. Le bilan provisoire s'élève à 10 morts et 56 blessés.
La Corée du Sud utilisait déjà le système international classique, mais uniquement pour les documents officiels.
Mardi un bombardement russe sur la ville de Kramatorsk a touché un restaurant de cette ville ukrainienne située à une centaine de kilomètres du front est.
Mardi, une frappe russe a fait au moins quatre morts et quarante-sept blessés dans la ville de Kramatorsk.
Alexandre Loukachenko, président de la Biélorussie a échangé avec Evgueni Prigojine, chef de la milice Wagner qui avait pris le contrôle d'une ville en Russie. Après cette discussion, le chef militaire aurait finalement renoncé à "marcher sur Moscou".
Alors que le dirigeant de Wagner devrait arriver en Biélorussie ce mardi, le président Alexandre Loukachenko a affirmé avoir servi de médiateur lors de la crise avec Moscou.
"L'entretien du groupe Wagner a été entièrement assuré par l'État", assure le président russe.
La venue du chef de Wagner avait été négociée dans le cadre d'un accord avec le Kremlin, qui a mis un terme à la rébellion armée qu'il avait amorcée contre Moscou.
Ce mardi 27 juin, le président de la Russie, Vladimir Poutine, s’est exprimé sur la rébellion avortée de la milice Wagner. 4 jours auparavant, la milice Wagner, dirigée par Evgueni Prigojine, avait décidé de se retourner contre l’État russe. Vladimir Poutine a tenu a remercier les soldats d’avoir "fait éviter le chaos et la guerre civile".
Vladimir Poutine s'exprimait ce mardi face à des hauts gradés de l'armée russe à la suite de l'offensive avortée de la milice Wagner ce week-end. Il a rappelé à ses militaires que l'état "finançait entièrement ce groupe". Selon le président russe, l'état russe a donné 86 milliards de Roubles en un an à Wagner.
Dans un discours, le président russe Vladimir Poutine a remercié les soldats qui ont "arrêté la guerre civile". après la tentative de déstabilisation de la milice militaire Wagner.
Le chef du Kremlin, Vladimir Poutine, prend une deuxième fois la parole sur la mutinerie de la milice Wagner. Il affirme que c'était "l'État russe" qui "entretenait" financièrement la milice Wagner.
3 jours après la rébellion avortée de la milice Wagner, Vladimir Poutine s'exprime devant les soldats de l'armée russe engagés contre les mercenaires d'Evgueni Prigojine.
Le président russe s'est exprimé face à ses soldats ce mardi. Il a remercié les militaires qui se sont mobilisés contre la milice Wagner lors du début de putsch.
Le dirigeant biélorusse a assuré qu'il avait ordonné à son armée de se tenir "prête au combat" après la début de la rébellion du groupe paramilitaire Wagner en Russie. "La situation nous a échappé", a-t-il aussi reconnu, à propos des tensions qui grandissaient depuis des mois entre Wagner et l'armée russe.
La ministre de l'Europe et des Affaires étrangères s'est exprimée ce mardi. Interrogée sur la rébellion avortée de la milice Wagner, elle évoque plus généralement "un échec" de la Russie dans sa tentative de guerre avec l'Ukraine.
Lors d’un discours tenu devant les membres des forces de sécurité russes qui ont participé à la répression de la tentative de rébellion de Wagner, le président russe Vladimir Poutine a remercié les soldats qui ont "arrêté la guerre civile".
Trois jours après la rébellion de la milice Wagner, Vladimir Poutine s'est exprimé depuis Moscou ce mardi midi, remerciant notamment les soldats qui ont empêché "une guerre civile".
Lors de cette même prise de parole depuis Moscou, le président russe a remercié les soldats qui sont intervenus vendredi et samedi, et qui selon lui ont empêché une "guerre civile"
Le pouvoir russe affirme qu'un transfert des armes "lourdes" de Wagner vers l'armée régulère était en cours et que les poursuites contre le groupe paramilitaire ont été levées.
Sans jamais se citer mutuellement, Vladimir Poutine et Evguéni Prigojine ont échangé lundi par déclarations interposées. Le président russe n'a annoncé aucune sanction vis-à-vis des hommes de Wagner, tandis que le chef de la milice a relativisé la rébellion avortée.
Les éditorialistes de la télévision russe ont émis des critiques à l'encontre de Vladimir Poutine, dont ils ne comprennent pas la réaction après la rébellion avortée de Wagner.
Un avion qui appartiendrait à Evguéni Prigojine a décollé ce matin de Saint-Pétersbourg, là ou se trouvent les sociétés du leader de la milice Wagner en direction de la Biélorussie, pays d'exil pour les membres de cette même milice.
Plaidant d'ordinaire la cause de Vladimir Poutine, les éditorialistes ont cette fois émis des réserves sur la réaction du président à la suite des événements de ce week-end.
Après la tentative de putsch d'Evguéni Prigojine ce week-end en Russie, les autorités tentent de donner un sentiment de normalité. Alors que les troupes de Wagner se rapprochaient de la capitale, le maire de Moscou avait déclaré la journée de lundi chômée pour éviter que trop de civils ne se déplacent dans les rues. Les russes ont profité de cette journée et du retrait des troupes de Wagner pour sortie en nombre dans les rues et donner une impression de retour à la normale.
Trois jours après la tentative de rébellion finalement avortée du groupe Wagner, Vladimir Poutine a pris la parole pour rassurer son peuple. Le président biélorusse Loukachenko a dévoilé les coulisses d'un week-end très tendu.
Le président russe Vladimir Poutine a une nouvelle fois dénoncé lundi les "traîtres" qui ont cherché selon lui à plonger le pays dans la guerre civile, sans citer de nom, tout en remerciant les combattants de Wagner qui ont évité un bain de sang en renonçant à leur coup de force. Dans une brève allocution télévisée, dont son porte-parole Dmitri Peskov avait assuré qu'elle contiendrait des "annonces importantes", ce qui n'a pas été le cas, le maître du Kremlin s'est engagé à tenir sa promesse envers les mercenaires de Wagner qui feront le choix de s'installer en Biélorussie avec leur chef Evguéni Prigojine, tout en les appelant à rejoindre plutôt l'armée russe.
BFMTV était en édition spéciale "Après le putsch, Poutine affaibli", suite au coup d'État avorté de la milice Wagner. À quel point le pouvoir de Vladimir Poutine vacille-t-il après ce camouflet ? Nos envoyés spéciaux en Russie et en Ukraine, ainsi que nos experts en plateau apportent leur éclaircissements.
Le chef de la milice Wagner, Evgueni Prigojine, a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. De son côté, Vladimir Poutine a pris la parole à la télévision russe et déclaré que "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
Le président russe s'était exprimé une première fois, ce lundi midi, depuis la rébellion avortée de Wagner durant le week-end, sans la citer. Dans la soirée, il a repris la parole lors d'une allocution télévisée, remerçiant notamment le peuple russe pour sa "résilience" et proposant aux combattants de Wagner de rejoindre l'armée ou de partir pour la Biélorussie.
Marat Gabidullin, ancien membre de la milice Wagner, était l'invité de BFMTV pour évoquer le putsch avorté d'Evgueni Prigojine. Ce dernier a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. De son côté, Vladimir Poutine a pris la parole à la télévision russe et déclaré que "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
L’inquiétude avait paru saisir Moscou face à la mutinerie avortée du groupe paramilitaire Wagner samedi. Vladimir Poutine affiche désormais un "retour à la normale" de façade, analysent plusieurs spécialistes.
Marat Gabidullin, ancien membre de la milice Wagner, était l'invité de BFMTV pour évoquer le putsch avorté d'Evgueni Prigojine. Ce dernier a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. De son côté, Vladimir Poutine a pris la parole à la télévision russe et déclaré que "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
Marat Gabidullin, ancien membre de la milice Wagner, était l'invité de BFMTV pour évoquer le putsch avorté d'Evgueni Prigojine. Ce dernier a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. De son côté, Vladimir Poutine a pris la parole à la télévision russe et déclaré que "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
Vladimir Poutine a pris la parole après le putsch avorté de la milice Wagner, puis réuni les principaux responsables sécuritaires du pays pour un conseil de sécurité. Selon le président russe, "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
Vladimir Poutine a pris la parole après le putsch avorté de la milice Wagner, puis réuni les principaux responsables sécuritaires du pays pour un conseil de sécurité. Selon le président russe, "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
Dans une allocution télévision, le président russe a estimé que la plupart des mercenaires du groupe paramilitaire de Wagner entrés en rébellion samedi étaient des "patriotes" qui feraient le "bon choix".
Vladimir Poutine, a pris la parole après le putsch avorté de la milice Wagner. Selon le président russe, "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée". Le chef de l'État a néanmoins remercié "les soldats et les commandants de Wagner qui ont pris la bonne décision d'arrêter".
Le président russe s'exprimait pour la deuxième fois depuis le Kremlin depuis la mutinerie du groupe paramilitaire Wagner. Il a estimé que cette "tentative de déstabilisation" avait échoué.
Le président russe, Vladimir Poutine, a pris la parole après le putsch avorté de la milice Wagner. Selon le président russe, "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".