Une étude publiée fin mai dans la revue JAMA Neurology confirme la dangerosité du topiramate pour les femmes épileptiques enceintes. Ce médicament était déjà connu pour augmenter les risques de malformations chez le nourrisson.
Le nombre total de test a doublé en l'espace de quelques semaines, une nouvelle preuve de l'accélération de la septième vague.
L’épidémie de Covid-19 reprend. La septième vague. Selon le professeur Jean-François Delfraissy, le pic est attendu probablement pour la fin juillet. Le Pr Philippe Amouyel assure sur BFMTV que "l'été ne sera pas gâché" par la nouvelle vague de Covid-19. "Il y a quand même un risque lié à l'état de l'hôpital", nuance-t-il.
L'OMS alerte sur une forte augmentation des cas sur le continent dans les deux prochains mois.
L'épidémiologiste Dominique Costagliola a répondu aux questions de BFMTV.com sur la 7ème vague de Covid-19. "Nos comportements peuvent faire changer le futur de l'épidémie", a-t-elle insisté.
Tandis que l'Établissement français du sang s'est alarmé mercredi de la faiblesse de ses réserves en poches de sang à l'orée de l'été, BFMTV.com rappelle ce jeudi les enjeux du don et ses modalités.
Pour le moment, seuls les plus de 60 ans et les personnes immunodéprimées qui sont éligibles à cette deuxième dose de rappel, car elles sont plus à risque de faire des cas graves.
Plusieurs scientifiques estiment que le pic de cette nouvelle vague devrait arriver au milieu des vacances d'été, mais il est difficile de savoir à l'avance l'importance et la virulence de cette nouvelle vague.
Le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy prévoit une évolution de l'épidémie prévue dans les mois à venir en France, notamment un pic à la fin du mois de juillet. L'hôpital est-il menacé par ces hausses du nombre de cas positifs ?
L'épidémiologiste et directrice de recherche Inserm à l'IPLESP Dominique Costagliola était l'invitée ce jeudi du Live Toussaint.
L'épidémiologiste et directrice de recherche Inserm à l'IPLESP Dominique Costagliola était l'invitée ce jeudi du Live Toussaint.
Avec une moyenne de 70.160 cas positifs sur les sept derniers jours, le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy prévoit un pic de contamination pour la fin juillet avant l'apparition d'un nouveau variant dès l'automne. Face à ces prévisions, l'infectiologue Enrique Casalino appelle à un renforcement de la vaccination, notamment pour la population à risque et au port du masque.
Invité de RTL ce jeudi matin, Jean-François Delfraissy, s'est exprimé sur le rebond épidémique qui touche actuellement la France. Pas favorable au retour de l'obligation du port du masque, il s'est également montré convaincu de la capacité de résistance du pays face au variant BA.5.
Un rapport publié ce mercredi "fait état de manquements et d'insuffisances dans le traitement des événements indésirables, le système d'incitations managériales et la gestion des ressources humaines"
Une étude publiée dans The New England Journal of Medicine établit une résistance des sous-variants d'Omicron aux vaccins actuellement disponibles.
147.248 nouveaux cas confirmés de Covid-19 ont été recensés ce mardi, selon les données de Santé publique France. Yves Buisson, épidémiologiste et membre de l'Académie de médecine, était l’invité de BFMTV ce mercredi soir. "Il faut que les personnes à risque portent le masque FFP2 quand il y a du monde et qu'elles maintiennent leur couverture vaccinale", explique-t-il.
Après 6 vagues de Covid-19, la France entre désormais dans une septième vague, avec près de 70.000 cas par jour en moyenne cette dernière semaine. Qu'est-ce qui est recommandé ? Obligatoire ? Qui peut faire son deuxième rappel de vaccin ?
Face à la reprise de l’épidémie de Covid-19, Charles Billiard, porte-parole de FlixBus France, explique encourager "vivement ses passagers et ses agents à remettre le masque dans les bus et gares routières".
L'Agence du médicament alerte sur la consommation de ces compléments alimentaires, qui peuvent avoir des conséquences néfastes en cas de surdosage ou chez certaines populations.
147.248 nouveaux cas confirmés de Covid-19 ont été recensés ce mardi, selon les données de Santé publique France. Le professeur Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Tenon à Paris (AP-HP), explique qu’il faut "resserrer les boulons" face à la reprise de l’épidémie.
La 7e vague de Covid est là. Près de 150.000 nouveaux cas ont été enregistrés mardi, soit une hausse de 54% en une semaine. Le taux d'incidence a quant à lui doublé en sept jours. Parallèlement, le Portugal et l'Italie sont aussi touchés par de nouvelles vagues. Dans quelle mesure notre été est-il menacé?
Le nombre de nouveaux cas positifs au Covid-19 rapporté mardi par les autorités sanitaires a bondi à 147.248, soit 54% de plus qu'il y a une semaine. Sur fond de 7e vague, les hospitalisations concernent surtout les personnes déjà éligibles à la 4e dose.
En plein début de 7e vague de Covid-19, la campagne de deuxième dose de rappel, aussi appelée quatrième dose, est au calme plat. Mais face au rebond épidémique, les rendez-vous repartent à la hausse. Ils ont ainsi été multipliés par quatre en deux semaines.
Des freins liés à l'âge, des questions intrusives, des conditions pour accéder à la PMA: un an après le vote du Parlement qui ouvre son accès aux couples de femmes et aux femmes célibataires, certaines dénoncent des pratiques qu'elles jugent discriminatoires.
C'est une autre épidémie qui touche 4 personnes sur 10 et ça ne va pas s'arranger. D'ici 2050, la moitié de la population mondiale sera myope. Myope, c'est quand on ne voit pas de loin. Le problème, c'est que certains s'en accommodent très bien ou ne s'en rendent pas compte. Et la myopie touche de plus en plus d'enfants.
La France fait bel et bien face à une nouvelle vague de Covid-19 avec un très fort rebond ces dernière 24h. Près de 150.000 nouveaux cas enregistrés hier, soit une hausse de 54% en une semaine. Le taux d'incidence a lui doublé en 7 jours.
Le nombre de nouveaux cas positifs de Covid-19 en France rapporté mardi par les autorités sanitaires a bondi, à 147.248, soit 54% de plus qu'il y a une semaine, sur fond de "septième vague" de l'épidémie en Europe. Il s'agit du plus haut niveau de contamination diagnostiquée depuis la fin avril. Il y a sept jours, Santé publique France rapportait quelque 95.000 cas positifs. Et 35.000 cas quotidiens pour le mardi 31 mai, il y a un mois. Au total, 15.496 malades du Covid étaient hospitalisés mardi, contre 14.333 une semaine plus tôt. Parmi eux, 898 étaient pris en charge dans les services de soins intensifs, contre 841 il y a une semaine. L'Europe connaît actuellement une septième vague de Covid-19, qui s'explique en grande partie par l'échappement immunitaire des nouveaux variants, c'est-à-dire une forte capacité à résister aux protections induites par la vaccination et les précédentes infections.
Omicron et ses sous-variants ont dominé les contaminations au cours de l'année 2022, à tel point qu'ils représentent désormais la grande majorité des infections du monde entier.
Depuis le 1er juin, plus de 3000 cas de variole du singe ont été signalés à l'Organisation mondiale de la santé dans 50 pays, dont une large majorité en Europe.
Près de 150.000 cas de Covid-19 ont été enregistrés ce mardi par les autorités sanitaires, alors que toute l'Europe est frappée par une nouvelle vague de la pandémie.
Face aux récentes accusations de viols contre plusieurs gynécologues, une partie de la profession s'estime "rattrapée par la société" et par l'exigence croissante de consentement et de bienveillance des femmes. Certains gynécologues ont fait part de leur désarroi à BFMTV.com.
La Première ministre a également tenu à réaffirmer l'importance de posséder un schéma vaccinal complet, notamment pour les personnes de plus de 60 ans et les Français immunodéprimés qui sont éligibles à la quatrième dose.
Pour la première fois depuis 2 mois, la France se prépare, ce mardi, à passer le stade des 100.000 nouvelles contaminations au Covid-19 en 24h. Le taux d'incidence est en hausse dans toute la métropole.
La Première ministre Élisabeth Borne a réunit ce mardi les préfets et directeurs d’ARS par visioconférence pour évoquer la situation épidémique en France. Matignon n'imposera pas de contraintes alors que l'état d'urgence sanitaire doit s'achever fin juillet. Olfa Hamzaoui, médecin réanimatrice d'un CHU des Hauts-de-Seine, dénonce l'absence d'effectifs au sein des hôpitaux au micro de BFMTV.
La Haute Autorité de Santé a rendu un avis favorable ce mardi afin de permettre aux infirmiers, pharmaciens et sages-femmes de vacciner les enfants, âgés d'au moins deux ans, contre plusieurs maladies dont la coqueluche ou encore la diphtérie.
L'Europe connait actuellement une hausse du nombre de cas de Covid-19. Si le pass sanitaire a quasiment disparu chez nos voisins, le port du masque reste encore obligatoire dans de nombreux lieux.
Le professeur alerte sur la diminution de l'efficacité du vaccin dans le temps et suggère l'administration d'une 4e dose pour les personnes concernés. L'infectiologue invite aussi la population à "porter le masque volontairement" dans les lieux avec une forte affluence.
Les salariés du CHU de Bordeaux sont appelés à une grève illimitée à partir d'aujourd'hui. L'établissement est sous-tension, à tel point que la direction doit filtrer les admissions aux urgences à partir de 17h. Une situation extrêmement tendue alors que l'été arrive et que la 7ème vague est là.
Brigitte Bourguignon, ministre de la Santé encore quelques jours seulement, nous conseille de remettre le masque de la transports !... Par civisme parce que nous sommes face à un variant très transmissible. Pour l'instant, la ministre ne veut pas parler d'obligation. Mais est-ce pour nous y préparer. Elisabeth Borne réunira les préfets et les directeurs d'ARS cet après-midi par visio-conférence.
Plusieurs substances sont notamment pointées du doigts par le rapport. L'exposition à certaines dans le milieu professionnel pourrait être réduit.
La Première ministre va écouter les recommandations concernant les semaines à venir et la reprise épidémique en France.
Samedi, l'ARS Île-de-France a révélé qu'un premier enfant atteint de la maladie avait été identifié. Au sein de l'école que le jeune malade fréquente, les parents d'élèves ont été informés pour éviter les contaminations en cascade.
Plus de 50 000 cas positifs sont enregistrés chaque jour en France. Une hausse due à la propagation du sous-variant BA.5, du relâchement des gestes barrières mais aussi à la baisse de la protection du vaccin dans le temps.
Brigitte Bourguignon estime que le contexte épidémique rend important le retour de certaines mesures.
La pandémie est en pleine reprise avec la diminution du respect des gestes barrières et la propagation du variant BA.5. En augmentation depuis la fin du mois de mai, le nombre de nouveaux cas quotidiens dépasse aujourd'hui les 50 000 en moyenne sur une semaine en France.
Vendredi sur BFMTV, l'infectiologue Gilles Pialoux a appelé les Français à ne pas attendre "qu'il y ait des contraintes" pour recevoir une nouvelle dose de vaccin contre le Covid-19. Mais dans les faits, seules certaines catégories de population sont pour l'heure éligibles à cette quatrième dose.
Après les accusations de viol visant la secrétaire d'État Chrysoula Zacharopoulou, certains gynécologues appellent "au discernement" pour faire la différence entre "examens médicaux et viols".
L'OMS a annoncé son intention de changer le nom de la maladie, jugé à la fois stigmatisant et trompeur.
Invité sur BFMTV ce lundi matin, le médecin urgentiste a rappelé l'importance de remettre le masque, notamment dans les transports en commun.
54.241 cas ces dernières 24h en hausse de 41% sur une semaine. Le variant Omicron BA5 est désormais majoritaire en France, il est très contagieux, et il profite allègrement de la fin des gestes barrières.
