Fillon accuse la gauche de vouloir le "tuer" mais tempère sur le "cabinet noir"
Le candidat à la présidentielle a dénoncé un "déchaînement" à son encontre.
Le candidat à la présidentielle a dénoncé un "déchaînement" à son encontre.
Nathalie Kosciusko-Morizet, députée LR de l'Essonne et membre de l'équipe de campagne de François Fillon, était ce lundi matin l'invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et sur RMC.
Lors d'un meeting dans le Vaucluse mercredi soir, François Fillon s'est présenté
Après le rassemblement du Trocadéro, le centriste Jean-Louis Borloo était toujours sceptique sur les chances de François Fillon de remporter l'élection de mai prochain.
Si le candidat LR remportait l'élection présidentielle de mai prochain, il s'entourerait d'une garde rapprochée de 15 ministres avec un nombre de secrétaires d'Etat et des membres de cabinets limités.
François Fillon avait jugé samedi le dessin "inacceptable".
Quelques jours après les révélations embarrassantes du Canard Enchaîné sur l'emploi fictif dont aurait bénéficié son épouse, François Fillon se faisait payer pour 13.000 euros de costumes par un anonyme, révèle le JDD. Au total, depuis 2012, le candidat de la droite se serait fait offrir pour 48.500 euros de vêtements issus de la très chic boutique parisienne Arnys.
Le candidat à la présidentielle a réagi à la polémique provoquée par une caricature d'Emmanuel Macron diffusée par le compte Twitter du parti Les Républicains vendredi.
Une annonce officielle faite l'air de rien, ou presque, par le maire de Bordeaux, qui avait pourtant chargé le candidat de la droite à la présidentielle, lundi.
François Fillon a commencé à désigner sa nouvelle équipe de campagne. Quatre nominations ont été dévoilées ce jeudi. Elles mettent les sarkozystes à l'honneur.
Avant le refus d'Alain Juppé de s'imposer comme relais de François Fillon, ses soutiens ont tout essayé pour le convaincre d'y aller.
Lors de son meeting à Orléans mardi soir, le candidat Les Républicains est revenu sur la manifestation de soutien au Trocadéro dimanche dernier. Et a reconnu que si la place avait été vide, il en aurait "tiré les conclusions."
François Fillon aurait bénéficié d'un prêt de 50.000 euros contracté auprès de son ami, le milliardaire Marc Ladreit de Lacharrière. Prêt qui n'est pas mentionné dans la déclaration à la Haute autorité pour la Transparence de la vie publique.
Le candidat survivant de la droite doit former cette semaine son équipe "de combat". François Baroin est pressenti pour en prendre les rênes et pour former un "ticket" avec le candidat à la présidentielle.
Gérard Larcher a indiqué lundi soir à l'issue du comité politique du parti Les Républicains que "François Fillon avait confirmé sa candidature à l'élection présidentielle". "Le comité politique, après un large échange, a renouvelé à l'unanimité son soutien à François Fillon", a précisé le président du Sénat assurant "que les Républicains étaient rassemblés et déterminés" autour de leur candidat.
Malgré les déboires judiciaires du candidat Fillon et les défections au sein du parti, Les Républicains ne disposent pas d'armes juridiques pour empêcher sa candidature. La décision ne peut venir que de lui seul.
En annonçant une bonne fois pour toutes qu'il ne sera pas candidat à la présidence de la République, Alain Juppé n'a pas du tout épargné François Fillon. Plus que jamais, la droite apparaît fracturée, au pied du mur. Et les alternatives, bien fragiles.
REVUE DE PRESSE - La presse consacre essentiellement ses articles à François Fillon ce lundi, au lendemain de la manifestation au Trocadéro à Paris, après laquelle le candidat a annoncé le maintien de sa candidature à l'élection présidentielle.
Le maire de Tourcoing et vice-Président de la région des Hauts-de-France l'a indiqué ce dimanche soir dans un tweet.
L'ancien Premier ministre a indiqué dimanche dans un tweet qu'il ferait une déclaration à la presse ce lundi à Bordeaux à 10h30.
Lors d'un meeting place du Trocadéro à Paris, l'ancien Premier ministre s'est exprimé sur la centaine de soutiens qui ont lâché sa candidature ces derniers jours. Affirmant qu'il a réalisé son propre "examen de conscience", le candidat à la présidentielle leur demande de faire de même.
Sans les nommer, François Fillon s'en est pris dimanche à Paris lors du rassemblement place du Trocadéro aux désertions dans son camp après sa convocation chez les juges dans l'affaire des soupçons d'emplois fictifs de membres de sa famille. "Je dois m'interroger sur ceux qui doutent et qui fuient le navire", a-t-il lancé. "Leur responsabilité est immense la mienne aussi. Je suis un homme pudique mais je dois vous faire une confidence, je ne me suis jamais réveillé un matin en me disant tient, je dois être le président de la République", a-t-il ajouté.
Le "grand rassemblement" organisé ce dimanche, place du Trocadéro à Paris, a été voulu par François Fillon. Le candidat avait déclaré "Je vous attends nombreux, très nombreux, pour montrer aux yeux de tous ce qu'est la volonté populaire des militants de la France".
Le candidat Les Républicains espère un grand rassemblement sur la place du Trocadéro, dimanche à Paris. La manifestation doit être très encadrée.
L'épouse de François Fillon a décidé de s'exprimer pour la première fois depuis le début de l'affaire, dans une interview accordée au Journal du Dimanche. Elle apporte son soutien à son mari et fournit quelques explications sur les emplois présumés fictifs à l'Assemblée nationale et à la Revue des Deux Mondes.
Charles Beigbeder s'est félicité samedi, en marge du discours de François Fillon, des défections autour du candidat LR, et évoqué "un QG de campagne nettoyé des éléments perturbateurs, épuré".
François Fillon a tenté, ce samedi devant des soutiens de la société civile à Aubervilliers, de s'en tenir à son projet pour la France. Il n'a évoqué que rapidement, en fin de discours, les affaires qui pèsent sur sa campagne.
François Fillon poussé vers la sortie? Le comité du parti Les Républicains est en tout cas convoqué lundi pour "évaluer la situation".
François Fillon fête son 63e anniversaire ce samedi, au lendemain des nombreuses défections de ses soutiens. Sur twitter, les internautes ne manquent pas d'humour pour célébrer l'événement.
Patrick Stefanini, le directeur de campagne de François Fillon, a annoncé sa démission. Après un imbroglio, cette dernière sera finalement effective dimanche soir.
Dans une vidéo publiée sur son compte Twitter, François Fillon appelle les Français à se réunir nombreux dimanche à 15h place du Trocadéro.
Un rassemblement en soutien à la candidature de François Fillon est prévu ce dimanche place du Trocadéro à Paris. Alors que sa famille politique se désolidarise, sur le terrain la mobilisation a du mal à prendre.
Alors que se précise la perspective d'un plan B en faveur d'Alain Juppé, les sarkozystes lui préfèrent François Baroin. L'ancien président joue un rôle important dans les négociations qui doivent permettre de conduire François Fillon à retirer sa candidature.
François Fillon tenait un meeting, ce jeudi à Nîmes. Au lendemain de l'annonce du maintien de sa candidature malgré sa prochaine convocation devant la justice, le candidat de la droite est revenu sur cette affaire: "Ces dernières semaines, on a mis à l'épreuve ma vie. On cherche le moindre faux-pas. Je dis aux Français jugez-moi sur mon parcours. Je n'ai pas fait de grandes écoles. Je n'ai pas été banquier. J'ai donné 36 ans de vie publique à ma ville, à mon département, à ma région, à la France."
Au lendemain de l'annonce du maintien de sa candidature, François Fillon a tenu un meeting, ce jeudi, à Nîmes. Le candidat de la droite en a profité pour donner sa vision de l'immigration: "Notre nation a toujours tiré sa force de son unité au-delà de ses différences, au-delà de ses origines. Mais pour la solidité de notre pacte national, nous avons le devoir aujourd'hui de limiter l'immigration à son strict minimum".
Franck Riester est revenu sur la tenue d'une manifestation de soutien à François Fillon dimanche au Trocadéro. Le député LR, qui s'est retiré de la campagne du candidat de la droite, estime que ce n'est pas "en faisant venir des cars que l'on va changer le destin du pays".
François Fillon tient un meeting, ce jeudi à Nîmes. Le candidat de la droite, qui doit faire face à de nombreux désistements dans son équipe de campagne, a débuté son discours avec ces mots: "Fillon, il est seul, disent-ils à Paris. Fillon est avec le peuple de France à Nîmes". Ce mercredi, l'ancien Premier ministre a annoncé le maintien de sa candidature malgré sa prochaine convocation devant les juges le 15 mars prochain.
De nombreux élus Les Républicains font part de leur malaise face à la manifestation annoncée par le clan Fillon, prévue dimanche à Paris.
De très nombreux médias étrangers commentent depuis mercredi la décision de François Fillon de poursuivre sa campagne. Dans l'ensemble, la presse étrangère est très sévère avec le candidat, et renvoie une image peu glorieuse de la présidentielle française.
Ces élus de terrain rappellent à François Fillon sa promesse de démission s'il était mis en examen.
Après l'annonce de François Fillon de maintenir sa candidature malgré sa future convocation devant des juges en vue d'une mise en examen, plus d'une trentaine de personnes ont annoncé qu'il quittait son équipe de campagne.
Ce proche de François Fillon évoque une "machination" contre son candidat et dénonce "une justice d'exception" à son égard.
Alors qu'une perspective de mise en examen se profile pour François Fillon, son camp se désunit autour de sa candidature, à l'instar du député LR Sébastien Huyghe. "Je pense qu'aujourd'hui un candidat de la droite et du centre, autre que François Fillon, peut l'emporter", a estimé l'élu du Nord, qui demande au candidat de se retirer. "Il doit le faire", a-t-il insisté.
François Fillon, convoqué le 15 mars en vue d'une mise en examen dans l'enquête sur les emplois présumés fictifs de sa famille, a annoncé mercredi qu'il ne "retirerait pas" sa candidature à l'élection présidentielle. Pourtant le 29 août 2016 sur BFMTV et RMC, le candidat de la droite avait déclaré "si j'étais mis en examen, je considérerais que je ne suis pas en mesure d'assurer la direction du pays dans des conditions exemplaires". "Mis en examen, est-ce que vous seriez candidat?", lui avait demandé Jean-Jacques Bourdin. "Non, je ne serais pas candidat", avait-il répondu.
François Fillon sera convoqué le 15 mars afin d'être mis en examen dans le cadre de l'emploi présumé fictif de son épouse. "C'est un assassinat", a dénoncé le candidat de la droite, soulignant que la date limite de dépôt des candidatures pour la présidentielle est fixée deux jours plus tard, le 17 mars. "Par ce déchaînement disproportionné, sans précédent connu, par le choix de calendrier, ce n'est pas moi seulement qu'on assassine, c'est l'élection présidentielle", a-t-il estimé.
François Fillon a annoncé ce mercredi depuis son QG de campagne qu'il serait convoqué "le 15 mars par les juges d'instruction afin d'être mis en examen", dans le cadre de l’enquête sur les emplois fictifs présumés de son épouse. "Je ne cèderai pas, je ne me retirerai pas", a-t-il néanmoins déclaré à propos de sa candidature à la présidentielle. "Depuis le début, je n'ai pas été traité comme un justiciable comme les autres", a-t-il estimé, dénonçant un "assassinat politique". Le candidat de la droite a appelé ses partisans à la résistance.