Cette proposition de l'ancien Premier ministre a reçu un accueil favorable chez un député PS de Seine-Saint-Denis mais a suscité une critique virulente de la part de Marine Le Pen sur Twitter.
Les ministres des Finances et du Budget ont présenté mercredi la feuille de route devant mener à la retenue à la source de l'impôt sur le revenu en 2018, mais beaucoup de questions pratiques restent en suspens, dont celle d'une "année blanche" fiscale. François Hollande est monté lui-même au créneau dans la journée pour défendre le projet, indiquant que la réforme allait "simplifier la vie des Français" sans "compliquer la vie des entreprises". Il n’y aura "pas de conséquences ni sur votre gestion ni sur la relation avec vos salariés", a poursuivi le président de la République à l’attention de chefs d’entreprise. François Hollande estime que cette "réforme est attendue depuis longtemps" par les Français.
Il a forcé le passage du projet de loi Macron en deuxième lecture à l’Assemblée nationale en utilisant le 49.3 mardi. Selon un sondage Elabe – L’Opinion en direct réalisé pour BFMTV ce mercredi, près de sept Français sur dix estiment que Manuel Valls a eu tort d’empêcher le Parlement de débattre plus longtemps des articles de ce texte. Dans le détail, 45% des sympathisants de gauche regrettent la méthode. Sans surprise, les sympathisants de droite sont plus sévères avec le Premier ministre: 79% d’entre eux condamnent l’utilisation du 49.3.
Le site d'informations Mediapart a révélé mercredi que les sénateurs UMP ont touché de généreuses étrennes de 8.000 euros, chaque année, de 2003 à 2014.
Plus de 10.000 places d’hébergement supplémentaires pour les migrants. C’est l’une des annonces fortes de Bernard Cazeneuve ce mercredi matin. Le ministre de l’Intérieur a présenté un nouveau plan pour faire face à l’afflux des candidats à l’Europe dans l’Hexagone. Aux abords d’un camp illégal de migrants installé dans Paris, on salue la décision du gouvernement.
Emmanuel Macron a accordé une interview à BFMTV ce mercredi soir depuis son bureau à Bercy. Interrogé par Ruth Elkrief sur le prélèvement à la source annoncé par le gouvernement d’ici 2018, le ministre de l’Economie a réfuté tout cadeau électoral en 2017, année de la prochaine présidentielle. "C’est vraiment une transition purement technique. Vous paierez vos impôts en 2017, rassurez-vous. Si vous avez compris ça comme un cadeau électoral, vous vous êtes trompée", a indiqué avec humour Emmanuel Macron à Ruth Elkrief, avant d’ajouter: "Je ne voudrais pas que vos téléspectateurs pensent différemment."
Ségolène Royal a présenté mercredi ses "excuses pour la polémique" provoquée par son appel à cesser de manger du Nutella qu'elle avait accusé de contribuer à la déforestation en raison de son recours massif à l'huile de palme. "Elle pratique la politique différemment Ségolène Royal et depuis longtemps. Beaucoup lui ont souvent reproché parce qu’elle venait les déranger", a estimé Emmanuel Macron mercredi sur BFMTV. "Elle dit les choses de manière très pratique", a poursuivi le ministre de l’Economie, selon qui elle a bien fait de présenter ses excuses après avoir "vu les efforts que la marque Nutella faisait. Je pense que c’est comme ça qu’il faut faire de la politique. Il faut dire les choses et puis parfois on se trompe: il faut le reconnaitre."
"Je crois que la large majorité du groupe socialiste est derrière cette réforme", a indiqué Emmanuel Macron mercredi sur BFMTV à propos du projet de loi qui porte son nom. Puis le ministre de l’Economie a estimé que parmi les frondeurs socialistes, "il y en a qui sont sincères, il y en a qui sont cyniques", regrettant "un conservatisme de gauche". "La gauche ne peut pas être du côté du statut quo", a ensuite martelé Emmanuel Macron.
Invité de BFMTV ce mercredi, le ministre de l’Economie Emmanuel Macron a réagi à l’utilisation mardi par Manuel Valls du 49.3 pour faire passer en force son projet de loi en deuxième lecture à l’Assemblée. "Il y a un moment où le débat perpétuel est aussi le symptôme d’une volonté de ne pas avancer", a regretté Emmanuel Macron, selon qui, "ce 49.3 est le résultat malheureusement de jeux d’appareil". "Il y a eu une vraie coproduction avec les parlementaires", a souligné le ministre de l’Economie.
"Nous vivons une politique de laxisme en France", a affirmé mercredi sur BFMTV Nadine Morano. Selon l’eurodéputée républicaine, "l’attractivité de nos politiques sociales fait qu’aujourd’hui les migrants se disent: c’est bien, on va aller en France, de toute façon on va avoir un logement. Les Français n’en peuvent plus, ils sont exaspérés. La politique d’asile nous coûte deux milliards d’euros. Je suis favorable à la suppression de l’aide au retour."
Le ministre de l'Economie répond aux questions de BFMTV en direct de Bercy, sur le projet de loi Macron, adopté à deux reprises avec le recours au 49.3
Elle n’a eu "aucun signe" ces derniers jours lui laissant penser qu’elle allait être nommée au gouvernement. Martine Pinville est depuis ce mercredi secrétaire d’Etat chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Economie sociale et solidaire. En marge de son premier déplacement au salon Planète PME à Paris avec François Hollande, la députée de Charente s’est dit "très fière" et "surprise" de recevoir ce mercredi matin "un coup de fil du président de la République". "Je connais le président depuis de longues années", a précisé l’élue. "C’est un président réactif. Du coup, je viens tout de suite en situation", a poursuivi la nouvelle secrétaire d’Etat.
L'ancienne ministre Nadine Morano était l'invitée de BFM Story. Elle est revenue sur les annonces de Bernard Cazeneuve mercredi qui a lancé un plan sur l'immigration, et dénoncé le "laxisme" du gouvernement.
"La politique échappe-t-elle à l’exigence de vérité?" C’est sur ce thème qu’a dû plancher une partie des candidats au baccalauréat. Une équipe de BFMTV a posé la même question à plusieurs députés. Loin d’être nuancés, ils en ont profité pour critiquer avec vigueur le gouvernement. Les professeurs de philosophie, quant à eux, conseillent d’être plus pondéré pour réussir la dissertation. Voire d’être original, en s’inspirant pourquoi pas de la série à succès Game of Thrones.
Le gouvernement va créer 10.500 places d’hébergement supplémentaires pour les migrants d’ici à 2016: 4.000 pour les demandeurs d’asile, 5.000 pour les réfugiés et 1.500 places d’urgence pour les migrants vivant sur des campements. Présenté ce mercredi en conseil des ministres, ce plan vise à lutter contre l’immigration irrégulière. Les associations attendaient cela depuis longtemps.
Le Premier ministre, qui dit avoir agi parce que les Français voulaient le voir avancer vite sur la loi Macron, ne remporte pourtant pas leur assentiment, d'après un sondage BFMTV.
L'ancien ministre de l'Economie, qui cultive les signes d'un retour en politique, prend soin de prendre ses distances vis-à-vis du Parti socialiste, et des partis en général.
Après s'en être pris à Nutella, la ministre de l'Ecologie Ségolène Royal rétropédale au sujet de la marque du groupe Ferrero. Avec un tweet, elle présente ses excuses pour la polémique créée et assure être d'accord pour mettre davantage en valeur les progrès de la crème chocolatée.
"Votre obsession de faire tomber Damas aura pour conséquence d'installer Al Qaida à Damas", a lancé le député Les Républicains, Jacques Myard mercredi. "Je voudrais vous remercier pour votre question, comme d'habitude tout en nuance", lui a débord répondu Laurent Fabius. "Vous nous expliquez depuis des mois que si l'on veut trouver une solution en Syrie, il faut soutenir le régime de Bachar al-Assad. D'un point de vue moral, ce serait une infamie car ce n'est pas parce qu'on reçoit des journalistes en costume cravate qu'on élimine le sang qu'on a sur les mains", a ajouté le ministre des Affaires étrangères. Et d'ajouter: "Monsieur Bachar al-Assad et les terroristes, c'est l'envers et le revers d'une même médaille".
Fabien Engelmann, élu maire d'Hayange en mars 2014 va pouvoir rester à la tête de la ville. Le Conseil d'Etat a annulé mercredi sa condamnation à un an d'inéligibilité par le tribunal de Strasbourg.
Le député-maire UDI et l'ancien ministre de l'Économie lancent ce mercredi "Vive la France", une association qui promeut la fabrication française.
S'il se félicite des nouvelles nominations au gouvernement, le député socialiste de l'Hérault Sébastien Denaja. "Dans les mois qui viennent il faudra sans doute repenser à la géographie politique du pays", prévient-il.
Ce bastion communiste situé entre Aix-en-Provence et Marseille devra retourner aux urnes les 12 et 19 juillet.
Le président des Républicains s'est fendu de quelques tweets dans lesquels il s'est remémoré son passage du bac.
Lundi sur Canal +, la ministre de l'Ecologie et de l'Environnement Ségolène Royal s'en est pris à la célèbre pâte à tartiner. Le groupe Ferrero réplique.
Invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Jean-Pierre Raffarin est revenu sur la situation de l’immigration en France ainsi que sur le droit du sol. "Il appartient à notre culture", a estimé le sénateur des Républicains qui se dit "attaché" à ce droit. "Mais c’est vrai que l’immigration aujourd’hui est devenue, dans un certain nombre de situations, quelque chose de très difficile à vivre pour beaucoup de Français", a nuancé l’ancien Premier ministre.
Clotilde Valter et Martine Pinvielle deviennent respectivement secrétaire d'Etat à la Réforme de l'Etat et à la Simplification, et secrétaire d'Etat au Commerce et à l'Artisanat. Thierry Mandon récupère l'Enseignement supérieur et à la Recherche, et Laurence Rossignol le portefeuille de l'Enfance.
Invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Jean-Pierre Raffarin est revenu sur le recours au 49.3 pour faire passer la loi Macron. S'il était député, le sénateur des Républicains voterait la motion de censure, déposée par les Républicains contre le gouvernement. L’ancien Premier ministre estime que le texte "ne va pas assez loin" et qu’il n’est qu’une "introduction". "Ce sont des mesures de simplification. Je trouve qu’elles ne sont pas mauvaises mais elles ne sont pas à la mesure du sujet", a déclaré Jean-Pierre Raffarin.
Invité de BFMTV ce mardi soir, le président du groupe écologiste au Sénat, Jean-Vincent Placé, a réagi à l’utilisation du 49.3 par Manuel Valls dans l’après-midi à l’Assemblée nationale pour forcer le passage de la loi Macron en deuxième lecture: "Le 49.3, c’est évidemment une arme un peu nucléaire de la procédure parlementaire. Je suis un bon écologiste, je ne suis pas un fanatique des armes nucléaires. Je suis opposé depuis toujours au 49.3. Il me semble que quand en plus on a une majorité, il faut aller au bout de la discussion", a affirmé Jean-Vincent Placé.
La ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, veut interdire dès le 1er janvier prochain la vente en libre-service aux particuliers des herbicides contenant du glyphosate, une substance classée cancérigène probable. La mesure concerne notamment le Roundup, produit par le fabriquant Monsanto. "Je me réjouis que Ségolène Royal ait pris cette initiative", a réagi Jean-Vincent Placé sur BFMTV mardi soir. "Monsanto, c’est une entreprise internationale qui est extrêmement nuisible en termes de qualité agroalimentaire. C’est nuisible pour la nature, pour l’environnement, pour la faune et la flore, pour les enfants, et c’est nuisible aussi pour les agriculteurs", a poursuivi le président du groupe écologiste au Sénat.
"Le gouvernement réussit ce tour de force d’être à la fois faible et brutale", a déclaré mardi sur BFMTV l’ex-ministre de l’Agriculture Bruno Le Maire. Pour le député Les Républicains de l’Eure, la loi Macron est "faible" mais le gouvernement "est brutal parce qu’il est obligé d’employer le 49.3." Manuel Valls a engagé ce mardi la responsabilité du gouvernement pour faire passer en force le projet de loi Macron en deuxième lecture à l’Assemblée nationale. "Ce quinquennat est un gigantesque mensonge", a estimé Bruno Le Maire. "Entre les promesses qui ont été faites dans la campagne et la politique qui est menée actuellement, il y a un tel fossé que monsieur Hollande n’a plus (de) majorité", a ajouté le candidat malheureux à la présidence de l’UMP.
Par crainte de ne pas avoir de majorité lors du vote de la loi Macron en deuxième lecture à l’Assemblée, Manuel Valls a décidé mardi d’engager la responsabilité du gouvernement, en utilisant le 49-3. Dans la foulée, le ministre de l'Economie a défendu son texte en dépit de la fronde de l’aide gauche des socialistes. Devant la presse rassemblée au palais Bourbon, il a déclaré: "L'idée, c'est d'aller vite pour que ces mesures deviennent réalité. Il faut que cette loi soit promulguée pour qu'elle s'applique dans la vie des Français." Et Emmanuel Macron d’ajouter: "Depuis trop longtemps, la France est victime de blocage."
"Le 49.3, c’est une brutalité, c’est un déni de démocratie. C’est François Hollande qui l’a dit", a ironisé l’ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant sur BFMTV. Manuel Valls a engagé mardi la responsabilité de son gouvernement pour faire passer en force le projet de loi Macron à l’Assemblée nationale. "Le 49.3 est dégainé avant même qu’il y ait eu le moindre début de discussion. Il y a des amendements nouveaux qui viennent d’être mis dans le texte", a poursuivi Claude Guéant.
La droite et le Front de gauche dénoncent un déni de démocratie. Le Premier ministre Manuel Valls a engagé la responsabilité du gouvernement pour faire passer en force le projet de loi Macron en deuxième lecture à l’Assemblée nationale. Les frondeurs socialistes dénoncent l’utilisation du 49-3. Une motion de censure a été déposée par l’opposition.
Par crainte de ne pas avoir de majorité lors du vote de la loi Macron en deuxième lecture à l’Assemblée, Manuel Valls a décidé mardi d’engager la responsabilité du gouvernement, en utilisant le 49-3. Dans la foulée, le ministre de l'Economie a défendu son texte en dépit de la fronde de l’aide gauche des socialistes. Devant la presse rassemblée au palais Bourbon, il a déclaré: "L'idée, c'est d'aller vite pour que ces mesures deviennent réalité. Il faut que cette loi soit promulguée pour qu'elle s'applique dans la vie des Français." Et Emmanuel Macron d’ajouter: "Depuis trop longtemps, la France est victime de blocage."
