Nicolas Sarkozy était, dimanche soir, l'invité du journal de 20 heures de France 2. Il a commenté le congrès le fondateur du parti les Républicains et évoqué sa rivalité avec Alain Juppé.
L'ancien chef de l'Etat était reçu, dimanche soir, dans le journal de 20 heures de France 2. Il est revenu sur le congrès fondateur du parti Les Républicains et a évoqué sa rivalité avec Alain Juppé.
Au lendemain du congrès fondateur du parti Les Républicains, son secrétaire général, Laurent Wauquiez était l'invité d'Apolline de Malherbe dans BFM Politique.
Tous les dimanches, la rédaction de BFMTV.com vous propose une séance de rattrapage des principales infos du week-end.
Laurent Wauquiez, secrétaire général des Républicains, était l'invité d'Apolline de Malherbe dans BFM Politique. Il a commenté l'arrivée sur scène accompagnée de huées d'Alain Juppé et de François Fillon lors du Congrès fondateur des Républicains. Il a insisté sur le fait que le reste des interventions s'était très bien passé. En revanche, il a concédé: "Il y a eu ces deux moments que je regrette et qui n'auraient pas dû avoir lieu. Mais qui sont sincèrement très anecdotiques. Alain Juppé a été applaudi. François Fillon a été applaudi".
Après le congrès fondateur des Républicains, le rassemblement, qui se voulait le mot d’ordre se fracture déjà. Alain Juppé en particulier, se démarque et réaffirme ses ambitions face à Nicolas Sarkozy.
L’an dernier, le Front national avait remporté la mairie du Pontet dans le Vaucluse, avant que l’élection soit annulée par le Conseil d’Etat. Les électeurs sont de nouveau appelés au vote ce dimanche.
Les attaques ad hominem lancées samedi à la tribune du congrès fondateur des Républicains par Nicolas Sarkozy n'auront, pas davantage que les huées des militants, plu à Alain Juppé. L'ex-Premier ministre rappelle, s'il en était besoin, qu'il ne participera pas à un primaire pour 2017, si celle-ci n'est pas ouverte au centre.
Accusé, avec la gauche et l'ensemble de l'exécutif, d'avoir "trahi" la République, Manuel Valls a répondu dès samedi à Nicolas Sarkozy. Pour le Premier ministre qui appelle à un débat apaisé entre "républicains de gauche et de droite", l'ancien président "blesse inutilement le pays".
Manuel Valls a répondu à Nicolas Sarkozy après les salves lancées samedi par l'ancien prédisent contre la gauche et le gouvernement coupables selon lui d'avoir 'trahi la République". Manuel Valls a estimé que les attaques de Nicolas Sarkozy contre la gauche lors du congrès fondateur de sa nouvelle formation, "Les Républicains", "blessaient inutilement le pays", appelant à "sortir de ce goût de revanche" et "des insultes". "Ces mots, non seulement visent à blesser les adversaires- ma foi c'est la vie politique - mais ils blessent inutilement le pays", a-t-il déclaré à la presse en marge d'un déplacement à Trente en Italie.
Bernard-Henri Lévy a réagi, sur BFMTV samedi soir, à son interdiction d'entrer sur le territoire russe. Le Kremlin a diffusé vendredi une liste de personnalités européennes interdites de séjour en Russie en réponse à des mesures similaires de l'UE. "Cette liste ce sont des amis de la Russie", a déclaré le philosophe. "Le peuple russe mérite mieux que cet ancien KGBiste responsable de terribles crimes de guerre. Poutine, c'est la honte de la Russie", a-t-il ajouté.
Nicolas Sarkozy a clos le congrès fondateur des Républicains par un discours acclamé Porte de la Villette à Paris. Malgré l'appel à l'union lancé par plusieurs ténors de la droite, la primaire est dans tous les esprits. Résumé.
Le maire de Bordeaux a été hué, ce samedi, à la tribune du Congrès des Républicains qui se tenait à Paris. "Mes chers amis, je voudrais commencer par vous faire une confidence. Certains d'entre vous me sifflent, ça me fait de la peine. Vous êtes ma famille, je resterai toujours dans ma famille et mon action politique restera toujours dans ma famille", a-t-il adressé avec insistance à l'assistence .
L'ancien Premier a été froidement accueilli par une partie des militants lors du congrès fondateur du parti des Républicains. Le député de Paris a lui su retourner la salle au fur et à mesure de son discours.
Tourner la page. C'est le mot d'ordre au congrès de l'ex-UMP qui se tient à Paris samedi et où se succèdent à la tribune les ténors de la droite républicaine. Un "renouveau" que tous appellent de leurs vœux, mais que certains clament un peu plus fort que d'autres, qu'ils sauront l'incarner.
Invité à monter sur scène lors du congrès fondateur des Républicains, l'ancien Premier ministre a été sifflé par de nombreux militants réunis porte de la Villette à Paris.
C'est ce samedi que l'UMP a fait peau neuve. Après le vote de vendredi portant sur le changement de nom, le Congrès qui s'est tenu Porte de la Villette à Paris pour consacrer le nouveau parti Les Républicains devant environ 20.000 personnes.
Les Français rejettent à une écrasante majorité la perspective d'un duel Hollande-Sarkozy pour 2017.
Les 213.000 militants du principal parti d'opposition à jour de cotisation ont été invités, ces jeudi et vendredi, à s'exprimer sur le futur de leur formation politique. Exit l'UMP, place désormais au nom de "Les Républicains". Un renouveau, qui va être célébré ce samedi lors d'un Congrès à Paris. Demandez le programme.
Exit l'UMP. Le nouveau parti dirigé par Nicolas Sarkozy s'appelle désormais, selon le voeu de l'ex-chef de l'Etat, "Les Républicains", un nom approuvé par plus de 83% des adhérents, dont toutefois moins de la moitié se sont exprimés, lors du vote par internet organisé jeudi et vendredi.
Dans une interview accordée au Figaro, l'ancien Premier ministre s'exprime sur son principal rival à la primaire de son parti pour la présidentielle de 2017.
Le candidat à la primaire UMP se confie, dans un entretien au Figaro, à la veille du congrès fondateur du parti qui doit sacrer "Les Républicains".
C'est officiel: l'UMP disparaît et laisse place au nom "Les Républicains", a annoncé ce vendredi soir le président du parti, Nicolas Sarkozy, sur le nouveau site internet de sa formation. Un changement approuvé à 83,28% des votants, avec une participation atteignant les 45,74%.
En déplacement à Marseille, Manuel Valls a reconnu vendredi que sa présence dans certains quartiers populaires ne signifie pas toujours qu’ils sont sécurisés. "Quand je vais dans un endroit, c’est préparé. Il y a des services d’ordre et de sécurité. Les choses sont différentes et après je repars. Les habitants restent seuls, il faut les soutenir. C’est ce qui est en train d’être fait aujourd’hui pour la Castellane et pour d’autres quartiers populaires qui ont été abandonnés pendant des années."
Les deux têtes de liste UMP et FN aux régionales en Paca, ont arpenté jeudi au même moment le marché du Pontet, dans le Vaucluse, à deux jours du premier tour de l'élection municipale de la ville, remportée en 2014 par le FN puis annulée.
Ségolène Royal a rencontré jeudi à Londres le prince Charles. La ministre de l'Environnement lui a remis une invitation de François Hollande pour la conférence sur le climat organisée à Paris fin 2015.
"Le foot, ça ne peut pas être la corruption, les candidatures qu'on a voulu orienter, l'argent roi qui domine tout", a mis en garde Manuel Valls. "Ça n'est pas ça le sport. Le sport, ce sont des valeurs de dépassement, d'effort, d'abnégation, de solidarité, de respect. Et à l'évidence nous sommes très loin malheureusement de ces valeurs", a regretté Le Premier ministre, en marge d'un déplacement à Marseille.
Il y a un mois, il était venu parler sécurité dans la deuxième ville de France. Manuel Valls était à nouveau à Marseille ce vendredi. Le Premier ministre a annoncé une aide de l’Etat de cinquante millions d’euros par an pour accompagner la mise en place dès l’année prochaine de la métropole Aix-Marseille. Elle regroupera 92 communes situées à proximité de la cité phocéenne.
"Profitez de l’été pour arrêter de fumer." C’est la campagne d’information que lancera le gouvernement lundi pour encourager les accros à la cigarette à mettre fin à cette addiction. L’exécutif publiera également fin juin un décret interdisant de fumer dans les aires de jeux publiques. Pour la ministre de la Santé, Marisol Touraine, c’est "une façon de respecter les enfants, de les habituer à vivre dans un environnement sans tabac. On sait que les bonnes habitudes font les bons comportements en matière de santé par la suite", a indiqué la ministre à BFMTV ce vendredi.
Jean-Christophe Cambadélis, élu premier secrétaire du Parti socialiste, a annoncé au Monde vendredi que la question de la primaire à gauche en vue de 2017 serait tranchée "à l'automne 2016". "Nous verrons, nous déciderons à partir de l'efficacité", a-t-il expliqué lors d'une conférece de presse.
Jean-Christophe Cambadélis, élu premier secrétaire du Parti socialiste, a réagi vendredi au changement de nom de l'UMP en Les Républicains. "C'est un défi à relever un de plus, il y a les républicains conservateurs et les républicains progressistes que nous allons, nous, porter", a déclaré le socialiste.
Marion Maréchal Le Pen s’est rendu au Pontet, près d'Avignon ce jeudi pour soutenir Joris Hébrard, candidat à la mairie. Un scrutin aura lieu ce dimanche pour la réélection du maire, le précédent ayant été invalidé pour cause de bulletins litigieux. De son côté, Christian Estrosi était également présent pour soutenir la candidate UMP. Les deux adversaires pour les régionales en Paca ont soigneusement évité de se rencontrer. Comme un avant-goût avant les élections régionales en décembre prochain.
Si le référendum sur le traité européen avait lieu aujourd'hui, 62% des Français voteraient "non", selon un sondage Ifop pour Le Figaro.
L'ancien ministre UMP du Budget a été blanchi jeudi des accusations "d'abus de faiblesse" sur la milliardaire Liliane Bettencourt. Aujourd'hui, il réclame des excuses à certains de ses adversaires, "qui sont allés trop loin".
Invité ce vendredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Henri Guaino est revenu sur la Constitution européenne. Opposé lors du référendum en 2005, le député UMP a défendu Nicolas Sarkozy qui avait prévenu, durant sa campagne en 2007, qu’il négocierait un traité simplifié auprès du Congrès s’il était élu. "Il a pris le risque pendant sa campagne d’être désavoué. Il l’a assumé. Il ne l’a pas fait en catimini", a déclaré l’élu des Yvelines. "Le peuple n’a pas été méprisé", a estimé Henri Guaino.
Si la possibilité d'une primaire ne figure pas dans la motion, elle reste "une possibilité", assure Jean Christophe Cambadélis. La décision devra être prise à l'automne 2016.
Sans grande surprise, Jean-Christophe Cambadélis est élu premier secrétaire du Parti socialiste après le second vote des militants avec un score qui devrait dépasser les 70% des voix. Son adversaire, le "frondeur" Christian Paul, a reconnu sa défaite, tandis que la participation avoisine les 50%.
Dix après le refus de la ratification de la constitution européenne, le 29 mai 2005, un sondage Ifop commandé par Le Figaro montre que les Français ne regrettent pas leur choix.
