Image de l'islam, construction de mosquées, formation des imams, pratiques rituelles: le gouvernement a réuni pour la première fois lundi une large "instance de dialogue" consacrée à améliorer les relations avec les Français de confession musulmane. Elle est destinée à mieux faire connaître la deuxième religion de France, trop souvent assimilée au terrorisme dans l’Hexagone. Signe des espoirs que l'Etat place dans cette initiative: son lancement a rassemblé sous les ors de la République quatre membres du gouvernement, à savoir le Premier ministre et les ministres de l’Intérieur, de l’Education nationale et de la Culture.
On savait François Hollande très intéressée par les aventures du robot Philae, puisqu'il a baptisé ainsi sa chienne. Le Président l'a confirmé lundi en lançant un "défi" lundi sur le salon du Bourget au président du CNES. Jean-Yves Le Gall annonçait la périhélie de la comète Tchouri le 13 août prochain, soit le lendemain des 61 ans du chef de l'Etat. François Hollande lui a demandé de "l'anticiper un peu".
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Bernard Cazeneuve est revenu sur la situation des aumôniers musulmans en France. "Ils doivent parler français et avoir une très bonne connaissance des principes républicains", a déclaré le ministre de l’Intérieur. Les aumôniers musulmans "devront être formés", a-t-il insisté, alors que le gouvernement réunit pour la première fois ce lundi une large "instance de dialogue" destinée à renouer le lien avec des musulmans qui ne manquent pas de sujets d'inquiétude.
François Hollande a assisté lundi à une démonstration du Rafale lors du Salon du Bourget, avec à sa gauche les dirigeants de Dassault Eric Trappier et Serge Dassault. Et à sa droite le directeur de la stratégie d'Airbus Group Marwan Lahoud et le président gabonais Ali Bongo. Tout sourire, les deux dirigeants ont plaisanté. "Comme prévu, ils vont te faire un prix", a lancé François Hollande à son homologue gabonais.
Manuel Valls a appelé lundi, devant les représentants des musulmans, à un "combat des consciences" pour montrer la "réalité" de l'islam en France, qui est dans le pays "pour y rester".
François Hollande a demandé ce lundi le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, de reprendre "le plus vite possible la négociation" avec ses créanciers, après un nouvel échec, dimanche, des négociations sur la poursuite du financement du pays. "Nous avons des délais maintenant extrêmement courts. Attention, nous arrivons dans une période qui peut être celle de turbulences s'il n'y a pas un accord qui est trouvé. La Grèce ne doit pas attendre et aller de nouveau dans la discussion avec les institutions", a déclaré le chef de l’Etat en marge d'une visite du salon de l'aéronautique du Bourget. "Ne perdons pas de temps, reprenons le plus vite possible la négociation", a ajouté le président de la République.
Le président de la République, François Hollande, s’est rendu ce lundi au salon du Bourget, l’un des plus grands rendez-vous mondiaux de l’aéronautique. "Je ne suis pas dans l’annonce de contrats", a néanmoins averti François Hollande. "Ce seront les industriels qui le feront. Moi, je fais en sorte avec les ministres concernés de faciliter ces contacts, de permettre le dénouement d’un certain nombre d’opérations", a indiqué le chef de l’Etat.
Invité de France Info lundi matin, Xavier Bertrand s'est défendu de faire partie des "hyper-libéraux" au sein des Républicains, rappelant opportunément qu'il avait, lorsqu'il était ministre de la Santé, refusé d'imposer dans son secteur la règle du non renouvellement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. Une mesure pourtant instaurée par son gouvernement.
Pressée par la Cour des comptes de régulariser la situation, le Palais de l'Elysée a choisi d'inscrire à son budget de fonctionnement les frais d'entretien de la Lanterne. Depuis Nicolas Sarkozy en 2008, le président de la République a remplacé le Premier ministre dans les murs.
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Bernard Cazeneuve est revenu sur la réaction mardi dernier d’Olivier Besancenot sur notre antenne, qui avait fustigé les conditions d’évacuation des migrants à Paris. "Plutôt que de se préoccuper de la situation extrêmement difficile de personnes en état de vulnérabilité, certains groupuscules ou des organisations comme le NPA préféraient faire sortir les migrants des bus pour pouvoir faire de la politique et de l’apparence humanitaire sur vos antennes", a déclaré le ministre de l’Intérieur, ciblant précisément le porte-parole du NPA. "C’est cynisme à l’état pur. Il n’a aucune leçon à donner au gouvernement", a-t-il ajouté.
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Bernard Cazeneuve est revenu sur la répartition des migrants au sein de l’Union européenne. "Il y a cinq pays de l’UE, dont la France, qui accueillent 80% des demandeurs d’asile", a indiqué le ministre de l’Intérieur. "Il faut distinguer ceux qui relèvent de l’immigration économique et régulière des demandeurs d’asile. Ceux qui relèvent du statut de réfugiés en Europe doivent être répartis selon une grille qui a été proposée par l’Union européenne", a ajouté Bernard Cazeneuve.
Invité ce lundi de Jean-J\tacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Bernard Cazeneuve a rapidement évoqué l’opération contre un trafic de drogue dans la cité de la Castellane, à Marseille. "Ce matin, il y a une très grosse opération de démantèlement de filière à la Castellane parce que le trafic de drogue, c'est le début de tous les trafics, ce sont ces trafics qui gangrènent les cités", a affirmé le ministre de l’Intérieur, précisant que l'opération était "en cours". Refusant d'en dire plus pour préserver l'enquête, Bernard Cazeneuve a toutefois salué une opération qui a permis de démanteler plusieurs filières.
Le documentaire Ségolène Royal, la femme qui n’était pas un homme diffusé lundi soir sur France 3, qui observe et analyse le parcours de la ministre, s'ouvre sur cette phrase lourde de sens du président de la République.
La ministre de l'Ecologie a annoncé dimanche soir sur France 3 l'interdiction en vente libre de l'herbicide de Monsanto.
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Interrogée dimanche sur le poste de président d'honneur du Front national, occupé par Jean-Marie Le Pen, Marine Le Pen a affirmé: Je souhaite que cette fonction soit supprimée, car elle était utilisée pour nuire au Front national", ajoutant: "Je n'autorise personne à atteindre le Front national, à l'affaiblir et à entraver son avancée".
Marine Le Pen, invitée d'Apolline de Malherbe dans BFM Politique, ce dimanche à 18 heures a entretenu le suspense au sujet sa décision à conduire ou non la liste Front national dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie lors des élections régionales de décembre.
"Ma décision, je la donnerai aux habitants de la région Picardie-Nord-Pas-de-Calais". Marine Le Pen, invitée d'Apolline de Malherbe dans BFM Politique, ce dimanche, n'a pas voulu confirmer sa conduite ou non de la liste Front national dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie, lors des élections régionales de décembre.
La présidente du Front national était l'invitée d'Apolline de Malherbe dans BFM Politique, ce dimanche à 18h, deux jours après la proposition, par le bureau politique du Front national, de supprimer le fauteuil de président d'honneur, occupé par Jean-Marie Le Pen.
Le président de la République, François Hollande, qui a inauguré dimanche à Bordeaux le 18e Vinexpo, plus important salon des vins et spiritueux au monde, alors que le Parlement vient d'assouplir la loi Evin contre l'avis du gouvernement, a souhaité ne pas "remettre en cause l'équilibre de la loi en matière de publicité sur les alcools".
Le chef de l'Etat, en visite au salon viticole de Bordeaux, a appelé à la plus grande prudence en matière d'interprétation et de clarification de la loi Evin sur la publicité sur les alcools.
Le président François Hollande a appelé dimanche, en inaugurant à Bordeaux le 18e salon Vinexpo, à la plus grande prudence en matière d'interprétation et de clarification de la loi Evin sur la publicité sur les alcools, afin de préserver les "principes de santé publique".
Dans une interview à Sud-Ouest dimanche, le chef de l'Etat réaffirme sa "confiance" envers Manuel Valls, et estime que la "polémique est close" après son voyage controversé à Berlin.
