Invité de BFM Politique ce dimanche, Jean-Christophe Cambadélis a évoqué la figure d'Emmanuel Macron. Il a critiqué la mainmise du candidat à la présidentielle sur son mouvement "En marche!" mais le voit comme un allié dans l'opposition à la droite.
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste, était l'invité ce dimanche de BFM politique. Il a assuré que l'éventuelle victoire de la gauche à la prochaine présidentielle passait par le PS et que seul son parti pouvait fédérer cette famille politique.
La ministre de l'Environnement s'est livrée à quelques confidences dans une interview au JDD publiée ce dimanche qui laissent à penser qu'un ralliement au fondateur du mouvement En Marche! est possible.
Dans une interview publiée ce dimanche dans le JDD, Dominique Villemont, intime de François Hollande et soutien d'Emmanuel Macron, avance que le président pourrait se rallier à son ancien ministre de l'Economie pour l'élection présidentielle de 2017.
La présidente du Conseil régional d'Ile-de-France a affiché, ce samedi dans une interview au JDD, un soutien sans faille à François Fillon, candidat du parti LR à la présidentielle.
Les candidats à la primaire à gauche ont chacun à leur tour déroulé leurs propositions lors d'un grand oral organisé par le Mouvement des jeunes socialistes. Un tour de chauffe à la veille du deuxième débat télévisé sur BFMTV et RMC.
S'il a dit vouloir rassembler autant à droite autant qu'à gauche et encourager ceux qui entreprennent, Emmanuel Macron a aussi précisé ce samedi à Lille son projet social et pour l'école.
Manuel Valls a estimé que François Fillon était "prisonnier" de son projet qui met en cause les services publics", appelant à éviter la "régression de la droite".
Le Conseil national du Parti communiste a investi samedi ses 253 premiers candidats aux législatives, en pleine polémique avec le mouvement de Jean-Luc Mélenchon, la France Insoumise, qui prévoit aussi de présenter des candidats partout.
Pupitres, public, décor… Rien n’a été laissé au hasard par l’organisation de la primaire à gauche pour le deuxième débat qui réunira les sept candidats en lice, ce dimanche à 18h sur BFMTV et RMC. Le studio Gabriel, studio mythique de la télévision, celui du "Petit théâtre de Bouvard" ou de "Vivement Dimanche", mais aussi situé tout près du palais de l’Elysée, a été aménagé pour l’occasion. En voici les coulisses.
Visiblement satisfait de la formule, Benoît Hamon l'a répétée devant des journalistes l'accompagnant vendredi à Marseille.
François Fillon a été consacré candidat du parti "Les Républicains" qui avait réuni son Conseil national, ce samedi. Il a promis de maintenir son programme malgré les controverses qu'il suscite.
Alain Vidalies est le premier membre du gouvernement à annoncer officiellement qu'il ne soutiendra pas Manuel Valls. Il préfère Vincent Peillon.
Chez les électeurs du Front national, 64% déclarent qu'un candidat les enthousiasme et qu'ils voteront pour lui sans hésitation. C'est le résultat du dernier sondage Ifop-Sinopia paru cette semaine sur les intentions de vote des Français à l'élection présidentielle. Par ailleurs, moins de deux semaines avant le premier tour de la primaire à gauche, un sondage Elabe-L'Opinion en direct pour BFMTV montre que chez les sympathisants de gauche, Manuel Valls apparaît être celui qui possède le plus les qualités nécessaires pour être président de la République. L'ancien Premier ministre est cependant largement devancé par Benoît Hamon et Arnaud Montebourg sur la question "Qui veut vraiment changer les choses ? - Les bonnes opinions, du samedi 14 janvier 2017, présenté par Yves-Marie Cann, sur BFMTV.
Le candidat de la droite à la présidentielle a annoncé qu'il ne comptait pas revenir sur la loi interdisant le cumul des mandats, critiquée dans son camp.
La "primaire citoyenne" déclenche un regain d'intérêt, notamment chez les sympathisants de gauche, selon un sondage Elabe pour BFMTV, que nous dévoilons ce samedi.
Le vice-président du parti Les Républicains n'est pas en faveur auprès de François Fillon. Il avait soutenu Nicolas Sarkozy dans la primaire. Lors du congrès de son mouvement ce samedi, il a voulu justifier sa particularité au sein de sa formation.
L'un a fait le choix de la primaire à gauche, l'autre celui de concourir à la présidentielle sans préliminaire. Manuel Valls et Emmanuel Macron, anciens collègues au gouvernement, sont maintenant rivaux. Interrogé dans Le Monde, l'ex-Premier ministre détaille ce qui le sépare de son ancien ministre de l'Economie.
La décision des "Républicains" est tombée. Henri Guaino, très critique du programme de François Fillon et lui-même candidat à la présidentielle, va devoir éclaircir son cas s'il veut conserver son investiture pour les législatives.
Chez les électeurs du Front national, 64% déclarent qu'un candidat les enthousiasme et qu'ils voteront pour lui sans hésitation. C'est le résultat du dernier sondage Ifop-Sinopia paru cette semaine sur les intentions de vote des Français à l'élection présidentielle. Par ailleurs, moins de deux semaines avant le premier tour de la primaire à gauche, un sondage Elabe-L'Opinion en direct pour BFMTV montre que chez les sympathisants de gauche, Manuel Valls apparaît être celui qui possède le plus les qualités nécessaires pour être président de la République. L'ancien Premier ministre est cependant largement devancé par Benoît Hamon et Arnaud Montebourg sur la question "Qui veut vraiment changer les choses ? - Les bonnes opinions, du samedi 14 janvier 2017, présenté par Yves-Marie Cann, sur BFMTV.
En meeting à Marseille, Benoît Hamon s'est adressé à ses adversaires. Parmi eux Jean-Luc Mélenchon, qu'il invite à s'interroger sur "sa capacité à l'emporter" à la présidentielle.
En visite dans le Pas-de-Calais, Emmanuel Macron a fait campagne dans le fief du Front national. Le candidat du mouvement "En marche!" à l'élection présidentielle y voit une terre "de conquête" et "de bataille".
François Hollande s'est rendu au Mali ce vendredi pour le sommet de Bamako. En marge de la rencontre, il a salué l'engagement des forces militaires françaises et maliennes, qui assurent "le même combat".
François Fillon et Nicolas Sarkozy se sont rencontrés vendredi pour la première fois depuis la primaire de la droite.
FAITES LE TEST - Vous avez envie d'aller voter à la primaire de la gauche, mais vous avez du mal à vous décider pour un candidat? BFMTV.com vous a concocté un test pour vous aider.
Alors que le premier débat de la primaire à gauche avait encore deux heures devant lui, Le Figaro a dévoilé une Une sans appel sur Twitter au sujet de cet échange...avant de se raviser et de proposer un titre (un peu) plus policé.
Favori des sondages, Manuel Valls avait beaucoup à perdre lors du premier débat. Il a réussi à éviter d'être la cible des critiques de ses adversaires tout en mettant en avant sa stature d'homme d'Etat.
Arnaud Montebourg est prêt à appeler Yannick Jadot et Jean-Luc Mélenchon s'il remporte la primaire. Mais il prévient déjà: ce ne sera pas pour s'effacer derrière eux.
"Inachevé", "contrasté" ou "fierté", lors du premier débat de la primaire à gauche, les candidats ont livré leur sentiment sur l'héritage du quinquennat de François Hollande.
Ce jeudi, les candidats à la primaire de la gauche se sont retrouvés pour un premier débat télévisé. Lors de celui-ci, Vincent Peillon est revenu sur les meurtres de Mohamed Merah. Il a alors évoqué une des victimes la qualifiant de militaire "d'origine musulmane". Cette désignation crée la polémique.
Les sept candidats de la primaire de la gauche se retrouvaient ce jeudi soir pour le premier débat. Voici les cinq points essentiels à retenir.
Après le premier débat de la primaire à gauche, Arnaud Montebourg est jugé comme le plus convaincant de ce premier rendez-vous après un sondage de l'institut Elabe pour BFMTV auprès des téléspectateurs.
Jean-Luc Bennahmias a semblé découvrir l'une des propositions énoncées... sur son propre site de campagne, ce jeudi soir lors du premier débat opposant les sept candidats à la primaire de la gauche.
Pour le premier débat de la primaire à gauche ce jeudi, les candidats ont taclé leur principal adversaire: François Fillon. Le candidat de la droite à la présidentielle a été attaqué sur ses positions.
Réunis ce soir pour un premier débat, les sept candidats de la primaire à gauche débutent leur semaine marathon. Pour cette dernière journée de préparation, chacun a opté pour sa méthode qu'elle soit studieuse ou décontractée.
Aperçue à la Trump Tower, Marine Le Pen ne rencontrera pas l'équipe Trump.
Le journal Le Point a révélé jeudi que Jean-Marie Cavada et Corinne Lepage apportaient leur soutien à Emmanuel Macron, dans sa candidature pour l'élection présidentielle.
A 62 ans, le candidat du Front démocrate fait figure de "petit" candidat de cette primaire. Son parcours en fait pourtant un aguerri de la politique.
Parmi les candidats de la primaire de gauche, plusieurs anciens proches de François Hollande ne se gênent pas pour renier son bilan et son action. Mais celui-ci le leur rend bien. Il a ces derniers jours distillé des indices sur ce qu'il pense des prétendants socialistes à ce scrutin. Et le résultat est plutôt acerbe.
Ministre du gouvernement Valls de mai 2012 à février 2016, Sylvia Pinel est enfin libérée de la tutelle de son mentor Jean-Michel Baylet. La députée du Tarn-et-Garonne est la seule femme candidate de cette primaire à gauche.
Ardent défenseur de l'écologie ayant toujours été proche des socialistes, François de Rugy avait quitté EELV en 2015 pour fonder le Parti écologiste. Son projet s'il n'est pas le candidat désigné par la primaire? Que l'écologie occupe une place centrale dans le futur programme.
Le candidat de la "France insoumise" tiendra deux meetings simultanés le même soir du 5 février: l'un physiquement à Lyon, l'autre à Paris, en hologramme. "Une première mondiale", affirme-t-il.
Le candidat de la "France insoumise" à la présidentielle peut désormais se dire officiellement en lice: il a obtenu 517 promesses de signatures.
Auréolé de son récent record, le centenaire doit rencontrer ce jeudi le président de la République qui souhaite le féliciter de son exploit.
Trois mois après Jean-Luc Mélenchon, le vice-président du Front national, Florian Philippot, lance sa chaîne Youtube. Le leader de la "France insoumise" y voit une tentative frontiste de "singer" ses méthodes.
