Quatre personnes ont été interpellées et placées en garde à vue, a-t-il été annoncé ce mercredi soir par le président de la République. Elles sont actuellement entendues dans les locaux de la DGSI.
"Le FMI a encore redit qu'il fallait alléger la dette grecque et c'est bien ce que nous allons faire en profilant la dette, ce qui pourrait passer par un allongement de la durée de remboursement ou encore une réduction des taux d'intérêt", a déclaré mercredi Manuel Valls lors de sa déclaration sur l'accord européen relatif à la Grèce.
Le porno hors de nos écrans: c'est le rêve de l'élu communiste Jean-Jacques Candelier, qui souhaite aboutir à un blocage a priori de tous les sites proposant des contenus pour adultes.
Manuel Valls a renvoyé dans les cordes Eric Woerth mercredi alors qu'il reprochait "l'autocélébration" du Président et "l'autosatisfaction générale du gouvernement" sur le dossier grec.
Le député Les Républicains Eric Woerth a reproché mercredi "l'autocélébration" du Président et "l'autosatisfaction générale du gouvernement" après l'accord sur la Grèce, tançant même "une sorte de fanfare du 14-Juillet". Manuel Valls lui a rappelé sa sortie qui lui a valu d'être la risée de Twitter à coup de #cestunpeugraceaSarkozy. "J'ai cru comprendre que vous gratifiez le président de votre formation politique de l'accord qui a eu lieu dimanche, ce qui en terme de gratification a incontestablement fait sourire et vous inscrit je n'en doute pas pour le prix de l'humour dans quelques mois", a lancé le Premier ministre, sous les rires des bancs de la gauche.
L'ancien numéro 2 du FN en Seine-et-Marne est accusé d'avoir brûlé des voitures dans sa ville pour mieux y dénoncer... l'insécurité. Il comparaît aujourd'hui à Meaux.
Le président du MoDem ne cache pas ses ambitions. Alors qu'il soutient Alain Juppé, François Bayrou assure qu'en cas de défaite de ce dernier à la primaire de droite, il se présentera à la présidence de la République.
Laurent Fabius s’est exprimé ce mercredi sur l’accord nucléaire historique entre l'Iran et les grandes puissances. "Nous avons été fermes mais justes dans les négociations", a estimé le ministre des Affaires étrangères.
"Il n'y aura plus d'excuses pour ne pas agir", a salué Ségolène Royal mercredi après la publication d'un rapport du Sénat qui estime que la pollution de l’air en France coûte chaque année 101,3 milliards d’euros. La ministre de 'l'écologie a d'ailleurs assuré à la sortie du Conseil des ministres qu'elle prendrait des mesures "extrêmement fermes" la semaine prochaine.
L'ancien ministre de Nicolas Sarkozy reproche au chef de l'Etat de "tirer la couverture à soi" sur la scène européenne, et d'être "indifférent" à la situation française.
Invité ce mercredi d’Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC, Michel Sapin a évoqué les conséquences pour les Français d’un allègement de la dette grecque. "Ce n’est pas parce qu’on repousse la date à laquelle on va nous payer les intérêts que l’on va perdre notre capital", a indiqué le ministre des Finances. "On va retrouver notre argent", a-t-il assuré. "Si la Grèce était sortie de l’euro, on aurait perdu avec certitude notre argent", affirme Michel Sapin.
Invité ce mercredi d’Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC, Michel Sapin est revenu sur les propos d’Alexis Tsipras, concernant l’accord trouvé avec ses créanciers "auquel il ne croît pas". "Ça ne correspond pas aux grandes promesses qui avaient été les siennes au cours de sa campagne (…) Mais il est resté extrêmement ferme sur un certain nombre de principes, comme sur celui de la souveraineté", a déclaré le ministre des Finances. "En étant au contact des réalités, il les a assumé", a-t-il ajouté. "Tsipras est un bon politique car il recherche l’intérêt général de son peuple et il l’a trouvé en signant cet accord", a conclu Michel Sapin.
Venu soutenir un candidat PS à l'élection régionale dans le Nord-Pas-de-Calais/Picardie en manque de notoriété face à ses principaux adversaires, Jean-Christophe Cambadélis a appelé à l'union de la gauche derrière Pierre de Saintignon, pour que la région ne bascule pas "du côté obscur, c'est-à-dire côté Front national".
La candidate FN aux élections régionales en Provence-Alpes-Côte d'Azur tenté d'éteindre l'incendie provoqué par la diffusion "par son équipe" sur sa page Facebook de propos mettant sur le même plan la Réforme protestante et l'Occupation allemande. "Loin de moi est l'idée de voir dans le protestantisme une agression à l'égard de l'identité de notre région et de notre nation", a plaidé Marion Maréchal-Le Pen.
François Hollande a réaffirmé mardi qu'il "ne serait pas candidat" à un second mandat en 2017 "s'il n'y a pas de baisse du chômage".
François Hollande s'est prêté au traditionnel exercice de l'interview du 14-Juillet. Grèce, menaces terroristes, politique intérieure, retour sur les moments marquants.
François Hollande a estimé mardi être un président "audacieux", balayant l'image d'un homme plus fort sur la scène internationale que nationale.
C'est ensemble que Ségolène Royal et Laurent Fabius doivent organiser la COP21, le grand rendez-vous environnemental de la fin de l'année. Mais les deux ministres ont, semble-t-il, bien du mal à s'entendre.
François Hollande a dit mardi sa volonté d'aller plus loin sur le renseignement pour lutter contre la menace terroriste. "Les Français ne doivent pas avoir peur", a lancé le chef de l'Etat.
La promotion 2015 rassemble 544 personnes, dont 8 personnalités étrangères. BFMTV.com vous fait découvrir qui sont les têtes connues décorées cette année.
"La menace terrorise n'a jamais été aussi lourde à l'extérieur comme à l'intérieur, d'une certaine manière, ce défilé l'incarne." S'exprimant en marge du défilé du 14-Juillet, le Premier ministre a souligné mardi sur BFMTV qu'il s'agissait d'un moment de" fête" mais aussi de "rassemblement et d'unité" pour que chacun ait bien "conscience de cette menace terroriste". Revenant sur l'accord trouvé en Grèce et l'action de François Hollande, le Premier ministre a assuré que ce 14-Juillet "était une manière de souligner le rôle de la France dans le monde". "Le monde regarde la France, il a un regard très positif sur notre pays", conclut le chef du gouvernement.
"Notre pays doit refuser la division parce que c'est ce que cherchent les terroristes et la peur parce que ce pourrait être le pire poison au sein de notre communauté nationale", a lancé le chef de l'Etat à la veille des cérémonies du 14 juillet.
Plus de deux ans après l'affaire Cahuzac et le projet de loi défendu par le sommet de l'État sur la transparence de la vie publique, les déclarations de patrimoine des parlementaires sont désormais en préfectures.
"Il ne faut pas avoir peur de Madame Merkel", a martelé lundi sur BFMTV Jean-Luc Mélenchon quelques heures après l'accord européen sur la Grèce.
"Il ne faut pas avoir peur de Madame Merkel", a martelé lundi sur BFMTV Jean-Luc Mélenchon quelques heures après l'accord européen sur la Grèce. "C'est un jour très triste en dépit des apparences et du folklore de la satisfaction du gouvernement d'un côté de de Sarkozy et de ses amis" de l'autre, a ajouté le fondateur du Parti de gauche qui a appelé les socialistes à "un peu de décence": "ça ne peut pas être ça une négociation entre Européens".
Si les déclarations de Jean-Luc Mélenchon sur "l'axe" et "l'obstination d'un gouvernement allemand en train de détruire l'Europe" ont pu mettre mal à l'aise y compris ses partenaires politiques, le fondateur du Parti de gauche a mis les choses au clair lundi sur BFMTV." Il est absolument absurde de comparer l'Allemagne actuelle et l'Allemagne nazie", a-t-il martelé, pointant simplement "l'idéologie libérale" d'Angela Merkel.
"Le couple franco-allemand est indestructible", estime Manuel Valls sur le plateau de BFMTV lundi, quelques heures à peine après qu'un accord européen a été trouvé sur la Grèce. "Même dans les moments de tension", "ça fonctionnait bien", selon le Premier ministre qui rappelle que la chancelière Angela Merkel s'est rendue à l'Elysée au lendemain du référendum grec.
Invité de BFMTV lundi, quelques heures à peine après qu'un accord européen a été trouvé sur la Grèce, Manuel Valls estime que "François Hollande s'est hissé au niveau de l'histoire" lors des négociations visant à maintenir la Grèce dans la zone euro. "S'il y a eu accord c'est parce qu'il y avait une convergence de vue entre l'Allemagne et la France", a déclaré le Premier ministre.
Le Premier ministre a salué sur BFMTV le travail de François Hollande et Angela Merkel, quelques heures après qu'un accord a été trouvé pour maintenir la Grèce dans la zone euro.
L'ancien ministre UMP estime que Nicolas Sarkozy a été entendu dans les négociations pour la Grèce.
François Hollande a salué dans l'accord conclu lundi à Bruxelles une décision "historique" qui "permet à la Grèce de rester dans la zone euro". "Aujourd'hui même si ça a été long je pense que ça a été pour l'Europe une bonne nuit et un bon jour", a déclaré le Président français.
Le secrétaire général du Parti communiste, Pierre Laurent, avoue être "mal à l'aise" avec le commentaire de Jean-Luc Mélenchon sur le comportement allemand dans les négociations avec la Grèce. L'eurodéputé du Parti de gauche avait affirmé que "pour la 3e fois, un gouvernement est en train de détruire l'Europe", avant de préciser que "ça n'a rien de comparable avec la Seconde Guerre Mondiale".
Lors d'une rencontre à Damas dimanche avec le président syrien, le député Jean-Frédéric Poisson a exprimé la nécessité d'un "dialogue" pour régler le conflit dans le pays.
Jean-Luc Mélenchon a appelé sur BFMTV Nicolas Sarkozy à "se taire, au moins le temps de la négociation" sur la Grèce. "Je ne pense qu'à une chose: mon pays", a expliqué le fondateur du Parti de gauche. "Ce n'est pas le moment de venir rendre la tâche plus compliquée".
Jean-Luc Mélenchon a commenté dimanche sur BFMTV le "bras de fer" qui se joue actuellement à Bruxelles sur le dossier grec. Le fondateur du Parti de gauche estime que l'Allemagne mène les "pays de l'axe". "Pour la troisième fois dans l'histoire de l'Europe, l'obstination d'un gouvernement allemand est en train de détruire l'Europe, évidemment ça n'a rien de comparable avec la seconde guerre mondiale. On ne parle pas de la même idéologie mais c toujours le même esprit de système, la même arrogance, le même aveuglement qui fait qu'on en est là", estime l'ancien candidat à la présidentielle.
Nicolas Sarkozy a demandé dimanche à François Hollande qu'il "se ressaisisse" dans le dossier grec, et a de nouveau attaqué le Premier ministre grec Alexis Tsipras, l'accusant notamment de "mentir à son peuple".
"Jamais l'Europe n'a eu autant besoin d'unité, jamais elle n'a eu autant besoin d'un leadership, d'un leadership franco-allemand", a déclaré Nicolas Sarkozy dimanche à Bruxelles à la sortie d'une réunion du Parti populaire européen (PPE), dont sont membres Les Républicains (ex-UMP). "Il faut que M. Hollande se ressaisisse et reconstitue une unité avec la chancelière allemande (Angela) Merkel", a-t-il appelé. L'ancien Président a également de nouveau attaqué le Premier ministre grec Alexis Tsipras se demandant si on pouvait lui faire "confiance".
La zone euro doit décider dimanche "si la Grèce sera demain dans la zone euro", a déclaré le président français François Hollande à son arrivée à un sommet de "la dernière chance" à Bruxelles pour le sauvetage financier d'Athènes. "La France va tout faire pour trouver un accord permettant à la Grèce de rester dans la zone euro", a ajouté le président, excluant l'option, avancée par l'Allemagne, d'une "Grexit provisoire".
