L'accès à Wikipedia bloqué en Turquie
L'accès à l'encyclopédie en ligne Wikipedia a été bloqué samedi en Turquie.
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Abou Ali a décidé de faire de l’art comme outil de résistance contre la guerre. Vivant à Douma une agglomération tenue par les rebelles dans la banlieue de Damas, il a collecté des dizaines de balles et d’obus qui pleuvent régulièrement sur la ville. Il les soude, les peint en fait des objets d’art. Il a réalisé une horloge avec des cartouches vides pour montrer que "sa région est à chaque instant, à chaque minute prise pour cible". Il a aussi conçu un téléphone, un tableau et s’est servi des balles pour orner un oud, instrument traditionnel syrien.
Alors qu'aucune limousine n'est autorisée à rentrer dans la bande de Gaza, un organisateur de mariage palestinien a décidé d'en créer une lui-même, en assemblant les pièces de cinq voitures différentes. Résultat : un carrosse surprenant "fait maison".
"Étant donné le résultat serré" - Recep Tayyip Erdogan aurait obtenu 51,37% des suffrages lors du référendum révisant la Constitution - le Conseil de l'Europe a appelé les dirigeants turcs à "envisager les prochaines étapes avec prudence".
Le camp du président turc a revendiqué la victoire au référendum visant à remplacer le système parlementaire par un système présidentiel, qui se tenait ce dimanche en Turquie. Recep Tayyip Erdogan a salué une "décision historique", et a évoqué un nouveau référendum, sur le rétablissement de la peine de mort.
Les Turcs ont voté ce dimanche sur une révision constitutionnelle visant à remplacer le système parlementaire par un système présidentiel, et qui vise à donner les pleins pouvoirs au président Recep Tayyip Erdogan. Le camp du "oui" l'a emporté. L'opposition, elle, dénonce des manipulations.
Après avoir voté ce dimanche matin, dans le cadre du référendum constitutionnel visant à lui accorder les pleins pouvoirs, le président turc a déclaré que le scrutin était un vote pour "l'avenir" de la Turquie.
"Salt Bae" vote comme il découpe ses quartiers de viande: avec grâce.
Les États-Unis, qui ont frappé l'est de l'Afghanistan à l'aide d'une méga bombe, ont diffusé la vidéo de l'impact.
Ce dimanche, 55,3 millions d'électeurs turcs sont appelés aux urnes pour un référendum sur une révision constitutionnelle. Pour certains, si cette réforme -qui prévoit le renforcement des pouvoirs du président- est adoptée, la Turquie se transformerait en dictature.
Le président Trump s'est félicité du "succès" de l'opération menée contre Daesh.
La "mère de toutes les bombes" a été lâchée ce jeudi par les Etats-Unis en Afghanistan, contre des positions des jihadistes de Daesh.
Le président syrien affirme que son régime ne possède plus d'armes chimiques, et que l'attaque au gaz perpétrée le 4 avril sur la ville de Khan Cheikhoun est une "fabrication" de "l'Occident".
Le président américain Donald Trump a plaidé mercredi pour une entente entre les Etats-Unis et la Russie, malgré une rencontre glaciale à Moscou entre les chefs des diplomaties des deux puissances nucléaires dont les relations sont "au plus bas". Le Président américain a par ailleurs estimé qu'il était possible que la Russie ait été au courant de l'attaque chimique à Khan Cheikhoun, imputée au régime de Damas.
Donald Trump a traité Bachar al-Assad de "boucher", ce mercredi lors d'une conférence à la Maison Blanche. Un qualificatif qui fait écho au triste surnom du dirigeant syrien, "le boucher de Damas". Le Président américain a évoqué de nouveau l'attaque chimique imputée au régime syrien à Khan Cheikhoun, qui a fait 87 morts dont 31 enfants le 4 avril dernier.
Dans un entretien au Monde publié ce mercredi, François Hollande livre son analyse sur le conflit en Syrie. Selon le président, la reprise des négociations est une nécessité et le départ de Bachar al-Assad une évidence.
Deux navires militaires américains ont envoyé 59 missiles de longue portée sur une base aérienne syrienne, dans la nuit de jeudi à vendredi. Les renseignements américains affirment que le missile transportant le gaz toxique, qui a fait plusieurs dizaines de morts mardi, est parti de cette base. L'armée syrienne réfute ces accusations d'attaque chimique évoquant une explosion dans une usine d'armes contenant du chlore et du gaz sarin.
Six ans set 320.000 morts plus tard. Rappel des principales dates du conflit syrien.
Suite à la décision unilatérale des Etats-Unis d'intervenir en Syrie, le président Bachar al-Assad semble de plus en plus isolé.
Alors qu'il avait toujours refusé toute intervention directe en Syrie, le président américain a ordonné jeudi des frappes sur des installations de Bachar al-Assad. Une décision unilatérale qui remet en cause le rôle du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Entre deux évanouissements, un quadragénaire a réussi tant bien que mal à se réfugier sur le toit d'un immeuble pendant l'attaque chimique de Khan Cheikhoun. Malgré de graves séquelles, ce réflexe lui a sauvé la vie.
Les Etats-Unis ont bombardé une base aérienne en Syrie en riposte à une attaque chimique imputée au "dictateur Bachar al-Assad". Mais ces frappes sont considérées par Washington comme une réponse ponctuelle. Il s’agit toutefois bel et bien d’adresser un message au régime syrien mais aussi à son allié russe. Et au-delà, aux pays de la région comme l’Iran pour qu’il respecte son accord sur le nucléaire et à la Corée du Nord qui ne cesse de développer son industrie nucléaire.
Un communiqué franco-allemand condamne le "massacre chimique perpétré le 4 avril à Kahn Cheikhoun" et en impute la responsabilité exclusive au dirigeant syrien.
Les Etats-Unis ont bombardé une base aérienne en Syrie en riposte à une attaque chimique imputée au "dictateur Bachar al-Assad". Mais ces frappes sont considérées par Washington comme une réponse ponctuelle et non comme un changement de pied dans la politique internationale de Donald Trump. Mais si ce n’est une entrée dans le conflit, on comprend mal alors l’appel du président aux nations civilisées pour mettre fin au bain de sang en Syrie. Et que se passerait-il si une nouvelle attaque chimique avait lui ?
Alors que Donald Trump a ordonné dans la nuit de jeudi à vendredi des frappes sur des installations de Bachar al-Assad, Moscou a réagi ce matin. La Russie dénonce, par la voix de son Président Vladimir Poutine, "une attaque" contre "un État souverain". Quatre soldats syriens ont été tués.
Alors qu'il avait toujours refusé toute intervention directe en Syrie, le président américain a ordonné jeudi des frappes sur des installations de Bachar al-Assad. Une décision qui remet en cause le rapport de force entre les Etats-Unis et la Russie, principal allié du régime syrien.
Alors que les États-Unis ont frappé une base aérienne syrienne dans la nuit de jeudi à vendredi en réponse à l'attaque chimique survenue mardi, Moscou avait mis en garde Washington quelques heures avant, en rappelant que les États-Unis avaient connu des précédents malheureux en Libye et en Irak. Mais le correspondant de BFMTV aux États-Unis Jean-Bernard Cadier a rappelé que la Russie "est aussi dans une position délicate". Il a expliqué qu'en 2013, Moscou s'était engagé à obtenir la destruction totale des armes chimiques du régime syrien s'il n'y avait pas de frappes américaines. "Les Russes n'ont pas tenu leur engagement, soit parce qu'ils n'ont pas voulu, soit parce qu'ils ont été trompés par leur allié Bachar Al-Assad", a estimé Jean-Bernard Cadier.
Donald Trump a qualifié l’attaque chimique de la ville syrienne de Khan Cheikhoun d’"affront contre l’humanité". Le président des Etats-Unis a menacé de passer à l'action dans ce pays ravagé par la guerre civile depuis six ans après ce raid imputé au régime de Damas. "Mon attitude à l’égard de la Syrie et de Bachar al-Assad a beaucoup changé", a-t-il expliqué, évoquant son émotion après "cette attaque contre des gens innocents, des enfants, des beaux petits bébés". Il y a quelques jours encore, Washington ne faisait plus du départ du dirigeant syrien une priorité.
Le bilan de l'attaque "chimique" contre la ville syrienne de Khan Cheikhoun s'élève à 86 morts, selon un nouveau bilan communiqué mercredi soir par le l'Observatoire syrien des droits de l'Homme. Alors que Damas a été pointé du doigt, Moscou a jugé "inacceptable" en l'état un projet de résolution présenté à l'ONU par les États-Unis, la France et le Royaume-Uni condamnant l'attaque de mardi. La porte-parole du ministère russe des affaires étrangères a déclaré que ce texte avait été proposé par les trois États "sans faire d’effort pour comprendre ce qu’il s’est passé et en se basant totalement sur des fausses informations".
L'ambassadrice des États-Unis à l'ONU Nikki Haley a demandé mercredi à la Russie de "faire son boulot", alors que cette dernière avait promis de s'occuper des armes chimiques en Syrie. "La Russie n'a absolument rien fait de ce qu'elle était supposée faire, l'usage d'armes chimiques n'en finit pas et c'est violent de voir ce que la Syrie fait à son propre peuple", a-t-elle déclaré.
Après l'attaque chimique menée mardi dans la province d'Idleb en Syrie, de nombreux journaux consacrent leur une aux enfants morts ce jour-là.
Un bilan effroyable fait état de 72 tués dont 20 enfants. Pour la communauté internationale, dont la Russie, Damas est à l'origine de la frappe.
Le bilan de l'attaque chimique perpétrée en Syrie s'aggrave et passe à 72 victimes, dont 20 enfants, selon l'OSDH.
Un nouveau bilan aggravé fait état mercredi matin de 72 tués parmi les civils, dont au moins 20 enfants.
Une attaque au gaz sur une zone contrôlée par des rebelles syriens, a fait au moins 58 morts mardi dont de nombreux enfants. L'opposition syrienne a accusé le régime d'avoir mené cette attaque.
L'opposition syrienne a accusé mardi le régime de Bachar al-Assad d'avoir mené une attaque "chimique" qui a fait au moins 58 morts dans un fief rebelle et jihadiste du nord-ouest du pays.
Un incendie s'est déclaré dimanche dans un complexe résidentiel en construction dans le centre de Dubaï près d'un grand centre commercial et d'un hôtel qui avait été ravagé par les flammes le 31 décembre 2015, a annoncé le bureau d'information du gouvernement.