Le président russe s'était exprimé une première fois, ce lundi midi, depuis la rébellion avortée de Wagner durant le week-end, sans la citer. Dans la soirée, il a repris la parole lors d'une allocution télévisée, remerçiant notamment le peuple russe pour sa "résilience" et proposant aux combattants de Wagner de rejoindre l'armée ou de partir pour la Biélorussie.
Marat Gabidullin, ancien membre de la milice Wagner, était l'invité de BFMTV pour évoquer le putsch avorté d'Evgueni Prigojine. Ce dernier a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. De son côté, Vladimir Poutine a pris la parole à la télévision russe et déclaré que "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
Le 19 novembre 2022 dans le "Club Q", à Colorado Springs, Anderson Lee Aldrich avait ouvert le feu et tué cinq personnes. Après avoir plaidé coupable, il a été condamné à la réclusion à perpétuité sans possibilité de remise en liberté conditionnelle.
L'envolée des températures a conduit les autorités à activer leurs plans anti-chaleur, qui déterminent les différents niveaux de risques pour la population et permettent d'adapter les horaires des écoles et des travaux en plein air.
L’inquiétude avait paru saisir Moscou face à la mutinerie avortée du groupe paramilitaire Wagner samedi. Vladimir Poutine affiche désormais un "retour à la normale" de façade, analysent plusieurs spécialistes.
![Russie: "La plupart [des combattants de Wagner] refuseront de signer le contrat avec le ministère de la Défense", pour Marat Gabidullin (ancien membre de Wagner)](https://images.bfmtv.com/hFYCDqH3fJRq77cgszfA1SCBkb4=/0x0:1280x720/285x0/images/Russie-La-plupart-des-combattants-de-Wagner-refuseront-de-signer-le-contrat-avec-le-ministere-de-la-Defense-pour-Marat-Gabidullin-ancien-membre-de-Wagner-1663839.jpg)
Marat Gabidullin, ancien membre de la milice Wagner, était l'invité de BFMTV pour évoquer le putsch avorté d'Evgueni Prigojine. Ce dernier a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. De son côté, Vladimir Poutine a pris la parole à la télévision russe et déclaré que "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
![Putsch avorté de Wagner: "[La position de Vladimir Poutine] est affaiblie mais pas au point qu'on puisse le renverser", estime Marat Gabidullin, ancien membre de la milice Wagner](https://images.bfmtv.com/BaaOz8CmZrzdKWIk5GDcYHXC3vw=/0x0:1280x720/285x0/images/Putsch-avorte-de-Wagner-La-position-de-Vladimir-Poutine-est-affaiblie-mais-pas-au-point-qu-on-puisse-le-renverser-estime-Marat-Gabidullin-ancien-membre-de-la-milice-Wagner-1663833.jpg)
Marat Gabidullin, ancien membre de la milice Wagner, était l'invité de BFMTV pour évoquer le putsch avorté d'Evgueni Prigojine. Ce dernier a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. De son côté, Vladimir Poutine a pris la parole à la télévision russe et déclaré que "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
Vladimir Poutine a pris la parole après le putsch avorté de la milice Wagner, puis réuni les principaux responsables sécuritaires du pays pour un conseil de sécurité. Selon le président russe, "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
Vladimir Poutine a pris la parole après le putsch avorté de la milice Wagner, puis réuni les principaux responsables sécuritaires du pays pour un conseil de sécurité. Selon le président russe, "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
Dans une allocution télévision, le président russe a estimé que la plupart des mercenaires du groupe paramilitaire de Wagner entrés en rébellion samedi étaient des "patriotes" qui feraient le "bon choix".
Vladimir Poutine, a pris la parole après le putsch avorté de la milice Wagner. Selon le président russe, "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée". Le chef de l'État a néanmoins remercié "les soldats et les commandants de Wagner qui ont pris la bonne décision d'arrêter".
Le président russe s'exprimait pour la deuxième fois depuis le Kremlin depuis la mutinerie du groupe paramilitaire Wagner. Il a estimé que cette "tentative de déstabilisation" avait échoué.
Vladimir Poutine, a pris la parole après le putsch avorté de la milice Wagner. Selon le président russe, "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée". Le chef de l'État a néanmoins remercié "les soldats et les commandants de Wagner qui ont pris la bonne décision d'arrêter".
Le président russe, Vladimir Poutine, a pris la parole après le putsch avorté de la milice Wagner. Selon le président russe, "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
Le président russe, Vladimir Poutine, s’exprime 48 heures après la "marche vers Moscou" entreprise puis avortée samedi par la milice Wagner, à l’initiative de son chef, Evguéni Prigojine.
Le président russe, Vladimir Poutine, a pris la parole après le putsch avorté de la milice Wagner. Selon le président russe, "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
Le président russe, Vladimir Poutine, a pris la parole après le putsch avorté de la milice Wagner. Selon le président russe, "dans tous les cas, la rébellion armée aurait été maîtrisée".
Vladimir Poutine va faire "une série d'annonces importantes" ce soir, selon la télévision d'État russe, après le putsch avorté de la milice Wagner, démarré le 23 juin.
Le fondateur de la milice Wagner, Evgueni Prigojine, a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. Dans son allocution, Evgueni Prigojine, qui n’a pas révélé sa localisation, dit également que l’avancée de son groupe vers Moscou a révélé “de graves problèmes de sécurité” en Russie.
Après la tentative de rébellion menée par le chef de la milice Wagner, Evgueni Prigojine, beaucoup de questions se posent encore. Voici les explications de Thierry Arnaud, éditorialiste politique internationale BFMTV.
Le président américain a estimé qu'il était "trop tôt pour tirer des conclusions définitives". " Nous n'avons rien à voir avec ces événements", a-t-il aussi souligné, en référence à l'Otan.
Après le putsch de Wagner avorté, l'Ukraine espère pouvoir profiter des dissensions internes russes pour poursuivre sa contre-attaque. Un nouveau village a été libéré par les forces ukrainiennes ce matin, alors que Volodymyr Zelensky a fait le déplacement sur le front de l'est pour rencontrer des soldats sur le terrain.
Il y a 48 heures, Moscou se barricadait face à l'avancée des troupes de Wagner. La population redoutait un bain de sang. Aujourd'hui, la ville semble étonnamment sereine, presque comme si de rien n'était. Un spectaculaire retour à la normale encouragé par la télévision d'État qui s'évertue à minimiser la portée de cette tentative de putsch.
Le fondateur de la milice Wagner, Evgueni Prigojine, a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. Dans son allocution, Evgueni Prigojine, qui n’a pas révélé sa localisation, dit également que l’avancée de son groupe vers Moscou a révélé “de graves problèmes de sécurité” en Russie.
Evguéni Prigojine, le "cuisinier de Poutine" a grandi pendant 20 ans dans l'ombre de Vladimir Poutine. Après en avoir été un soutien essentiel pendant la guerre, il lui a subitement mordu la main, vendredi 23 juin.
Le fondateur de la milice Wagner, Evgueni Prigojine, a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. Dans son allocution, Evgueni Prigojine, qui n’a pas révélé sa localisation, dit également que l’avancée de son groupe vers Moscou a révélé “de graves problèmes de sécurité” en Russie.
Le fondateur de la milice Wagner, Evgueni Prigojine, a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. Dans son allocution, Evgueni Prigojine, qui n’a pas révélé sa localisation, dit également que l’avancée de son groupe vers Moscou a révélé “de graves problèmes de sécurité” en Russie.
Le fondateur de la milice Wagner, Evgueni Prigojine, a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. Dans son allocution, Evgueni Prigojine, qui n’a pas révélé sa localisation, dit également que l’avancée de son groupe vers Moscou a révélé “de graves problèmes de sécurité” en Russie.
Raphaël Glucksmann, député européen "Place publique" était l'invité de BFMTV pour évoquer la marche avortée du groupe Wagner vers Moscou. Dans un message sonore publié sur le réseau Telegram, le fondateur de la milice, Evgueni Prigojine, a expliqué que l’objectif de son opération n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière.
Raphaël Glucksmann, député européen "Place publique" était l'invité de BFMTV pour évoquer la marche avortée du groupe Wagner vers Moscou. Dans un message sonore publié sur le réseau Telegram, le fondateur de la milice, Evgueni Prigojine, a expliqué que l’objectif de son opération n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière.
Raphaël Glucksmann, député européen "Place publique" était l'invité de BFMTV pour évoquer la marche avortée du groupe Wagner vers Moscou. Dans un message sonore publié sur le réseau Telegram, le fondateur de la milice, Evgueni Prigojine, a expliqué que l’objectif de son opération n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière.
Le président américain s'exprime à propos de l'avancée du groupe paramilitaire russe Wagner, à la suite du message de son chef, Evguéni Prigojine, qui explique que l'objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le Kremlin mais de "sauver Wagner". Selon lui, la milice devait cesser d’exister le 1er juillet.
Dans un message sonore de 11 minutes, le fondateur de la milice Wagner, Evguéni Prigojine, explique que l'objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe et de tuer des soldats de l'armée, mais de "sauver Wagner". Selon lui, le groupe paramilitaire devait cesser d’exister le 1er juillet.
Le fondateur de la milice Wagner, Evgueni Prigojine, a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. Dans son allocution, Evgueni Prigojine, qui n’a pas révélé sa localisation, dit également que l’avancée de son groupe vers Moscou a révélé “de graves problèmes de sécurité” en Russie.
Dans un message sonore de 11 minutes, le fondateur de la milice Wagner, Evgueni Prigojine, explique que l'objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de "sauver Wagner". Selon Evgueni Prigojine, le groupe paramilitaire devait cesser d’exister le 1er juillet.
Le fondateur de la milice Wagner, Evgueni Prigojine, a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. Dans son allocution, Evgueni Prigojine, qui n’a pas révélé sa localisation, dit également que l’avancée de son groupe vers Moscou a révélé “de graves problèmes de sécurité” en Russie.
![Evgueni Prigojine (fondateur de la milice Wagner): "En raison des machinations et des décisions mal réfléchies, [Wagner] devait cesser d'exister le 1er juillet 2023"](https://images.bfmtv.com/HAIzxk22MsZ9ZRvVbFF-BN15LIY=/0x0:1280x720/285x0/images/Evgueni-Prigojine-fondateur-de-la-milice-Wagner-En-raison-des-machinations-et-des-decisions-mal-reflechies-Wagner-devait-cesser-d-exister-le-1er-juillet-2023-1663603.jpg)
Le fondateur de la milice Wagner, Evgueni Prigojine, a expliqué dans un message sonore publié sur le réseau Telegram que l’objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de “ne pas permettre la destruction du groupe Wagner” et son absorption par l’armée régulière. Dans son allocution, Evgueni Prigojine, qui n’a pas révélé sa localisation, dit également que l’avancée de son groupe vers Moscou a révélé “de graves problèmes de sécurité” en Russie.
Dans un message sonore de 11 minutes, le fondateur de la milice Wagner, Evgueni Prigojine, explique que l'objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de "sauver Wagner". Selon lui, le groupe paramilitaire devait cesser d’exister le 1er juillet.
Evguéni Prigojine est sorti de son silence avec un message audio dans lequel il affirme que l'objectif de sa rébellion avortée était de sauver l'existence de son groupe paramilitaire.
Nommées Courant ou la Flamme, diverses milices privées opèrent sur le front ukrainien en faveur de Moscou. Des groupes potentiellement amenés à occuper une place croissante après la rébellion Wagner.
Dans un message sonore de 11 minutes, le fondateur de la milice Wagner, Evgueni Prigojine, explique que l'objectif de sa marche vers Moscou n'était pas de renverser le pouvoir russe mais de "sauver Wagner". Selon lui, le groupe paramilitaire devait cesser d’exister le 1er juillet.
Malgré sa rébellion avortée en Russie, le groupe paramilitaire Wagner doit poursuivre ses activités au Mali et en Centrafrique selon le chef de la diplomatie russe.
Le chef de l'État russe s'adressait à un forum consacré à l'industrie et la jeunesse. Il n'a pas évoqué la milice Wagner et la rébellion avortée par ce groupe paramilitaire qui s'est déroulée ce samedi.
Vladimir Poutine a pris la parole pour la première fois depuis la rébellion du groupe Wagner, ce lundi, mais n'a pas dit un mot sur les paramalitaires ni sur leur chef, Evguéni Prigojine.
Ils avaient la conviction que la milice Wagner allait passer à l'action. 3 jours avant le coup de force de la milice, les Américains avaient remarqué qu'Evgueni Prigojine accumulait des troupes et des armes à la frontière russo-ukrainienne.
La Russie s'efforce lundi d'afficher un retour à la normale avec la levée des mesures de sécurité instaurées pendant le soulèvement du groupe Wagner, une crise sans précédent qui révèle pour les Occidentaux la fragilité du régime de Vladimir Poutine.
L'Ukraine poursuit sa contre-offensive. La vice-ministre ukrainienne de la Défense a annoncé ce lundi que Kiev a reconquis un village situé au sud-est de la ville de Donetsk.
Le chef de l'État s'adresse à un forum consacré à l'industrie et la jeunesse. Il n'a pas évoqué la milice Wagner et la rébellion avortée par ce groupe paramilitaire qui a s'est déroulée ce samedi.
La mère de l'adolescent mort dans l'implosion du Titan raconte qu'elle et sa fille de 17 ans se trouvaient à bord du Polar Prince, bateau accompagnant le submersible, lorsque le drame est survenu.
La mutinerie menée par le groupe Wagner a déstabilisé pendant 24 heures le pouvoir russe. Si une enquête a été ouverte contre son chef Evguéni Prigojine, le devenir de cette milice, cruciale pour Moscou, reste incertain.
