Valls: "Charles Pasqua incarnait une certaine idée de la France"
Responsables politiques, notamment des Républicains, saluent la mémoire de l'ancien ministre de l'Intérieur mort lundi à 88 ans.
Responsables politiques, notamment des Républicains, saluent la mémoire de l'ancien ministre de l'Intérieur mort lundi à 88 ans.
François Baroin, sénateur Les Républicains de l’Aube, a réagi lundi soir à la disparition de l’ancien ministre Charles Pasqua à 88 ans: "C’est une vraie grande figure du gaullisme, du RPR. C’est celui qui avait restauré l’autorité, qui avait redonné confiance aux policiers (comme ministre de l’Intérieur entre 1986 et 1988). C’était un homme chaleureux, tatillon, affectueux, aimable. C’est une page qui se tourne pour les gaullistes."
Bernard Debré, député Les Républicains de Paris, a réagi lundi soir au décès de Charles Pasqua à 88 ans sur BFMTV: "C’est une page qui se tourne. C’était peut-être le dernier gaulliste qui existait. C’est une base de la cinquième République. Il a été souvent dans l’ombre mais toujours près du Général (De Gaulle). Ça a été un grand ministre de l’Intérieur. C’était un homme d’une très grande gentillesse. Il avait une détermination absolue. C’est vrai, il était très patriote, très nationaliste, assez contre l’Europe."
Prynt, la coque de smartphone qui permet d'imprimer des photos façon Polaroid, a été le grand vainqueur du concours d'entrepreneurs organisé par BFM Business. L'entreprise cofondée par David Zhang a remporté la campagne de communication d'une valeur de 150.000 euros. - BFM Académie saison 10, du 29 juin, présenté par Nicolas Doze depuis le studio Gabriel à Paris, sur BFM Business.
Philippe de Villiers, président du Mouvement pour la France, a réagi sur BFMTV ce lundi soir à la mort de l’ancien ministre Charles Pasqua à 88 ans: "J’ai beaucoup de peine. Par-delà sa gouaille, sa verve, et sa personnalité charismatique, je voyais l’homme de combat qu’il était. J’ai mené trois combats successifs avec lui: Maastricht en 1992, les élections européennes de 1999, et le non victorieux au référendum en 2005. C’était un homme qui était attaché à sa patrie charnelle, sa Corse qu’il aimait tant, et puis la France. C’est un homme qui a résisté, qui n’était pas sensible à l’opinion, au jeu des médias. Il faisait ce qu’il croyait utile pour le pays. Il riait beaucoup, il faisait rire beaucoup, mais c’était un rire de façade. Il y avait chez Charles Pasqua un sentiment de profonde tristesse parce qu’il voyait l’effondrement de la France et de l’Europe."
L'ancien gaulliste est mort ce lundi. Longtemps ministre de l'Intérieur, il était aussi connu pour son accent chantant et ses formules chocs. S'il est devenu l'une des figures de la Cinquième république, c'est aussi grâce à ses piques. Florilèges.
Gérard Filoche, membre du bureau national du PS, et Geoffroy Didier, secrétaire national "Les Républicains", étaient les invités de Nathalie Levy dans News & Compagnie sur BFMTV, ce lundi 29 juin 2015. Un décryptage original de l'actualité du jour avec le Billet d’Emmanuel Lechypre.
Le 29 juin, Roger Karoutchi, sénateur "Les Républicains" des Hauts-de-Seine, Jean-Charles Brisard, spécialiste du terrorisme, Thierry Arnaud, chef du service politique à BFMTV, Laurent Neumann, éditorialiste politique à BFMTV, ainsi que les eurodéputés "Les Républicains" Brice Hortefeux et Michèle Alliot-Marie, ont réagi au décès de l'ancien ministre de l'Intérieur Charles Pasqua, dans le News & Cie, présenté par Nathalie Levy, sur BFMTV.
L'ancien ministre de l'Intérieur est mort lundi à 88 ans. Ancien ministre de l'Intérieur, parrain politique de Jacques Chirac, il a marqué la vie politique française.
Le fondateur du Front national Jean-Marie Le Pen a réagi au décès de l’ancien ministre Charles Pasqua ce lundi soir sur BFMTV: "Nous n’étions pas du même camp mais nous avions de l’estime l’un pour l’autre. C’était un patriote, un combattant national eurosceptique. Nous avions des points de rapprochement et puis aussi des points de discorde. J’entretenais avec lui des rapports courtois. Je sais qu’il est de tradition de chanter les louanges des gens qui ont disparu. Charles Pasqua était un adversaire politique mais un adversaire du même camp général auquel j’appartenais moi-même", a indiqué l’eurodéputé Jean-Marie Le Pen.
Jean-Claude Gaudin, maire Les Républicains de Marseille, a rendu hommage lundi soir à Charles Pasqua sur BFMTV. L’ancien ministre est décédé à l’âge de 88 ans. "Avant tout, c’était un homme qui s’inscrivait dans la pensée du général de Gaulle. C’est un fidèle de l’appel du 18 juin, c’est un homme dont les convictions étaient du gaullisme le plus authentique. C’était un homme de décision. Il n’hésitait pas, il ne transigeait pas. En plus, il avait des attaches tout à fait authentiques à Marseille. Il était un ami de Paul Ricard à Marseille. Il a travaillé dans cette entreprise de Paul Ricard", se remémore Jean-Claude Gaudin.
Jean Tiberi, proche de Charles Pasqua et ancien maire de Paris, a réagi lundi soir sur BFMTV à la disparition de Charles Pasqua à 88 ans: "Je suis très triste. C’est un moment d’émotion. C’était un ami personnel et un ami politique. C’était un des derniers grands gaullistes, un jeune résistant, un excellent ministre de l’Intérieur. Il avait le souci de l’intérêt général et il disait franchement les choses. C’était un homme d’Etat. Nous perdons beaucoup. Je ne l’oublierai jamais. Il a apporté beaucoup par sa franchise, sa détermination, son courage. Il restait fidèle à ses idées."
L’ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant a réagi à la disparition de Charles Pasqua à 88 ans: "J’ai eu le privilège d’être le collaborateur de Charles Pasqua au ministère de l’Intérieur. Je le connaissais bien et j’avais pour lui vraiment beaucoup d’amitié et un immense respect. C’est un homme qui s’est fait tout seul. Il était entré dans la résistance à quinze ans, n’avait pas eu la chance de faire des études supérieures. Malgré ça, il a tenu dans la galaxie des hommes politiques nationaux une place éminente. Son humanité extraordinaire l’irradiait à tout instant."
Patrick Balkany, proche de Charles Pasqua, et maire Les Républicains de Levallois-Perret, a réagi à la disparition de l’ancien ministre à l’âge de 88 ans: "Charles Pasqua, ça a été l’homme qui m’a poussé à faire de la politique, à aller à Levallois qui était son fief. C’était, comme dit ma femme, notre deuxième père. On était très proche de lui. (Dernièrement), il avait toute sa tête. En fait, il est rentré à l’hôpital parce qu’il avait fait un petit malaise. C’est hier soir qu’il est tombé dans le coma. C’était quelqu’un de très réfléchi, un grand humaniste, un homme de grande culture, un homme très croyant et qui connaissait toutes les religions sur le bout des doigts."
Michèle Alliot-Marie, eurodéputée Les Républicains, a réagi au décès à 88 ans de l’ancien sénateur Charles Pasqua: "C’était le militant, le gaulliste de cœur, et celui qui était près des gens. C’était un fidèle à ses engagements, au gaullisme, à une certaine idée de la France."
Brice Hortefeux, eurodéputé Les Républicains, a réagi au décès à 88 ans de l’ancien sénateur Charles Pasqua: "J’apprends avec beaucoup d’émotion sa disparition. Il a été un organisateur exceptionnel, et un élu très lié à son département des Hauts-de-Seine, un ministre de l’Intérieur qui a imprimé sa marque très fortement. Ses soutiens comme ses opposants garderont de lui l’image d’un homme entier."
Geoffroy Didier, secrétaire national Les Républicains, a réagi au décès à 88 ans de l’ancien ministre Charles Pasqua: "Nous apprenons tous le décès de Charles Pasqua avec tristesse et stupeur. Charles Pasqua n’était pas seulement une grande gueule, c’était aussi un grand monsieur. Charles Pasqua avait son ton bien à lui, mais il rayonnait aussi par son amour de la France, de la patrie, de la République. Il incarnait l’autorité de l’Etat."
Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV a réagi lundi soir à la disparition de l’ancien eurodéputé Charles Pasqua à l’âge de 88 ans: "C’est un homme politique comme on en fait plus aujourd’hui. Ce visage, cette façon de parler, cet accent du sud. Charles Pasqua, c’était le ministre qui voulait terroriser les terroristes. Il était très puissant sur tous les sujets qui font l’actualité aujourd’hui. Il a été un proche compagnon de route de Jacques Chirac avant de prendre son indépendance avec Philippe De Villiers. Il est souverainiste Charles Pasqua."
Le spécialiste du terrorisme Jean-Charles Brisard a réagi lundi soir à la disparition de l’ancien sénateur Charles Pasqua à l’âge de 88 ans: "Je suis bouleversé ce soir parce que c’est non seulement un grand résistant. Ça a aussi été un grand ministre. Il a posé les fondements du droit français en matière d’antiterrorisme. (C’est) quelqu’un qui manie à la fois une grande autorité (et qui a) une générosité immense. Je suis très triste ce soir."
Lors de la finale du concours d'entrepreneurs organisé par BFM Business, BFM Académie a mis à l'honneur les anciens lauréats de la compétition: Tiwal, lauréat de la saison 9, Chauffeur-Prive.com, saison 8 et Good Goût, saison 7. - BFM Académie saison 10, du 29 juin, présenté par Nicolas Doze depuis le studio Gabriel à Paris, sur BFM Business.
L’ancien ministre de l’Intérieur Charles Pasqua est décédé à l’âge de 88 ans. Le sénateur Les Républicains Roger Karoutchi vient de lui rendre un hommage appuyé sur BFMTV: "C’est un vrai choc. On savait qu’il était malade, que depuis la disparition de son fils il y a quelques mois, il avait vraiment pris un coup. Mais pour tous ceux qui ont travaillé avec lui, c’est un choc extraordinaire. C’est un grand monsieur, un résistant, un vrai gaulliste, qui avait une fibre populaire, un orateur hors pair, un entraineur hors pair. Vous le mettiez dans n’importe quelle salle et il vous mobilisait toute la salle. Des politiques comme ça, vous en avez deux trois par génération."
Après les attentats de vendredi, Manuel Valls a utilisé pour la première fois l'expression controversée de "guerre de civilisation" face au "terrorisme" islamiste. La députée européenne Les Républicains Michèle Alliot-Marie a récusé le terme employé par le Premier ministre, qui "ne correspond pas vraiment à la réalité (…) ‘Guerre de civilisation’, c’est finalement rentrer un peu dans ce que souhaitent depuis 2001 al-Qaïda puis aujourd’hui Daesh, c’est-à-dire l’idée d’une confrontation globale entre monde occidental et monde musulman (…) A l’intérieur même du monde musulman, vous avez des gens qui sont attaqués parce que jugés par les intégristes comme n’étant pas dans leur ligne." Selon l’ancienne ministre des Affaires étrangères, nous devons défendre "les valeurs humanistes que l’on retrouve" dans notre civilisation "mais pas simplement".
"On ne peut pas se contenter des grands mots comme le fait Manuel Valls qui fait beaucoup de communication en (…) ayant une inflation de vocabulaire mais qui par ailleurs n’a pas montré une très grande efficacité dans son action", a exprimé lundi sur BFMTV la députée européenne Les Républicains Michèle Alliot-Marie. La veille, Manuel Valls a utilisé l’expression "guerre de civilisation" concernant la lutte contre le groupe Etat islamique après une série d’attentats meurtriers revendiquée par Daesh depuis vendredi.
Lors de la finale du concours d'entrepreneurs organisé par BFM Business, chaque candidat était invité à dire du bien et à promouvoir un projet concurrent. Ondine Suavet s'est exprimée sur les qualités de Prynt, Alexandre Chartier sur MyLight Systems et David Zhang sur Ornikar. - BFM Académie saison 10, du 29 juin, présenté par Nicolas Doze depuis le studio Gabriel à Paris, sur BFM Business.
Ce lundi 29 juin 2015, le référendum d'Alexis Tsipras sur le plan d'aide européen a été décrypté par Alain Marschall et ses invités: Thierry Arnaud, chef du service politique à BFMTV, Ruth Elkrief, journaliste politique de BFMTV et Laurent Neumann, éditorialiste politique de BFMTV, dans le 20H Politique, sur BFMTV.
L'ancien directeur des programmes et figure incontournable de la chaîne cryptée est décédé à l'âge de 68 ans. Il avait notamment installé à l'antenne des émissions cultes comme les Guignols de l'info ou Nulle Part Ailleurs.
L'ancien ministre de l'Intérieur, cofondateur du RPR, s'est éteint lundi à l'âge de 88 ans. Personnage truculent, il avait mis un terme à sa carrière politique en 2011.
Ondine Suavet, cofondatrice de MyLight Systems, Alexandre Chartier, cofondateur d'Ornikar et David Zhang, cofondateur de Prynt, ont répondu aux questions de Jean-David Chamboredon, président d'ISAI et Philippe Hayat, fondateur de Serena Capital, à l'occasion de la finale du concours d'entrepreneurs organisé par BFM Business. - BFM Académie saison 10, du 29 juin, présenté par Nicolas Doze depuis le studio Gabriel à Paris, sur BFM Business.
À l'occasion de la finale du concours d'entrepreneurs organisé par BFM Business, Maximilien Rouer, directeur général délégué de GreenFlex, Bruno Garancher, président de l'ECF et Antoine Le Conte, président de Cheerz.com, ont apporté leurs expertises sur les projets de nos trois finalistes. Maximilien Rouer s'est intéressé à MyLight Systems d'Ondine Suavet, Bruno Garancher sur Ornikar d'Alexandre Chartier et Antoine Le Conte sur Prynt de David Zhang. - BFM Académie saison 10, du 29 juin, présenté par Nicolas Doze depuis le studio Gabriel à Paris, sur BFM Business.
Ondine Suavet, cofondatrice de MyLight Systems, Alexandre Chartier, cofondateur d'Ornikar et David Zhang, cofondateur de Prynt, vont défendre leurs projets devant les coachs et les experts pendant cette finale du concours d'entrepreneurs organisé par BFM Business. Le lauréat remportera une campagne de communication d'une valeur de 150.000 euros à l'issue de la compétition. - BFM Académie saison 10, du 29 juin, présenté par Nicolas Doze depuis le studio Gabriel à Paris, sur BFM Business.
Dès mardi, plusieurs régions françaises afficheront des températures en nette hausse, qui dépasseront les 40°C. Certaines communes devraient même battre des records de chaleur: ce sera le cas avec la ville de Bordeaux, où 41°C sont attendus.
Ondine Suavet, cofondatrice de MyLight Systems, Alexandre Chartier, cofondateur d'Ornikar et David Zhang, cofondateur de Prynt, ont répondu aux questions de Catherine Barba, Evelyne Platnic-Cohen, Eve Chegaray, Sylvain Orébi et Alain Bosetti, lors de la finale du concours d'entrepreneurs organisé par BFM Business. - BFM Académie saison 10, du 29 juin, présenté par Nicolas Doze depuis le studio Gabriel à Paris, sur BFM Business.
Ce professeur de SVT d'une cinquantaine d'années était accusé par une ancienne élève, aujourd'hui âgée de 18 ans, d'avoir tenté de l'embrasser. Selon des responsables syndicaux, l'enseignant a "dénoncé les faits reprochés". Une cellule de soutien psychologique a été mise en place dans le lycée.
Jacques Sapir, économiste et directeur d'études à l'EHESS, a répondu aux questions de Ruth Elkrief, ce lundi 29 juin 2015, sur la décision d'Alexis Tsipras de recourir à un référendum pour une éventuelle sortie de la Grèce de l’Eurozone. Ce vote déterminera si les Grecs accepteront ou pas les propositions de réformes réclamées par le FMI et l'UE en échange du déblocage de nouvelles liquidités. Les créanciers d'Athènes comptent sur une peur du Grexit et la sortie de l'euro pour que les Grecs désavouent leur Premier ministre et disent oui quelle que soit la question posée.
De nouveaux documents dévoilés par Wikileaks montrent que la France a fait l'objet d'un espionnage économique massif. La "quasi-totalité" des entreprises du CAC 40 seraient concernées.
Invité de BFMTV lundi, le ministre des Finances Michel Sapin a réagi à la décision d’Alexis Tsipras d’en référer au peuple grec via un référendum. Un vote à l’issue duquel la Grèce pourrait sortir de la zone euro. "Le pays qui est en danger, c’est la Grèce, ça n’est pas nous, a-t-il martelé sur BFMTV. L’idée suivant laquelle la Grèce pourrait couler et faire couler en même temps le bateau euro, ça n’est pas vrai."
Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics, a répondu aux questions de Ruth Elkrief, ce lundi 29 juin 2015, sur les éventuelles conséquences de l'échec des négociations autour de la dette grecque.
Invité de BFMTV lundi, le ministre des Finances Michel Sapin a réagi à l’organisation d’un référendum en Grèce sur l’accord en cours de négociation avec ses créanciers. Les pourparlers avec l’UE et le FMI sont au point mort depuis cette annonce surprise d’Alexis Tsipras dans la nuit de vendredi à samedi. "Je ne m’attendais pas à cette fin de non-recevoir, à ces négociations rompues de manière unilatérale par le gouvernement grec. C’est une gifle, une sorte de porte fermée d’un seul coup. (Tsipras) a demandé au peuple de se prononcer et ça c’est respectable. Je me souviens qu’il y a quatre ans, on avait empêché le peuple grec de se prononcer. Nicolas Sarkozy a eu tort à l’époque. Il ne devrait pas s’en vanter aujourd’hui."