L'épidémiologiste Renaud Piarroux, chef du service de parasitologie à la Pitié-Salpêtrière à Paris, était l'invité ce mardi du Live Toussaint.
L'épidémiologiste Renaud Piarroux, chef du service de parasitologie à la Pitié-Salpêtrière à Paris, était l'invité ce mardi du Live Toussaint.
Les fausses couches sont un phénomène sous-estimé dans la société, selon un rapport publié dans The Lancet. Les femmes touchées n'osent souvent pas en parler, malgré un impact psychique lourd.
Emmanuel Macron maintient toujours son calendrier de réouverture avec notamment les terrasses autour de la mi-mai. Pourtant la situation épidémiologique, loin d'être sous contrôle, est moins favorable que lors de la sortie des deux premiers confinements.
"Le risque est majeur de voir l’épidémie prospérer à la faveur" de la réouverture des écoles, alerte le collectif dans une tribune publiée lundi dans Le Monde.
Lundi matin sur BFMTV, le Pr Éric Caumes affirmait que le port du masque en forêt ou sur la plage n'était pas utile. Dans certaines villes françaises, son port est obligatoire depuis août 2020. Mais quand est-il précisément justifier de le porter selon les médecins ?
Ce week-end, Jean-Michel Blanquer a déclaré encourager les collectivités à investir dans des purificateurs d’air et des capteurs de CO2, pour lutter contre la diffusion du Covid-19 dans les écoles. Certaines communes ont déjà équipé leurs écoles avec ce genre d’appareils, et sont heureuses du bilan.
Les restrictions de déplacement en journée vont être levées lundi 3 mai, mais le couvre-feu demeurera en vigueur. Emmanuel Macron songe à en repousser le début car "19 heures, c'est tôt". Plus tôt dans la matinée, sur l'antenne de LCI, le porte-parole du gouvernement avait annoncé que le chef de l'Etat interviendrait "prochainement", à une date "pas encore fixée", pour apporter des précisions sur la réouverture de certains lieux de culture ainsi que des terrasses. Une reprise d'activité toujours envisagée à la "mi-mai", a encore dit Gabriel Attal.
Emmanuel Macron a précisé lundi, jour de rentrée scolaire, les contours du déconfinement avec un possible assouplissement du couvre-feu et une réouverture "par étapes" des restaurants.
Ce lundi soir sur le plateau de TF1, Bernard Tapie a appelé les Français à aller se faire vacciner contre le Covid-19 afin de faire reculer l'épidémie.
Invité de 22h Max sur BFMTV ce lundi soir, le président de l'Union Française pour une médecine libre, le Dr Jérôme Marty, appelle à "préparer la rentrée scolaire de septembre dès maintenant".
Invité de 22h Max sur BFMTV ce lundi soir, le président de l'Union Française pour une médecine libre, le Dr Jérôme Marty, estime qu'un déconfinement est prématuré. Il n'est "pas raisonnable de faire croire qu'on sort" de la troisième vague, estime-t-il.
Les autotests, initialement privilégiés pour les adultes et les jeunes de plus de 15 ans, pourront désormais être utilisés pour les enfants.
Ces deux hommes de 53 et 68 ans présentaient "des antécédents de lourdes comorbidités et un état de très grande fragilité", a précisé l'Agence régionale de santé.
La barre des 6000 patients en réanimation en France a été franchie, a annoncé ce lundi soir Santé Publique France. Pour l'infectiologue à l'hôpital Antoine-Béclère de Clamart, Imad Kansau, la "situation est grave dans certains hôpitaux".
Le nombre de malades du Covid-19 en réanimation est repassé ce lundi juste audessus de la barre des 6000, dont il était proche depuis une dizaine de jours, selon les chiffres publiés par Santé publique France.
210 personnes bénéficiant de créneaux dédiés ont reçu une dose d'AstraZeneca ce week-end. Un total bien loin des espérances des autorités sanitaires.
Après avoir longtemps minimisé leur efficacité, le ministre de l'Education nationale incite désormais les collectivités locales à équiper les établissements scolaires de purificateurs d'air.
Dans un avis, où il est rappelé la situation "défavorable" de la France, le Haut Conseil de Santé Publique adopte une "position de prudence" s'agissant du retour à la vie normale des personnes vaccinées contre le Covid-19.
Le professeur Bruno Megarbane, chef du service réanimation à l'hôpital Lariboisière AP-HP à Paris était en visioconférence sur BFMTV.
Les variants brésilien et sud-africain représentent selon les dernières données 4,2% des contaminations en France. Le chiffre stable est relativement stable au niveau nationale, mais augmente dans certaines régions.
Le chef des maladies infectieuses à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière juge l'assouplissement des mesures sanitaires prématuré alors que "les chiffres ne sont pas encourageants".
Éric Caumes, chef du service de maladies infectieuses à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, est l'invité de BFMTV ce lundi matin.
Pr Éric Caumes, chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, est l'invité de BFMTV ce lundi matin. Il partage son opinion sur le fait d'attraper le Covid-19 après le vaccin ou après avoir déjà été malade une première fois.
Éric Caumes, chef du service de maladies infectieuses à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, est l'invité de BFMTV ce lundi matin.
Le professeur Éric Caumes, chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière était l’invité d'Apolline de Malherbe ce lundi 26 avril 2021 sur BFMTV et RMC.
Pr Éric Caumes, chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, est l'invité de BFMTV ce lundi matin. Il partage sa fatigue face à la crise sanitaire depuis l'année dernière.
Le professeur Éric Caumes, chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière était l’invité d'Apolline de Malherbe ce lundi 26 avril 2021 sur BFMTV et RMC.
Ce lundi matin marque le retour à l'école pour de nombreux enfants. Cette décision n'est pas "très raisonnable" en vue des chiffres peu encourageants pour Éric Caumes, chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, invité sur BFMTV ce lundi matin.
Ce dimanche, Jean Castex était en déplacement à l'aéroport de Roissy et s'est voulu rassurant sur la présence des variants du Covid-19 sur le territoire français. Pourtant, leur proportion augmente et le Conseil scientifique avait alerté le gouvernement le 16 avril sur leur propagation dans les prochaines semaines.
Non-conformité des masques, des gels hydroalcooliques, clause abusive des mutuelles, etc. : de nouvelles arnaques et escroqueries ont vu le jour avec la crise sanitaire. Au total, plus d'un millier de sites internet ont été fermés pour arnaque au Covid-19.
Après la réouverture des écoles primaires et maternelles, Emmanuel Macron a précisé ce lundi les contours du déconfinement avec un possible assouplissement du couvre-feu et une réouverture "par étapes" des restaurants.
Médecin généraliste établi à Mulhouse, le Dr Patrick Vogt a publié une vidéo dans laquelle il jette un flacon de sérum périmé, faute d'avoir pu l'administrer à des patients.
Le président de la Ligue contre le cancer, Axel Kahn, était l'invité ce dimanche de Jean-Baptiste Boursier sur BFMTV.
En proie à une flambée épidémique, l'Inde manque de respirateurs à oxygène. Plusieurs pays ont annoncé des mesures de soutien d'urgence.
Le médecin généraliste Patrick Vogt est outré. En début de semaine, il a posté une vidéo sur Twitter où il montre qu'il a dû jeter 4 doses de vaccin AstraZeneca [sur 10 que contient un flacon], faute de volontaires. Sur BFMTV, il témoigne de sa colère vis-à-vis de cette défiance disproportionnée selon lui, alors que l'épidémie continue de faire des centaines de victimes par jour en France.
Le Premier ministre était en déplacement à l'aéroport de Roissy ce dimanche matin pour vérifier la mise en place des nouvelles mesures de quarantaine. Jean Castex a également affirmé que les variants avaient tendance à régresser en France. Mais que disent réellement les chiffres ?
La pression hospitalière s'est fortement accrue en Guadeloupe ces derniers jours, en raison du nombre important de nouveaux cas de Covid-19. De nouvelles mesures de restriction entreront en vigueur dès mardi.
Face à la recrudescence de l'épidémie de Covid-19 en Inde, où 350.000 nouvelles contaminations ont été enregistrées ces dernières 24 heures, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Union européenne et les États-Unis ont annoncé des mesures de soutien d'urgence.
Selon le ministre de la Santé, plus de 50.000 injections quotidiennes ont été réalisées durant deux jours consécutifs.
Il avait continué de se rendre au travail et à la salle de sport alors qu'il présentait des symptômes de la maladie. Il avait également refusé de se confiner malgré un test PCR positif.
Dans sa dernière analyse de risque, Santé publique France indique qu'elle a augmenté sa vigilance vis-à-vis du variant B.1.617 repéré en Inde. Seuls des "cas importés" ont été détectés en France.
Plus d'un tiers de ces contaminations sont arrivées en Inde, où l'épidémie connaît un fort regain ces derniers jours.
La bévue survenue au centre de vaccination d'Épernay, dans la Marne, est sans danger pour les personnes qui ont reçu l'injection, insiste le centre hospitalier local.
Les enfants de maternelle et primaire reprendront lundi le chemin de l'école, première étape vers la levée encore conditionnelle des restrictions. Le déconfinement doit se poursuivre le 3 mai.
Le vaccin "est recommandé" pour la population adulte, a conclu vendredi un groupe réuni à la demande des Centres américains de lutte et de prévention des maladies (CDC), la principale agence américaine de santé publique. C'est la directrice des CDC, Rochelle Walensky, qui prendra la décision finale.
Santé Publique France rapporte que plus de 30.400 patients étaient hospitalisés en raison du Covid-19 en France ce vendredi, dont 5962 en réanimation.
Cinq nouveaux cas de thromboses ont été enregistrés en France, mais sans causer de décès, d'après le comité scientifique nouvellement créé par l'Agence Nationale de Sécurité du médicament et des produits de santé.
Selon l'Agence européenne des médicaments, les bénéfices liés à AstraZeneca augmentent avec l'âge, tandis que les risques de thromboses rares diminuent.
Pour lutter contre la propagation des variants du Covid-19, une quarantaine est désormais obligatoire pour les voyageurs en provenance de pays dans lesquels les variants sont dominants. Le non-respect de cet isolement est passible d'une amende de 1000 à 1500 euros.
