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Covid-19: l'angoisse des personnes vulnérables face à l'allègement du certificat d'isolement

Covid-19: l'angoisse des personnes vulnérables face à l'allègement du certificat d'isolement

Depuis le déconfinement, les personnes dites vulnérables face au Covid-19 et leurs proches peuvent bénéficier d’un certificat d’isolement, qui leur permet de rester en télétravail. Mais à partir du 1er septembre, la règle change. La liste des personnes bénéficiant de ce dispositif est réduite et ne concernera plus que les diabétiques, les personnes souffrant de cancer ou sous dialyse par exemple. Les conjoints et enfants des personnes vulnérables vont également devoir retourner au travail et à l’école, ce qui représente une source d’angoisse.

Covid-19: les laboratoires de tests doivent faire face à une forte affluence

Covid-19: les laboratoires de tests doivent faire face à une forte affluence

Le porte-parole du gouvernement a annoncé ce week-end que la barre des 900.000 tests a été dépassé. Pourtant, avant les vacances, les centres de dépistages en Île-de-France étaient débordés à l’approche de la rentrée. Certains le sont toujours, avec des files d'attente pouvant atteindre les cinq heures. Pour faire face à cette demande, le gouvernement a annoncé que des centres de dépistage gratuits vont être déployés dès ce lundi devant les mairies d'arrondissement de la capitale.

Un biochimiste de l'IHU de Marseille demande d'arrêter "le fantasme sur la toxicité" de l'hydroxychloroquine et l'azithromycine

Un biochimiste de l'IHU de Marseille demande d'arrêter "le fantasme sur la toxicité" de l'hydroxychloroquine et l'azithromycine

Une étude réalisée par des chercheurs français et suisses et publiée ce jeudi dans la revue Clinical Microbiology and Infection, le journal officiel de la société savante européenne de microbiologie clinique et maladies infectieuses, pointe la dangerosité de l'association de l'hydroxychloroquine (HCQ) et de l'azithromycine (AZM) pour traiter la Covid-19. Pire, cette combinaison augmenterait la mortalité, affirment les auteurs. Éric Chabrière, biochimiste à l'IHU de Marseille, dont Didier Raoult est le directeur, dénonce une étude "ridicule" ce vendredi sur BFMTV.