Alors que la circulation du virus s'accélère chez les moins de 40 ans, certains médecins préconisent de tester massivement les jeunes.
En outre, 17 nouveaux clusters ont également été détectés cette dernière journée, portant à 252 le nombre de foyers en cours d'investigation.
Le Puy du Fou, en Vendée, va pouvoir accueillir jusqu'à 9.000 personnes ce samedi soir grâce à une dérogation spéciale du préfet, malgré l'interdiction des rassemblements de plus de 5.000 personnes.
Après Paris et les Bouches-du-Rhône, 19 départements sont désormais classés en zone de circulation active du coronavirus. Une disposition qui permet aux préfets de prendre des mesures restrictives, notamment de limiter les déplacements.
Le masque se généralise dans les espaces publics à ciel ouvert, mais de plus en plus de médecins demandent sa généralisation dans tous les espaces privés également. Selon eux, le risque de contamination par voie aérienne représenterait une forte menace de nouveaux clusters. Ils appellent les autorités à prendre des mesures plus coercitives pour endiguer l’épidémie.
Face à la reprise des contaminations au Covid-19 et au spectre d'une seconde vague les personnels santé, comme les autorités sanitaires, s'inquiètent et appellent à une mobilisation collective pour enrayer la tendance.
Face à une situation qui se dégrade en France, l'obligation de porter le masque est renforcée dans de nombreuses villes, et particulièrement à Paris. Vendredi soir, la préfecture de Police a annoncé que le masque à l'extérieur serait étendu à partir de ce samedi à 8h à de nombreuses zones dont une partie des Champs-Elysées, le quartier du Louvre et celui des Batignolles.
Les fêtes du 15 août sont marquées par le coronavirus. À Lourdes, la messe de l'Assomption, la plus importante de l'été, se déroule en comité restreint.
Comme la capitale, le département des Bouches-du-Rhône est désormais classé en zone active de circulation du coronavirus, d'après un décret paru au Journal Officiel ce vendredi. Les Marseillais sont nombreux à venir se faire tester par peur d’être contaminés. C’est le cas à l’hôpital de La Timone.
Dans ses recommandations publiées ce week-end, le Haut Conseil français de la santé publique prône le port "systématique" du masque dans "tous les lieux clos publics et privés collectifs".
Plusieurs professionnels de santé publient une tribune, dans laquelle ils appellent à rendre obligatoire le port du masque en lieux clos. Ils s'inquiètent du risque aérosol, qui entraîne la diffusion du virus par voie aérienne.
La préfecture de police de Paris renforce son dispositif de sécurité, alors que la propagation du Covid-19 n'a de cesse d'augmenter ces derniers jours.
L'obligation de port du masque à Paris a été étendue à de nouveaux quartiers ce vendredi par la préfecture de police. Les parvis de gare, les Champs-Elysées ou encore le centre de Paris sont impactés. Au total, c'est une quarantaine de quartiers qui sont concernés par ces mesures.
Le nombre de nouveaux cas confirmés continue d'augmenter régulièrement depuis le début de la semaine, déplore de nouveau la Direction générale de la Santé (DGS) ce vendredi soir.
2846 nouveaux cas de Covid-19 et 26 nouveaux foyers épidémiques ont été recensés en 24 heures en France. 19 décès supplémentaires ont également été constatés, portant le nombre total de morts depuis le début de l'épidémie à 30.406.
Daniel Lévy-Bruhl, responsable de l'unité infections respiratoires à Santé publique France a estimé ce vendredi sur BFMTV qu'"on a encore les moyens d'éviter collectivement de se retrouver mi-septembre dans une situation difficile". "C'est notre responsabilité à tous, même si c'est contraignant", a-t-il ajouté.
Marseille rejoint Paris dans la classification de zone active du circulation du coronavirus, selon un décret paru ce vendredi.
Santé Publique France a poussé un cri d'alarme ce jeudi car on assiste à une augmentation de cas de Covid-19 pour la 3e semaine consécutive. 2669 nouveaux cas ont été enregistrés ces dernières 24h, un nouveau record depuis le déconfinement.
Dans une interview accordée au Parisien, le professeur Xavier Lescure, chef de service adjoint à l'hôpital Bichat, rappelle que "quand la machine est lancée, il est difficile de l'arrêter".
Avec les vacances, beaucoup de Français se sont déplacés sur le territoire ou à l'étranger. Avant la rentrée, faut-il se faire tester avant de reprendre une activité ?
L’augmentation des cas de coronavirus ces dernières semaines relance les besoins de tracer les contaminations. À la piscine ou dans les bars, de plus en plus d'établissements invitent les clients à laisser leur coordonnées à l’entrée. Les clients sont recontactés si un cluster est découvert.
"Les gens ne devraient pas avoir peur de la nourriture, ni des emballages alimentaires ou de la chaîne alimentaire", a expliqué Michael Ryan, directeur des situations d'urgence sanitaire à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), ce jeudi.
À défaut d’avoir un vaccin, le masque est devenu l’outil indispensable pour enrayer l’épidémie de coronavirus. Plusieurs grandes villes de France obligent leurs habitants désormais à le porter dans l’espace public. Les contrôles des forces de l’ordre se multiplient, mais sont parfois l’occasion de vives tensions.
2669 cas supplémentaires de coronavirus ont été enregistrés en 24h en France, selon la direction générale de la Santé ce jeudi, qui parle d'une situation "préoccupante".
Le ministre de la Santé Olivier Véran a annoncé, mercredi soir, avoir commandé 400 millions de gants qui devraient arriver "dans les prochains jours".
Cinq personnes retenues dans ce centre situé près de l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle et quatre policiers y officiant ont été testés positif au coronavirus.
La course au vaccin contre le coronavirus bat son plein. Certains chercheurs estiment qu’il pourrait être disponible en 2021. Pour d’autres virus, c’est plus compliqué. Comme pour le VIH. On a donc voulu comprendre pourquoi il n’existait, à l’heure actuelle et près de 40 ans après la découverte du virus de l’immunodéficience humaine, aucun vaccin efficace. Pour nous aider à répondre à cette question, on a interrogé le professeur Olivier Schwartz, il est directeur scientifique, à l’Institut Pasteur et spécialiste du VIH. Un sujet de Boris Courret.
Le nombre de nouveaux cas confirmés continue d'augmenter régulièrement, déplore la Direction générale de la Santé (DGS) ce jeudi soir.
Le ministre de la Santé a présenté, mercredi soir, un moyen mnémotechnique pour savoir à quel moment il faut porter un masque en France.
Actuellement, chaque nouveau cas positif est comptabilisé en fonction de son département d'origine. Une méthoque qui pourrait biaiser les taux d'incidence, notamment en cette période de vacances.
L'emblématique café de Saint-Tropez, Sénéquier, a annoncé ce jeudi sa fermeture temporaire pour deux semaines. Deux cas de Covid-19 ont été détectés chez ses employés.
L'Agence régionale de Santé des Pays-de-la-Loire a classé la Sarthe en "vulnérabilité modérée" pour le coronavirus. Face à la propagation de l'épidémie, Sablé-sur-Sarthe multiplie les tests préventifs.
Deux études irlandaise et danoise évoquent une baisse drastique du nombre d'enfants nés avant terme dans des maternités locales durant le confinement. Mais les médecins restent prudents.
Cette semaine, Jean Castex a appelé à "étendre le plus possible" cette obligation, dont l'utilité ne fait pas consensus.
Ces dernières 24 heures, 2524 nouveaux cas ont été recensés en France, soit une progression quotidienne inédite depuis mai.
Le port du masque à l'origine d'une nouvelle agression. Une infirmière a été frappée dans un bus alors qu'elle demandait à des jeunes de respecter les consignes. Heureusement, des agents de surveillance de la ville sont rapidement intervenus. La semaine dernière déjà, une autre agression s'était produite dans une laverie du Val d'Oise.
Depuis lundi, le port du masque est obligatoire dans certaines rues parisiennes, les rues les plus fréquentées. Les habitants sont encore perdus avec ces nouvelles consignes, sans parler des touristes.
L'obligation du port du masque en extérieur s'étend progressivement dans plusieurs villes de France, afin de lutter contre la propagation du coronavirus. Avant de procéder à ses sanctions, les policiers commencent par un temps de sensibilisation.
Le nombre de patients hospitalisés et en réanimation continue de décroître légèrement depuis mardi, d'après les derniers chiffres dévoilés par Santé publique France.
L'épidémiologiste Martin Blachier, invité de BFMTV ce mercredi, a alerté sur les risques de propagation du Covid-19 en open space, évoquant notamment l'aérosolisation des bureaux. "On a plein de clusters qui se développent dans les open space, [...] les premiers clusters sont les entreprises", a-t-il expliqué.
Le professeur Philippe Juvin, chef des urgences de l’hôpital Georges-Pomidou à Paris et maire Les Républicains de La Garenne-Colombes, était l’invité de BFMTV ce mercredi soir.
Le chef des urgences de l'hôpital Georges-Pompidou Philippe Juvin était ce mercredi l'invité de BFMTV. Il a estimé que "le gouvernement a un peu peur de prendre des décisions contraignantes", en évoquant le port du masque dans les espaces publics.
Le professeur Philippe Juvin, chef des urgences de l’hôpital Georges-Pomidou à Paris et maire Les Républicains de La Garenne-Colombes, était l’invité de BFMTV ce mercredi soir.
Les deux grandes artères commerçantes de Bordeaux sont concernées: la rue Sainte-Catherine et celle de la Porte Dijeaux.
La canicule dure bientôt depuis une semaine et elle a des conséquences sur l'organisme. Le nombre de patients aux urgences a bondi ces derniers jours.
Alors que de plus en plus de villes imposent le port du masque obligatoire en extérieur et que les chiffres des contaminations au coronavirus augmentent, le gouvernement semble aussi serrer la vis.
Alors que de plus en plus de villes imposent des règles strictes en termes de port du masque en extérieur, certaines ont décidé de ne pas encore le rendre obligatoire. C'est le cas de Lyon, Nantes ou encore Strasbourg.
Mardi, le Premier ministre Jean Castex a dévoilé les derniers chiffres de l'épidémie, laissant entendre que nous étions face aux prémices d'une deuxième vague.
En l'espace de seulement quatre jours, 71 personnes y ont été testées positives.
"La situation évolue dans le mauvais sens" ce sont les mots utilisés par le chef du gouvernement hier pour parler de la crise du coronavirus. De son côté, Emmanuel Macron, a rappelé que l'épidémie ne prend pas de vacances. Alors quels sont ces chiffres qui inquiètent tant le gouvernement ?
