Le maire de Franconville s'est emporté ce vendredi soir en réaction à un tweet de Sandrine Rousseau sur les causes des pillages en France ces derniers jours.
Jordan Bardella, président du Rassemblement National, était l’invité de BFMTV au lendemain d'une nuit de violences en France, où les forces de l'ordre ont procédé à 917 interpellations.
Jordan Bardella, président du Rassemblement national s'exprime sur la mort de Nahel, tué après un contrôle routier et un refus d'obtempérer à Nanterre.
Jordan Bardella, président du Rassemblement National, était l’invité de BFMTV au lendemain d'une nuit de violences en France, où les forces de l'ordre ont procédé à 917 interpellations.
Jordan Bardella, président du Rassemblement national s'exprime sur la mort de Nahel, tué après un contrôle routier et un refus d'obtempérer à Nanterre.
500 bâtiments publics ont été incendiés et 1900 feux de véhicules ont été recensés en France, au cours des émeutes de la nuit de jeudi à vendredi. 875 personnes ont été interpellées, dont 408 à Paris et sa banlieue.
Franck Louvrier, maire LR de La Baule, qui était aux côtés de Nicolas Sarkozy au ministère de l’Intérieur lors des émeutes de 2005, était l'invité de BFMTV pour évoquer les violences urbaines de ces derniers jours.
Éric Dupond-Moretti a détaillé la réponse pénale qu'il souhaitait voir appliquée contre les auteurs de violences urbaines. Le ministre de la Justice a notamment demandé une interdiction "de paraître sur les lieux où les saccages ont été commis" pour les majeurs condamnés pour des faits en lien avec des et "l'interdiction de sortir la nuit" pour les mineurs.
Éric Dupond-Moretti, ministre de la Justice réagit aux violences suite à la mort de Nahel, un adolescent de 17 ans à Nanterre. Le garde des Sceaux assure que le gouvernement souhaite que "l'ordre républicain soit rétabli".
Éric Dupond-Moretti a détaillé la réponse pénale qu'il souhaitait voir appliquée contre les auteurs de violences urbaines. Le ministre de la Justice a notamment demandé une interdiction "de paraître sur les lieux où les saccages ont été commis" pour les majeurs condamnés pour des faits en lien avec des et "l'interdiction de sortir la nuit" pour les mineurs.
Éric Dupond-Moretti a détaillé la réponse pénale qu'il souhaitait voir appliquée contre les auteurs de violences urbaines. Le ministre de la Justice a notamment demandé une interdiction "de paraître sur les lieux où les saccages ont été commis" pour les majeurs condamnés pour des faits en lien avec des et "l'interdiction de sortir la nuit" pour les mineurs.
Éric Dupond-Moretti a détaillé la réponse pénale qu'il souhaitait voir appliquée contre les auteurs de violences urbaines. Le ministre de la Justice a notamment demandé une interdiction "de paraître sur les lieux où les saccages ont été commis" pour les majeurs condamnés pour des faits en lien avec des et "l'interdiction de sortir la nuit" pour les mineurs.
Éric Dupond-Moretti a détaillé la réponse pénale qu'il souhaitait voir appliquée contre les auteurs de violences urbaines. Le ministre de la Justice, a notamment demandé une interdiction "de paraître sur les lieux où les saccages ont été commis" pour les majeurs condamnés pour des faits en lien avec des et "l'interdiction de sortir la nuit" pour les mineurs.
Éric Dupond-Moretti a détaillé la réponse pénale qu'il souhaitait voir appliquée contre les auteurs de violences urbaines. Le ministre de la Justice a notamment demandé une interdiction "de paraître sur les lieux où les saccages ont été commis" pour les majeurs condamnés pour des faits en lien avec des et "l'interdiction de sortir la nuit" pour les mineurs.
Éric Dupond-Moretti, ministre de la Justice a réagi suite aux émeutes qui ont suivi la mort de Nahel, à Nanterre. Cet adolescent a été tué par balle après un contrôle routier.
Alors que la France est le théâtre d'émeutes depuis la mort du jeune Nahel, le ministre de la Justice dénonce le rôle des réseaux sociaux. Éric Dupond-Moretti souligne qu'ils permettent "d'échanger les lieux de rendez-vous".
Éric Dupond-Moretti, ministre de la Justice réagit suite aux violences après la mort de Nahel, à Nanterre. Cet adolescent a été tué par balle après un contrôle routier.
Marine Le Pen président du groupe Rassemblement national à l'Assemblée nationale affirme être favorable à la déclaration de l'état d'urgence "si la situation s'aggrave". Plusieurs villes de France ont connu des dégradations cette nuit suite à la mort de Nahel.
Marine Le Pen a dénoncé dans une vidéo un "état de désordre endémique" dans le pays et demandé l'instauration de "couvre-feux sectoriels". La cheffe des députés RN a aussi appelé Emmanuel Macron à recevoir les formations représentées à l'Assemblée nationale.
Emmanuel Macron s'est exprimé lors d'une cellule interministérielle de crise organisée ce vendredi, à Paris. Le président de la République a dénoncé le rôle des réseaux sociaux dans l'organisation des violences urbaines après la mort de Nahel. Il a aussi critiqué l'influence des jeux vidéos sur les comportements violents des jeunes.
Matignon annonce l'"annulation d'évènements de grande ampleur", en lien avec les violences urbaines survenant après la mort de Nahel, 17 ans.
Nicolas Mayer-Rossignol, le maire PS de Rouen, réagit après la troisième nuit d'émeutes dans le pays, suite à la mort de Nahel tué par un policier lors d'un contrôle routier après un refus d'obtempérer.
Emmanuel Macron s'est exprimé après une cellule interministérielle de crise organisée à Paris, ce vendredi. Le président de la République en appelle à la responsabilité des parents après la participation de jeunes aux dégradations.
Depuis le ministère de l'Intérieur, le président de la République a appelé "au sens de la responsabilité des pères et des mères de famille" alors qu'"un tiers des interpellés de la nuit dernière sont des jeunes, voire des très jeunes".
Emmanuel Macron a présidé une nouvelle cellule interministérielle de crise ce vendredi midi à Paris, pour la deuxième fois en deux jours, après une troisième nuit de violences en France. Il a notamment appelé "au sens de la responsabilité des pères et des mères de famille", ajoutant qu'"un tiers des interpellés de la nuit dernière sont des jeunes, voire des très jeunes".
Emmanuel Macron s'exprimait depuis la place Beauvau ce vendredi après la troisième nuit de violences en région parisienne et en province, en réaction à la mort de Nahel tué par un policier après un refus d'obtempérer. Il a notamment annoncé "des moyens supplémentaires" déployés par le ministère de l'Intérieur.
Ce vendredi 30 juin, le président de la République, Emmanuel Macron, prend la parole à la suite de la troisième nuit de violences après la mort de Nahel mardi 27 juin. Au total, 875 personnes en France ont été interpellées, la plupart étant mineures. Emmanuel Macron appelle donc "à la responsabilité de tous les parents".
Emmanuel Macron s'exprime lors de la cellule interministérielle de crise, organisée à Paris ce vendredi, suite à une nouvelle nuit de violences après la mort de Nahel.
Dégradations de bâtiments publics, pillages et échauffourées ont eu lieu dans la nuit de jeudi à vendredi dans des dizaines de villes du pays, alors que l'émotion reste vive après la mort de Nahel mardi à Nanterre, tué par un policier lors d'un contrôle.
875 interpellations ont eu lieu en France la nuit dernière après une nouvelle soirée de violences suite à la mort de Nahel. Patrick Jarry, maire de Nanterre est présent à la cellule de crise interministérielle, organisée ce vendredi, à Paris.
875 interpellations ont eu lieu en France la nuit dernière après une nouvelle soirée de violences suite à la mort de Nahel. Patrick Jarry, maire de Nanterre est présent à la cellule de crise interministérielle, ce vendredi pour exprimer "la tristesse et la désolation des habitants".
Après une troisième nuit de violences urbaines, en réaction à la mort du jeune Nahel, une nouvelle réunion de crise débute à 13 heures au ministère de l'Intérieur, présidée par Emmanuel Macron.
Les violences se multiplient à la suite du décès de Nahel, 17 ans, tué par un policier lors d'un contrôle routier. Pour faire face à cette situation, une partie de la classe politique réclame l'état d'urgence. Utilisée 6 fois depuis son existence, cette mesure exceptionnelle est déclenchée en cas de péril imminent pour le pays.
Emmanuel Macron va présider une nouvelle cellule interministérielle de crise à 13h à Paris, pour la deuxième fois en deux jours, après une troisième nuit de violences en France.
Un site où étaient garés des bus à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, a été visé par des cocktails Molotov dans la nuit entraînant la destruction de 12 d'entre eux.
Ces mots ont été inscrits sur un bâtiment de L'Haÿ-les-Roses, commune du Val-de-Marne où le patron de LR était présent ce jeudi.
Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports, s'exprime depuis le centre de bus incendié à Aubervilliers dans la nuit de ce jeudi à vendredi. La région parisienne, ainsi que la province, a une nouvelle fois été le théâtre d'émeutes urbaines d'une grande violence après la mort de Nahel, tué par un policier lors d'un refus d'obtempérer.
Clément Beaune, Ministre délégué chargé des Transports, s'exprime depuis un centre de bus RATP à Aubervilliers qui a été incendié dans la nuit de ce jeudi à vendredi.
Après une troisième nuit d'émeutes un peu partout en France, Emmanuel Macron réunit une nouvelle cellule de crise ce vendredi. Les incidents ont touché un grand nombre de villes de France la nuit dernière.
Après une nuit marquée par de nombreuses violences, le président de la République va présider une nouvelle cellule de crise en début d'après-midi.
Face aux émeutes qui ont lieu un peu partout en France suite à la mort de Nahel, un adolescent de 17 ans à Nanterre lors d'un contrôle policier, une partie de la classe politique demande la mise en place de l'état d'urgence. Le décryptage de l'éditorialiste politique, Matthieu Croissandeau.
Rachida Dati, maire LR du VIIe arrondissement et ancienne Garde des Sceaux, était l'invitée de BFMTV pour évoquer la mort de Nahel, tué par le tir d'un policier à Nanterre, ainsi que les tensions qui ont gagné plusieurs villes de France depuis mardi en réaction.
Une marche blanche était organisé ce jeudi à Nanterre en hommage à Nahel, tué mardi après un contrôle routier. Rachida Dati, maire Les Républicains du VIIe arrondissement parisien réagit aux violences qui ont éclaté en marge du cortège.
Les membres de la classe politique de gauche comme de droite réagissent à la mort de l'adolescent de 17 ans, appelant soit à une réaction de l'exécutif, alors que les violences se poursuivent.
Manuel Valls, ancien Premier ministre et ministre de l'Intérieur, est l'invité de BFM Story ce jeudi.
Après avoir espéré tourner l'une des pires pages du quinquennat avec la réforme des retraites, l'exécutif est désormais confronté à la colère suscitée par la mort d'un adolescent tué par un tir de policier après un refus d'obtempérer. "Tout peut déraper très vite et on n'a que peu de leviers d'actions", avance un familier des allées du pouvoir.
Mathilde Panot a annoncé le dépôt, par les députés LFI, d'une proposition de loi visant à abroger la version d'un article du Code de la sécurité intérieure, créée par une loi de 2017. Cet article porte sur les conditions d'ouverture du feu des policiers en cas de refus d'obtempérer notamment.
Plusieurs élus de la Nupes sont à Nanterre pour assister à la marche blanche en hommage à Nahel, tué après un contrôle routier.
Le garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, est en déplacement à la prison de Fresnes, en région parisienne. Dans la nuit de mercredi à jeudi 29 juin, la prison a été attaquée dans un contexte de tensions à la suite de la mort de Nahel, le mardi 27 juin. Le ministre de la Justice tient à "rendre hommage aux membres du personnel pénitentiaire" de la prison de Fresnes.
Tout en réitérant un appel au calme, la Première ministre a assuré que l'"on n'est pas dans les circonstances" d'un déclenchement de l'état d'urgence en France, malgré les violences de ces dernières heures.
