La loi visant à encadrer l'influence commerciale et à lutter contre les dérives des influenceurs sur les réseaux sociaux a été votée à l'unanimité par l'Assemblée nationale. Le texte passera devant le Sénat ce jeudi, en vue d'être adopté.
Le texte, qui encadre "l'influence commerciale", doit encore être voté jeudi au Sénat pour être définitivement adopté.
La cheffe du gouvernement sera en déplacement ce jeudi 1er juin à Angers pour évoquer le thème de la petite enfance dans le cadre du Conseil national de la refondation.
La Première ministre estime que "certains ont dû mal comprendre" les propos du président de la République.
Alors que l'article 1 de la proposition de loi d'abrogation de la retraite à 64 ans a été supprimé en commission à l'Assemblée, le député Liot a annoncé déposé un amendement, dans l'espoir qu'il soit débattu dans l'hémicycle.
Le président va recevoir Sergio Mattarella au nom de leur "relation de confiance et d'amitié" après une nouvelle crise entre les deux pays sur la question de l'immigration.
L'article-clé de la proposition de loi LIOT, visant à abroger la retraite à 64 ans, a été supprimé suite à un vote à la commission des Affaires sociales (38 voix pour, 34 contre). Le reste de la proposition de loi a été adopté. En réponse, les députés NUPES ont quitté la commission, estimant que la suppression de l'article 1 vidait le texte de sa substance, et accusant la majorité de "magouilles", après que la présidente de la commission, Fadila Khattabi (Renaissance) ait écarté des milliers d'amendements et sous-amendements, considérant une "obstruction flagrante".
Le président de la République a rappelé que beaucoup d'électeurs d'extrême droite "ne votent pas pour cette histoire" mais votent parce qu'ils se disent "au fond 'on n'a pas encore essayé cela et ce qu'ils nous proposent parait séduisant'". Cette déclaration intervient après un "recadrage" des déclarations de sa Première ministre sur le Rassemblement national (RN). Elisabeth Borne avait déclaré que le RN est un parti « héritier de Pétain », porteur d’une « idéologie dangereuse » et dont il ne fallait pas « banaliser » les idées.
La commission des Affaires sociales s'est réunie ce mercredi pour débattre sur le projet de loi porté par le groupe Liot. Les députés ont voté contre l'abrogation du report à 64 ans du départ légal à la retraite. Fadila Khattabi, présidente de la commission assure avoir "veillé à la bonne tenue des débats", face aux critiques de la Nupes et la suppression de leurs sous-amendements.
L'article-clé de la proposition de loi LIOT, visant à abroger la retraite à 64 ans, a été supprimé suite à un vote à la commission des Affaires sociales (38 voix pour, 34 contre). Le reste de la proposition de loi a été adopté. En réponse, les députés NUPES ont quitté la commission, estimant que la suppression de l'article 1 vidait le texte de sa substance, et accusant la majorité de "magouilles", après que la présidente de la commission, Fadila Khattabi (Renaissance) ait écarté des milliers d'amendements et sous-amendements, considérant une "obstruction flagrante".
L'article-clé de la proposition de loi LIOT, visant à abroger la retraite à 64 ans, a été supprimé suite à un vote à la commission des Affaires sociales (38 voix pour, 34 contre). Le reste de la proposition de loi a été adopté. En réponse, les députés NUPES ont quitté la commission, estimant que la suppression de l'article 1 vidait le texte de sa substance, et accusant la majorité de "magouilles", après que la présidente de la commission, Fadila Khattabi (Renaissance) ait écarté des milliers d'amendements et sous-amendements, considérant une "obstruction flagrante".
L'article-clé de la proposition de loi LIOT, visant à abroger la retraite à 64 ans, a été supprimé suite à un vote à la commission des Affaires sociales (38 voix pour, 34 contre). Le reste de la proposition de loi a été adopté. En réponse, les députés NUPES ont quitté la commission, estimant que la suppression de l'article 1 vidait le texte de sa substance, et accusant la majorité de "magouilles", après que la présidente de la commission, Fadila Khattabi (Renaissance) ait écarté des milliers d'amendements et sous-amendements, considérant une "obstruction flagrante".
Le député des Républicains a jugé, après la très contestée réforme des retraites et l'"humiliation" de l'épisode sur le RN et Pétain, que la Première ministre devait partir au nom de la "dignité politique".
L'article-clé de la proposition de loi LIOT, visant à abroger la retraite à 64 ans, a été supprimé suite à un vote à la commission des Affaires sociales (38 voix pour, 34 contre). Le reste de la proposition de loi a été adopté. En réponse, les députés NUPES ont quitté la commission, estimant que la suppression de l'article 1 vidait le texte de sa substance, et accusant la majorité de "magouilles", après que la présidente de la commission, Fadila Khattabi (Renaissance) ait écarté des milliers d'amendements et sous-amendements, considérant une "obstruction flagrante".
L'article-clé de la proposition de loi LIOT, visant à abroger la retraite à 64 ans, a été supprimé suite à un vote à la commission des Affaires sociales (38 voix pour, 34 contre). Le reste de la proposition de loi a été adopté. En réponse, les députés NUPES ont quitté la commission, estimant que la suppression de l'article 1 vidait le texte de sa substance.
L'article-clé de la proposition de loi LIOT, visant à abroger la retraite à 64 ans, a été supprimé suite à un vote en commission (38 voix pour, 34 contre). En réponse, les députés NUPES ont quitté la commission des Affaires sociales, estimant que la suppression de l'article 1 vidait le texte de sa substance. Plus de trois mille amendements ont été déposés sur l'article 2, qui propose la réunion d'une "conférence de financement" des retraites, par la gauche et LFI en pointe, afin d'empêcher les débats d'aller à leur terme.
"Il nous faut aujourd'hui aider l'Ukraine par tous les moyens", a poursuivi le chef de l'État qui avait jugé en 2019 que l'Otan était en état de "mort cérébrale".
Les députés de gauche ont quitté les débats en commission lors de l'examen de la proposition de loi sur l'abrogation de la réforme des retraites. "Vous avez franchi la ligne rouge", a lancé Sandrine Rousseau, en désaccord sur le retrait des amendements de la Nupes avec la majorité présidentielle.
Les parlementaires de la Commission des affaires sociales ont adopté dans une ambiance houleuse la proposition de loi du groupe Liot pour abroger la réforme des retraites, sans l'article qui veut mettre fin aux 64 ans. De quoi permettre à la macronie de reprendre la main d'ici le 8 juin pour déclarer ce texte irrecevable et arrêter net les débats.
Le chef d'Etat se rendra aux côtés de la sécurité civile du département pour "préparer l'été 2023". A cette occasion, le premier bulletin de la "météo des forêts" sera dévoilé.
Les députés de la Nupes ont quitté la salle de la commission des Affaires sociales, où était débattue la proposition de loi Liot. "Notre rôle de parlementaire ne sert plus à grand-chose, nous le constatons et donc, nous partons", a notamment déclaré Sandrine Rousseau, députée EELV.
Les députés Nupes ont quitté la commission des Affaires sociales alors que d'autres articles de la proposition de loi du groupe Liot doivent encore être examinés. Les députés de la Nupes estiment qu'après le rejet de l'article 1 abrogeant les 64 ans et la suppression de leurs sous-amendements, le texte a été vidé de sa substance
Guillaume Gontard, président du groupe écologiste au Sénat a interrogé la Première ministre au sujet de la proposition de loi Liot présentée à la Commission des Affaires Sociales. L'élu a comparé Élisabeth Borne à "une fossoyeuse de la démocratie française".
La Première ministre répond à la question de Guillaume Gontard, président du groupe écologiste au Sénat sur la proposition de loi Liot présentée à la Commission des Affaires Sociales.
La Première ministre répond à la question de Guillaume Gontard, président du groupe écologiste au Sénat sur la proposition de loi Liot présentée à la Commission des Affaires Sociales et qui prévoit l'abrogation de la réforme des retraites.
La macronie et la gauche ont ferraillé ce mercredi matin en commission des Affaires sociales. Renaissance s'est félicité d'avoir rejeté l'article 1 de la proposition de loi pour abroger la réforme des retraites. La Nupes a de son côté déposé des centaines de sous-amendements avec l'espoir que la version initiale de ce texte puisse être débattue.
Comme tous les mercredis, le gouvernement répond aux questions des sénateurs.
Alors que l'abrogation de la réforme des retraites a été rejetée ce mardi 31 mai par la Commission des Affaires sociales, les élus liés à La France Insoumise ont manifesté leur mécontentement à la suite de cette décision. Pour le député PS Jérôme Guedj, "ce gouvernement ne veut pas qu’on débatte de la réforme des retraites".
Les députés de la commission des Affaires sociales ont rejeté l'article 1 de la proposition de loi Liot sur l'abrogation de la réforme des retraites. Cet article voulait revenir sur le recul de l'âge de départ.
La Commission des Affaires sociales a rejeté ce mercredi 31 mai au matin le premier amendement qui consistait à abroger l'âge de départ à la retraite. Les députés de La France Insoumise sont sortis dans la rue pour manifester leur mécontentement et leur colère. Pour le député Louis Boyard, "les Macronistes n'ont pas d'amour propre, ni de respect pour la démocratie".
Yannick Morez avait exprimé la volonté de démissionner de ses fonctions après avoir fait l'objet de menaces et de violences de la part de l'extrême droite.
Emmanuel Macron assure ce mercredi qu'Élisabeth Borne a "toute sa confiance". La veille, le président de la République a déjugé la cheffe du gouvernement en Conseil des ministres, deux jours après qu'elle a qualifié le Rassemblement national d'"héritier de Pétain".
Le chef de l'État a déjugé la stratégie de la Première ministre, après ses propos sur le RN, qualifié d'"héritier de Pétain". Cette sortie est "assez malvenue de la part du président de la République, qui a quand même été élu et réélu en appelant les Français à faire barrage à l'extrême droite", a estimé le patron des députés LR.
Les députés ont voté contre l'abrogation de la retraite à 64 ans en commission des Affaires Sociales. La présidente de la commission Fadila Khattabi a décidé de supprimer les plus de 1000 amendements déposés par la Nupes pour accélérer les débats. Une décision dont s'insurge Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l'Assemblée.
Les députés ont voté contre l'abrogation de la retraite à 64 ans en commission des Affaires sociales. La présidente de la commission Fadila Khattabi dénonce une "volonté flagrante d'obstruction" de la part de la Nupes avec le dépôt "de plus de 1000 sous-amendements".
Le président de la République a déjugé la stratégie de la Première ministre en Conseil des ministres ce mardi, après ses propos sur le RN "héritier de Pétain"
Les députés de la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale se réunissent ce mercredi pour examiner la proposition de loi Liot abrogeant le recul de l’âge effectif de départ à la retraite.
Les députés de la commission des Affaires sociales ont rejeté l'article 1 de la proposition de loi Liot sur l'abrogation de la réforme des retraites. Cet article voulait revenir sur le recul de l'âge de départ. Il devrait être réintroduit en séance le 8 juin prochain par les députés Liot.
La commission des Affaires sociales se réunit ce mercredi pour statuer sur la proposition de loi du groupe Liot qui souhaite revenir sur le recul de l'âge de départ à la retraite à 64 ans. Aurore Bergé, présidente du groupe Renaissance à l'Assemblée, assure que la majorité présidentielle est "cohérente, responsable" et "dit la vérité aux Français".
Le président de la République a déclenché l'indignation de la gauche, après avoir déjugé la stratégie d'Élisabeth Borne qui avait qualifié le Rassemblement national d'"héritier de Pétain" ce dimanche.
La commission des Affaires sociales se réunit ce mercredi pour statuer sur la proposition de loi du groupe Liot qui souhaite revenir sur le recul de l'âge de départ à la retraite à 64 ans. Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l'Assemblée, a dénoncé au cours du débat "une dérive mafieuse" de la macronie.
La commission des Affaires sociales se réunit ce mercredi pour statuer sur la proposition de loi du groupe Liot qui souhaite revenir sur le recul de l'âge de départ à la retraite à 64 ans. François Ruffin, député LFI a déploré le mal que fait cette réforme "au pays et à la démocratie".
La commission des Affaires sociales se réunit ce mercredi pour statuer sur la proposition de loi du groupe Liot qui souhaite revenir sur le recul de l'âge de départ à la retraite à 64 ans. La présidente de la commission Fadila Khattabi déplore le "boxon" des oppositions quand "quelqu'un de la majorité présidentielle s'exprime".
La commission des Affaires sociales se réunit ce mercredi pour statuer sur la proposition de loi du groupe Liot qui souhaite revenir sur le recul de l'âge de départ à la retraite à 64 ans. Face à l'affluence dans la salle où se réunit la commission, des députés Nupes, Pierre Dharréville et Arthur Delaporte, ont demandé de changer de lieu pour remplir toutes les conditions de sécurité.
Après avoir jugé cette proposition de loi recevable en tant que président de la commission des finances mardi, l'insoumis tacle le camp présidentiel, qui a, selon lui, un "problème avec la démocratie parlementaire".
Le groupe parlementaire Liot a déposé une proposition de loi pour abroger la réforme des retraites. La commission des Affaires sociales étudie ce mercredi 31 mai à partir de 9h30 cette proposition. Sur les 72 députés qui composent cette commission, 32 députés sont formellement contre, ceux de la majorité. Et 32 députés de gauche sont pour cette proposition de loi. Ce seront donc les députés Les Républicains qui vont trancher.
Une proposition de loi proposée par les députés Liot à pour objectif d'abroger le recul de l'âge effectif de départ à la retraite. Le texte sera soumis aux votes des députés ce mercredi. Bertrand Pancher, président du groupe Liot à l'Assemblée demande le soutien des députés Les Républicains et les appellent à "ne pas rentrer dans le jeu de l'obstruction".
La Première ministre s'est fait recadrer par Emmanuel Macron après avoir qualifié ce dimanche le Rassemblement national "d'héritier de Pétain". Jordan Bardella, le président du parti, demande ce mercredi matin à Élisabeth Borne de "s'excuser".
Les députés de la commission des Affaires sociales se réunissent ce mercredi pour statuer sur la proposition de loi qui veut revenir sur la réforme des retraites.
Éric Coquerel, président de la Commission des Finances à l’Assemblée et député La France Insoumise à l’Assemblée nationale, était l’invité ce mercredi du Face à Face sur BFMTV et RMC.
