Emmanuel Macron a qualifié mercredi de "crime contre l'Humanité" la vente de migrants africains comme esclaves en Libye, révélée par la chaîne américaine CNN. Ce trafic "nourrit les délinquances les plus graves" et "les réseaux terroristes". Il "génère 30 milliards d'euros par an, touche malheureusement 2,5 millions de personnes - et 80% des victimes sont des femmes et des enfants", a-t-il dénoncé. Le chef de l'Etat a confirmé l'annonce faite par le chef de la diplomatie Jean-Yves Le Drian un peu plus tôt, que la France prenait "l'initiative au Conseil de sécurité" de l'ONU en demandant une réunion sur ce sujet.
Le chef de l'État a qualifié les actes commis en Libye de "crimes contre l'Humanité", ajoutant que ce trafic touche 2,5 millions de personnes.
Le porte-parole de l'Élysée estime "normal que le FN puisse disposer d'une solution bancaire, comme tous les Français".
Le gouvernement va être, "dans les heures ou les jours qui viennent", "réaménagé" et non "remanié" avec l'entrée possible d'"un ou deux" nouveaux membres, a déclaré mercredi son porte-parole Christophe Castaner, en appelant les médias à "ne pas s'emballer" sur le sujet. Il n'en reste pas moins que son sort a fait l'objet d'une question au gouvernement à l'Assemblée. "Il y aurait un conflit d'intérêts", a estimé Christian Jacob (LR), si celui-ci cumulait à la fois la fonction de chef du parti de laRem et Secrétaire d'Etat en charge des relations au parlement au sein du gouvernement. Le Premier ministre lui a répondu : "La seule considération qui m'appartient est de me demander si la personne accomplira sa mission conformément à ce que je crois être le rôle d'un gouvernement".
Le gouvernement va être, "dans les heures ou les jours qui viennent", "réaménagé" et non "remanié" avec l'entrée possible d'"un ou deux" nouveaux membres, a déclaré mercredi son porte-parole Christophe Castaner, en appelant les médias à "ne pas s'emballer" sur le sujet. Il n'en reste pas moins que son sort a fait l'objet d'une question au gouvernement à l'Assemblée. "Il y aurait un conflit d'intérêts", a estimé Christian Jacob (LR), si celui-ci cumulait à la fois la fonction de chef du parti de laRem et Secrétaire d'Etat en charge des relations au parlement au sein du gouvernement. Le Premier ministre lui a répondu : "La seule considération qui m'appartient est de me demander si la personne accomplira sa mission conformément à ce que je crois être le rôle d'un gouvernement".
Christophe Castaner, à l'occasion de son dernier point presse en tant que porte-parole du gouvernement, a assuré que "quelques contrôles sont faits sur la possible entrée d'un ou deux secrétaires d'Etat ou ministres complémentaires", ajoutant que le gouvernement "réaménagé" pourrait être connu "dans les heures ou les jours qui viennent".
Devenu officiellement délégué général de la République en Marche le week-end dernier, Christophe Castaner présente ce mercredi son dernier compte-rendu du Conseil des ministres. À son arrivée un peu tardive, il a ironisé face aux journalistes. Accompagné de Frédérique Vidal, la ministre de l'Enseignement supérieur, le porte-parole a tout de suite mis fin à l'hypothèse qu'elle lui succède. "Elle ne vient pas avec cette casquette mais elle présentera le fruit d'un important travail qu'elle a mené", a indiqué Christophe Castaner.
L'ancien ministre succède à Philippe Richert (Les Républicains), ex-président de la région Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne, à la tête de Régions de France, l'institution de représentation des régions françaises auprès des pouvoirs publics français et des institutions européennes.
La ministre de la Santé a agacé plusieurs internautes avec une petite phrase choc sur les soins remboursés.
En août 2014, au moment de remanier le gouvernement, l'ancien président de la République avait oublié de vérifier que Thomas Thévenoud avait régularisé sa situation avec le fisc. Neuf jours plus tard, le secrétaire d'Etat au Commerce extérieur démissionnait.
La présidente du Front national dénonce mercredi dans un tweet une "persécution bancaire" qui "devient personnelle". Lors d'une conférence de presse au siège du parti, elle a fait part de sa surprise lorsqu'un représentant de la banque lui a parlé du "manque d'information sur l'origine des fonds qui arrivaient" sur son compte personnel. Marine Le Pen a également annoncé le dépôt de plaintes pour "discrimination" contre la Société générale, qui a demandé au Front national de clôturer ses comptes, et contre HSBC dont la présidente du parti d'extrême droite se dit "chassée".
La présidente du Front national Marine Le Pen dénonce mercredi dans un tweet une "persécution bancaire" qui "devient personnelle", affirmant avoir été "chassée" de sa banque, HSBC. Lors d'une conférence de presse au siège du parti, elle dénonce le fait que "les oligarchies financières sont tentées de porter atteinte à la liberté de parole". Pour Marine Le Pen, il y a une volonté de "susciter les conditions de la ruine, de la disparition" du FN.
Marine Le Pen a annoncé mercredi le dépôt de plaintes pour "discrimination" contre la Société générale, qui a demandé au Front national de clôturer ses comptes, et contre HSBC dont la présidente du parti d'extrême droite se dit "chassée".
Lors d'une conférence de presse au siège du parti, Marine Le Pen a annoncé mercredi le dépôt de plaintes pour "discrimination" contre la Société générale, qui a demandé au Front national de clôturer ses comptes, et contre HSBC dont la présidente du parti d'extrême droite se dit "chassée". Pour elle, "les oligarchies financières sont tentées de porter atteinte à la liberté de parole".
Selon l'ex-organisatrice à l’Elysée des voyages présidentiels Evelyne Richard, les membres de l'équipe du président de la République seraient démesurément "arrogants".
VIDEO. Mardi, en marge de l'inauguration de la campagne hivernale des Restos du Coeur, le président de la République a été interpellé par une Marocaine lui demandant l'asile en France.
Maël de Calan, l'un des trois candidats à la présidence de Les Républicains, conseiller départemental du Finistère et ancien porte-parole d'Alain Juppé, était ce mercredi matin l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC.
Maël de Calan, candidat à la présidence du parti Les Républicains, était l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC ce mercredi. Il s'est inquiété du discours identitaire de Laurent Wauquiez. "Je n'ai aucun doute sur sa volonté de faire alliance avec le FN", a-t-il tempéré.
Le candidat à la présidence des Républicains Maël de Calan, invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, a déclaré "être candidat pour porter un nouveau radical", alors que "dans l'opinion publique; l'image du parti Les Républicains est profondément dégradée". Il veut faire en sorte que "ce logo ne soit pas un boulet qui tire vers le bas".
Emmanuel Macron a inauguré ce mardi la 33e campagne hivernale de distribution des Restos du Cœur en rendant visite aux bénévoles d'un centre du Xe arrondissement de Paris. À la sortie des lieux, le chef de l'État s'est fait interpeller par une Marocaine, qui demande l'asile en France. "Je ne peux pas vous mentir: en France, on va protéger tous les gens, qui relèvent de l'asile et qui ne sont pas en sécurité chez eux (…) Mais on ne peut pas accueillir tous les gens qui viennent avec des visas de commerce ou d'étudiants et qui restent après. Donc après, il faut retourner dans son pays, je vous le dis franchement", lui a-t-il rétorqué. Le président de la République a ensuite tranché: "Je ne peux pas donner des papiers à tous les gens qui n'en ont pas, sinon comment je fais avec les gens qui sont déjà là."
L'annonce du remaniement gouvernemental, initialement prévue mardi, est reportée à ce mercredi "au plus tôt", et pourrait en réalité intervenir plus tard "dans la semaine". Officiellement, ce sont les vérifications des patrimoines des nouveaux entrants - par la Haute autorité pour la transparence de la vie publique - qui sont à l’origine de ce retard. Mais officieusement des réflexions politiques seraient en cours, notamment sur l’équilibre des forces au sein du gouvernement.
A l'occasion de la journée internationale des droits de l'enfant, le couple présidentiel a reçu a l'Élysée une quinzaine de jeunes ambassadeurs de l'Unicef. La journée a commencé par une visite du palais, l'occasion pour Brigitte Macron de remettre ses habits de professeur. Emmanuel Macron a, quant à lui, tenu un Conseil des ministres assez spécial. - Les détails avec Salhia Brakhlia. - L'œil de Salhia, du lundi au jeudi, dans Grand Angle, sur BFMTV.
C'est la première fois que le député de l'Essonne évoque le "problème de l'islam" en France.
La figure de l'aile gauche du PS a été exclu du parti après son tweet antisémite.
Pour le leader de la France insoumise, l'ancien président de la République est une "anguille".
Selon les informations de BFMTV, Christophe Castaner quitte le rôle porte-parole du gouvernement mais reste au gouvernement, a priori à son poste de secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement. Benjamin Griveaux devrait lui succéder au poste de porte-parole et ne devrait occuper que ces fonctions. Il connait ce rôle puisqu'il l'avait déjà occupé au mouvement En Marche! pendant la campagne.
Le ministre de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire a reçu BFMTV ce mardi à Bercy. Alors qu'un remaniement ministériel attendu, Ruth Elkrief lui a demandé s'il restait ministre. "C'est le président de la République qui décidera avec le Premier ministre. En tout cas, je le souhaite puisque je suis très heureux à Bercy. J'essaie de faire le meilleur travail possible pour les Français", a-t-il répondu.
Gilbert Collard estime que la Société générale, qui a exclu le Front national, est "aux ordres" du pouvoir politique.
INFO BFMTV - Benjamin Griveaux remplace Christophe Castaner au porte-parolat du gouvernement. Celui-ci conserve son secrétariat d'Etat en charge des Relations avec le Parlement. L'annonce officielle du remaniement a été repoussée.
Bruno le Maire répondait aux questions de notre journaliste Ruth Elkrief ce mardi soir. A quelques instants de l'annonce d'un remaniement gouvernemental, il a exprimé son envie de rester dans ses fonctions de ministre de l'Economie et des Finances.
Le ministre de l'Éducation nationale s'oppose à l'organisation d'ateliers "en non-mixité raciale" par un syndicat enseignant de Seine-Saint-Denis. Il a décidé de porter plainte.
Invité d'Olivier Truchot sur BFMTV, Gilbert Collard a réagi ce mardi à la décision de la Société générale de fermer les comptes bancaires du Front national. "Nous avons à faire à un arbitraire bancaire qui est politique", a avancé le député du Gard. Invité à préciser sa pensée, il a ajouté "aux ordres de l'autorité politique dans sa définition la plus basse".
"C’est le quatrième que je vois ici, donc il y a un certain effet de surprise qui s’est amorti, du coup il y a peut-être d’avantage le plaisir de la conversation", a déclaré Jean-Luc Mélenchon, le leader de la France insoumise, ce mardi 21 novembre après une entrevue à l’Élysée avec le président de la République Emmanuel Macron. "Il a des défauts, mais a au moins la qualité de ne pas fuir les débats. C’était pas les numéros qu’on a connu ici dans un passé proche où on avait l’impression de discuter avec une anguille", a poursuivi Jean-Luc Mélenchon.
La Société générale a demandé au Front national de clôturer les comptes ouverts dans son établissement, ont indiqué à BFMTV plusieurs responsables du parti ce mardi. En juillet dernier, le siège frontiste a reçu une lettre les informant que la banque clôturera ses comptes 60 jours plus tard. Une banque peut fermer les comptes de son client à condition de respecter les clauses prévues par la convention de compte. Le non-remboursement des dettes et des "raisons morales" sont des motifs de résiliation. Pour les principaux intéressés, la Société général n'a pas de raisons valables."C’est une décision qui est très clairement politique, c’est une décision qui a pour but de compliquer la vie démocratique du Front national", a déclaré Gilbert Collard, député FN du Gard. Le Front national va voir sa dotation baisser de 500.000 euros cette année après plusieurs échecs électoraux. Dans l’affaire des assistants parlementaires, le Parlement européen a estimé son préjudice à 5 millions d’euros, une somme que le FN pourrait devoir rembourser à terme.
Environ 15.000 maires et une quinzaine de ministres sont attendus au congrès des maires de France, Porte de Versailles à Paris. En attendant le discours d'Emmanuel Macron jeudi, Edouard Philippe, a tenté ce mardi de renouer le dialogue avec les élus locaux en montrant qu'il pouvait comprendre leur inquiétude. Mais pour lui les faits sont là : l'Etat ne baissera pas leurs dotations.
Le syndicat Sud-Education en Seine-Saint-Denis organise mi-décembre des ateliers de formation destinés aux enseignants, dont deux se feront "en non-mixité", une précision qui déclenche une polémique sur les réseaux sociaux depuis le début de semaine et qui a fait réagir le ministre de l'Education. Les partisans des réunions en non-mixité font valoir que la parole des concernés s'exprime moins librement sous le regard de personnes qui n'appartiennent pas à leurs groupes. A l'Assemblée, Jean-Michel Blanquer a parlé ce mardi de "tristesse" et annoncé qu'il va porter plainte pour diffamation en réponse aux propos tenus de "racisme d'Etat".
Le Premier ministre estime que Christophe Castaner est capable de cumuler ses fonctions gouvernementales avec la direction de La République en marche.
La ministre de la Santé explique ce mardi n'avoir jamais évoqué la question d'une interdiction de la cigarette dans les films et les séries. La semaine dernière, Agnès Buzyn avait pourtant estimé qu'il fallait "une action ferme" sur cette question.
D’après un sondage OpinionWay pour Atlantico, la maire de Paris souffre d’un recul de popularité avec une majorité de Parisiens mécontents de l’action d’Anne Hidalgo. L'édile garde malgré tout le soutien de son électorat.
La cote de popularité des politiques remonte auprès des jeunes, dont un quart estime que les élus sont "capables de défendre les intérêts de la jeunesse".
Emmanuel Macron a inauguré ce mardi la 33e campagne hivernale de distribution des Restos du Coeur en rendant visite aux bénévoles d'un centre du Xe arrondissement de Paris. A la sortie des lieux, le président de la République s'est exprimé devant la presse à l'occasion d'un bain de foule. "La France est un pays qui est généreux et fait respecter le droit d'asile et l'accueil de ceux qui sont fragiles. On prend notre part, mais on ne peut pas prendre toute la misère du monde comme disait Michel Rocard", a déclaré le chef de l'Etat.
Lors de son meeting à Paris lundi soir, le candidat favori pour la présidence LR a ironisé sur l'élection sans surprise de Christophe Castaner à la tête de LREM.
Baisse des APL, diminution des emplois aidés, exonération de la taxe d'habitation... Les sujets de friction ne manquent pas entre collectivités et gouvernement.
François Baroin, président de l'Association des maires de France et maire de Troyes, était ce mardi matin l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC.
Invité ce mardi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, François Baroin est revenu les mauvais résultats de la droite aux précédentes élections, notamment présidentielles. "Il est sûr que l'UMP de Chirac est morte", a-t-il affirmé, assumant "sa part de responsabilité".
François Baroin, invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC ce mardi, a déclaré avoir "du respect pour le président de la République". "Il veut sincèrement transformer le pays, mais il n'y arrivera pas sans les communes", a-t-il ajouté, poursuivant que "ce n'est pas bon pour les transformations et les réformes".
Pour François Baroin, le chef de l'État "n'est pas le seul responsable du ras-le-bol des maires". "Il est aussi le fruit de la crise financière mondiale", a estimé le président de l'association des maires de France ce mardi sur BFMTV et RMC. "Ça fait 7 ans que ça dure", a-t-il déploré.
