L'ancienne ministre de François Hollande fera partie des polémistes de l'émission "On refait le monde".
Gaspard Gantzer rejoindra à la rentrée les polémistes de l'émission "On refait le monde" sur RTL.
Alain Juppé critique l'excès de communication d'Emmanuel Macron et dénonce un "flou artistique" sur le budget.
Le ministre de l'Éducation nationale a fait de l'apprentissage de la lecture à l'école l'un de ses axes de travail pour la rentrée.
Le baromètre des éditorialistes - À Bucarest jeudi, Emmanuel Macron a assuré que les Français "détestaient les réformes". Une sortie qui a fait des remous dans le camp de l'ancienne majorité, mais peu surprenante pour les éditorialistes de BFMTV.
Le Parti socialiste pourrait devenir "les Socialistes". Une manière de reconnaître les différents courants du PS.
Invité ce vendredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Philippe Martinez a réagi aux propos du chef de l’État tenus ce jeudi à Bucarest, estimant que "les Français détestent les réformes". "Ce n’est pas la première fois que Monsieur Macron pense que les Français sont des imbéciles", a-t-il commenté. "Les Français refusent les mauvaises réformes", a estimé le secrétaire général de la CGT.
Alors que la rentrée s'annonce tendue, le président réfléchit à de nouvelles façons de s'adresser aux Français.
A Bucarest, ce jeudi, Emmanuel Macron a assuré que les Français "détestaient les réformes". Les éditorialistes de BFMTV ont donné leur point de vue sur cette sortie du chef de l'Etat.
Emmanuel Macron a parlé plusieurs fois des problématiques françaises lors de déplacements en Europe centrale, rompant ici son engagement de ne pas commenter la politique nationale depuis l'étranger. Ces entorses lui permettent de revenir sur le terrain de la politique française.
Alors que des personnalités socialistes ont critiqué le montant des dépenses impliquées par la campagne présidentielle de Benoît Hamon, Benoît Hamon leur a séchement répondu depuis Dunkerque où il assiste aux journées d'été d'Europe-Ecologie-Les Verts.
Actuellement en déplacement en Europe de l'Est, le président français a défendu ses réformes, dans un discours aux accents de campagne.
En déplacement ce jeudi en Roumanie pour discuter de la coopération européenne et en particulier du statut des travailleurs détachés, Emmanuel Macron a rendu visite en fin d’après-midi aux expatriés français. Il a alors évoqué les réformes qui seront menées à la rentrée par le gouvernement. Et d’estimer : "Les Français détestent les réformes. C’est un peuple qui déteste cela. Il faut lui proposer de se transformer en profondeur mais pour mener un projet plus grand que soi. Se réformer pour ressembler aux autres, pour répondre à un chiffre, à une contrainte… notre pays n’est pas fait ainsi."
Échaudé par l'échec du PS à la présidentielle, Olivier Faure veut recomposer le corps électoral de la primaire socialiste afin d'éviter les divisions internes.
Il est venu ce jeudi pour expliquer les initiatives du gouvernement prévues à la rentrée. Mais Edouard Philippe est parfois resté flou, consentant même ne pas connaître tous les contours de certaines réformes, s'obligeant à affirmer qu'il ne pouvait pas répondre à quelques questions de Jean-Jacques Bourdin. Edouard Philippe qui par ailleurs demeure mal connu des Français et qui aurait du mal à trouver sa place au sein de l'exécutif.
Le président français Emmanuel Macron, en déplacement en Roumanie, a estimé jeudi que faute d'amendement de la directive européenne sur le travail détaché, le "dumping fiscal" pratiqué dans certains pays de l'Est risquait de mener à un "démantèlement de l'UE".
François Hollande souhaite imposer sa ligne sociale-démocrate pour reconstruire le Parti socialiste.
Le renouvellement le 24 septembre de la moitié du Sénat, qui clôt la séquence électorale 2017, constitue un premier test pour Emmanuel Macron et La République en marche, qui a révisé à la baisse son ambition de peser à la Haute assemblée.
Pour François Bayrou, les ministres doivent "dicter la ligne à l'administration de Bercy ou aux autres grands corps de l'État", et non l'inverse.
La maquilleuse d'Emmanuel Macron a adressé deux factures de 10.000 et 16.000 euros à l'Élysée.
Le Premier ministre a fait sa rentrée politique ce jeudi matin face à Jean-Jacques Bourdin. Durant près d’une heure, Édouard Philippe a tenté de répondre aux questions du journaliste et des auditeurs. Mais sur certains dossiers, comme les pensions de retraite ou l’augmentation de la prime d’activité, le chef du gouvernement s’est montré imprécis. "Je ne suis pas un surhomme, je n’ai pas tous les chiffres en tête", s’est-il justifié.
Une réponse "incroyable", un Premier ministre "incapable de répondre précisément à des questions"... le député PS Luc Carvounas s'en est pris violemment à Edouard Philippe jeudi matin.
Contrairement à ce qu'a pu affirmer Edouard Philippe mardi matin, la baisse de la taxe d'habitation concerna 17 millions des foyers dès 2018, d'après Matignon.
François Hollande, qui s'était fait discret depuis son départ de l'Élysée, est revenu sur le devant de la scène en début de semaine et n'a pas hésité à mettre en garde Emmanuel Macron. Le camp de l'actuel président contre-attaque.
Le Premier ministre a fait sa rentrée médiatique ce jeudi sur BFMTV et RMC. Edouard Philippe est revenu sur le sujet de la gratuité des soins dentaires, des prothèses auditives ou encore des lunettes. Selon lui, le gouvernement va "attaquer le sujet à partir de 2018". En effet selon lui, le premier budget sur lequel l’exécutif va pouvoir imprimer sa "marque" est celui qui commencera en janvier 2018.
"Vincent?" "Philippot?". Le nom du Premier ministre n’est pas encore connu de tous les Français. Le chef du gouvernement s’appelle Édouard Philippe. "C’est toujours difficile de se faire un nom quand on a deux prénoms", se justifie-t-il.
Édourd Philippe juge la baisse de cinq euros des APL comme une mesure "pas intelligente", mais rappelle qu'il n'en est pas l'auteur.
Le Premier ministre a fait sa rentrée médiatique ce jeudi sur BFMTV et RMC. Edouard Philippe est revenu sur la baisse des APL. "Si on avait pu faire autrement on l’aurait fait", a-t-il affirmé, ajoutant que c’était une mesure contenue dans le budget précédent que lui ne faisait qu’exécuter. Le locataire de Matignon a notamment fustigé une "mesure de rabot".
Le compte de prévention remplacera le compte pénibilité, dit Édouard Philippe
Le Premier ministre a fait sa rentrée médiatique ce jeudi sur BFMTV et RMC. Edouard Philippe a notamment évoqué le dossier de l’exonération de la taxe d’habitation pour un certain nombre de Français, qui faisait partie des promesses de campagne d’Emmanuel Macron. Face à la grogne des collectivités locales, le locataire de Matignon a indiqué que le gouvernement avait l’intention de travailler avec elles pour "avoir une fiscalité locale plus intelligente".
La CSG augmentant de 1,7 point au 1er janvier, l'idée est de baisser plus fortement en janvier prochain les cotisations pour que les salariés puissent quand même observer une hausse de leur salaire net sur la fiche de paie. "On est sur environ 65-35, c'est ça l'idée. On va baisser les cotisations de plus de deux points en janvier et un point en octobre", a-t-il précisé. Au final un salarié au SMIC gagnera plus de 250 euros par an, a-t-il promis.
Invité ce jeudi de BFMTV et RMC, Édouard Philippe a répondu à l'ancien président de la République François Hollande, qu'il taxe d'immobilisme.
Invité ce jeudi de BFMTV et RMC, Édouard Philippe est revenu sur les récentes sorties de François Hollande, vantant son bilan et interpellant Emmanuel Macron. Pour le Premier ministre, l’ancien chef de l’État "a voulu rappeler qu’il était encore dans le paysage".
Selon le nouveau sondage Elabe "L'Opinion en direct" pour BFMTV diffusé ce mercredi, les Français ont du mal à se faire une idée du Premier ministre Edouard Philippe. Le chef du gouvernement s'exprime ce jeudi au micro de Jean-Jacques Bourdin.
François Fillon, candidat malheureux de la droite à l'élection présidentielle, va rejoindre la société de gestion d'actifs et d'investissement Tikehau Capital en tant qu'associé. Comme lui, plusieurs hommes politiques ont décidé de changer de cap, et de retourner à la vie active.
François Hollande a annoncé ne pas avoir l'intention de quitter la vie politique. Entre Valéry Giscard d'Estaing et Nicolas Sarkozy, aux destins politiques post-élyséens bien différents, où se situe l'ex-président socialiste?
En 24 heures, l'ancien chef de l'Etat François Hollande a multiplié les tacles à l'attention de son successeur à l'Elysée, Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron a pris pour exemple l'Autriche dans la lutte contre le chômage ce mercredi à Salzbourg. Lors d'un point presse avec le chancelier Christian Keller, le chef de l'Etat français a souligné que le taux de chômage n'était que de 5,4% dans ce pays soit presque deux fois moins que dans l'Hexagone. "La France est la seule grande économie européenne qui n'a pas gagné face au chômage de masse", a-t-il martelé.
L'ancien président de la République François Hollande confirme dans une interview à TV5Monde qu'il n'abandonne pas la vie politique. "Je ne l'ai pas dit à aucun moment, aujourd'hui, je suis dans une forme de retrait qui est dû au fait que j'étais président, il y a encore trois mois et que je ne veux pas compliquer la tâche de mon successeur", a-t-il déclaré.
A Angoulême, où il visitait ce mardi le festival du film francophone, François Hollande a émis plusieurs commentaires peu agréables à l'égard d'Emmanuel Macron. L'un, passé inaperçu dans un premier temps, a été relevé par Le Lab d'Europe 1.
Christophe Barbier, éditorialiste BFMTV, a réagi au sondage Elabe pour BFMTV sur les 100 jours d'Emmanuel Macron passés au pouvoir. Seuls 14% d’entre eux se disent satisfaits de son action et 36% des interrogés la jugent décevante.
Dans une interview accordée à TV5 Monde diffusée ce mercredi, l'ancien chef de l'Etat a expliqué qu'il dirait "ce qu'il a à dire" à un "certain moment" et a répété qu'il comptait rester dans le paysage politique.
Selon le nouveau sondage "L'Opinion en direct" piloté par l'institut Elabe pour BFMTV diffusé ce mercredi, les traits les plus saillants de la personnalité d'Emmanuel Macron pour l'électorat sont le "dynamisme" et la dimension "autoritaire" du personnage. Mais les différents items montrent un décrochage auprès de l'opinion.
Robert Ménard plaide pour l'union des droites et remet en cause le "leadership" de Marine Le Pen.
Jean-Pierre Raffarin participera à l'émission dominicale de Laurent Delahousse dès la rentrée.
Stéphane Le Foll estime que la "reprise" économique, qu'il attribue à l'action de François Hollande, disqualifie la politique de "sacrifices" du gouvernement.
La secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes a réagi sur Twitter à la vente de sacs Auchan stipulant "HOURRA! J’ai la carte de crédit de mon mec!".
Invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin de BFMTV et RMC, Stéphane Le Foll est revenu sur l’interpellation ce mardi de François Hollande à Emmanuel Macron, où il le met en garde contre la tentation de flexibiliser encore davantage le marché du travail. Vanter son bilan, "c’est légitime de sa part", a déclaré l’ancien porte-parole du gouvernement.
Selon Le Canard enchaîné, à paraître ce mercredi, l'entourage du Premier ministre craint que des députés "La République en marche" indisciplinés n'agitent le retour au Palais Bourbon.
Selon Le Canard enchaîné, dans son édition à paraître ce mercredi, Emmanuel Macron s'est récemment laissé aller à quelques commentaires sur son appréciation du travail des différents ministres.
