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"Vous n’êtes pas réveillé là." Macron s’agace face aux journalistes sur La Rotonde

"Vous n’êtes pas réveillé là." Macron s’agace face aux journalistes sur La Rotonde

Alors qu’Emmanuel Macron avait décidé de ne pas se rendre sur le site de Whirlpool en contact direct avec les salariés, sa rivale pour le second tour de la présidentielle, Marine Le Pen, s’est invitée sur place ce mercredi. Dans le même temps, le candidat du mouvement En Marche! était à la CCI et a finalement affirmé qu’il changeait d’avis lors d’une conférence de presse, prévoyant ainsi une visite dans l’après-midi. Interrogé une nouvelle fois sur la soirée du premier tour au cours de laquelle il s’est rendu dans le restaurant parisien "La Rotonde", Emmanuel Macron s’est montré très agacé face aux journalistes : Vous n’êtes pas réveillé là (…) tournez la page, passez à la vraie vie"

Marine Le Pen sur le site de Whirlpool: "Je suis ici à ma place, exactement où je dois être"

Marine Le Pen sur le site de Whirlpool: "Je suis ici à ma place, exactement où je dois être"

Alors qu’Emmanuel Macron a décidé de ne pas se rendre sur le site de Whirlpool en contact direct avec les salariés, sa rivale pour le second tour de la présidentielle, Marine Le Pen, s’est invitée sur place. "Je suis ici à ma place, exactement où je dois être", a-t-elle ainsi justifié, tout sourire. "Quand j'ai appris que (Macron) n'entendait pas rencontrer les salariés (...) j'ai décidé de venir vous voir."

Comment Macron et Le Pen veulent lutter contre le chômage

Comment Macron et Le Pen veulent lutter contre le chômage

Emmanuel Macron et Marine Le Pen ont fait de la lutte contre le chômage une des priorités de leurs programmes. Si elle est élue le 7 mai prochain, la candidate du Front national souhaite ainsi donner la priorité aux travailleurs français en taxant les salariés étrangers. Le fondateur du mouvement En Marche! mise quant à lui sur d'autres mesures. Il souhaite par exemple élargir l'indemnisation chômage aux indépendants et aux personnes démissionnaires dans la limite d'une fois tous les cinq ans.

Royal : "Il faut que Mélenchon retrouve ses accents de 2002 pour combattre l’extrême droite"

Royal : "Il faut que Mélenchon retrouve ses accents de 2002 pour combattre l’extrême droite"

Après la qualification du Front national au second tour de la présidentielle et en l’absence de consigne de vote de la part de Jean-Luc Mélenchon, Ségolène Royal a appelé l’ex-candidat de la France Insoumise à prendre position. "Il faut que Jean-Luc Mélenchon retrouve les accents qu’il avait eu en 2002 pour combattre l’extrême droite, pour en dénoncer les risques et dangers. Il n’a pas changé depuis 2002 donc il ne faut pas de calculs politiciens par rapport à cet enjeu", a-t-elle estimé à la sortie du Conseil des ministres ce mercredi.

Propos de Hollande sur la présence de Le Pen au 2nd tour: "Ils n’avaient qu’à s’activer avant", dit Macron

Propos de Hollande sur la présence de Le Pen au 2nd tour: "Ils n’avaient qu’à s’activer avant", dit Macron

"Certains se réveillent avec la gueule de bois (…) Ils n’avaient qu’à s’activer avant. Ils l’ont nourri", a déclaré ce mardi 25 avril sur BFMTV, Emmanuel Macron, le candidat d’En marche ! à l’élection présidentielle qui affrontera au 2nd tour Marine Le Pen. Quelques instants auparavant, le président de la République François Hollande avait lancé un avertissement à peine voilé à son ancien ministre de l’Économie. "Je pense qu'il convient d'être extrêmement sérieux et mobilisé, de penser que rien n'est fait parce qu'un vote ça se mérite, ça se conquiert, ça se justifie, ça se porte", avait-il alors déclaré.

"Bébé Hollande", "Micron": Emmanuel Macron a collectionné les surnoms pendant la campagne

"Bébé Hollande", "Micron": Emmanuel Macron a collectionné les surnoms pendant la campagne

Depuis le début de la semaine, le Front national a affublé le surnom de "Bébé Hollande" à Emmanuel Macron, leur adversaire direct pour le second tour de l'élection présidentielle. Ce n'est pas la première fois que le candidat d'"En Marche!" est égratigné par un surnom. Avant le premier tour, François Fillon l'avait appelé "Emmanuel Hollande". Sur les réseaux sociaux, les électeurs opposés à son programme préfèrent eux l'affubler du surnom de "Micron".