Pour la première fois, les électeurs vont voter aux élections départementales pour un binôme homme/femme. L'occasion pour les grands partis de rattraper un retard conséquent.
Jean-Marie Le Pen était l'invité d'Olivier Truchot sur BFMTV, mardi soir. Le fondateur du Front national s'est exprimé sur les dérives racistes, sexistes ou homophobes de certains candidats FN aux élections départementales. "Nous avons 8.157 candidats je crois et on sort de cela quelques personnes atypiques", a-t-il déclaré. Jean-Marie Le Pen a qualifié ces personnages de "zigotos", "des gens un petit peu allumés". Il a également dénoncé l'acharnement dont est victime le Front national: "As-t-on cherché du côté de l'UMP ou du PS ? Bien sûr que non (…) on cherche du côté du Front national".
L'Assemblée nationale a largement adopté mardi en première lecture, par 436 voix contre 34, la proposition de loi PS-UMP sur la fin de vie, qui instaure un droit à un endormissement pour les malades en phase terminale. Ce vote dans l'hémicycle a été perturbé par un bref incident, des inconnus ayant jeté depuis les tribunes sur des députés de gauche des bouts de papier, sur lesquels était imprimé "Non à l'euthanasie" et "R comme résistance". "Ne vous en faites pas, nous engagerons les poursuites que cela mérite", a déclaré depuis le perchoir le président de l'Assemblée, Claude Bartolone (PS), alors que des députés s'étaient levés pour protester contre cette action, qui s'est produite juste avant l'annonce du résultat du scrutin.
L'Assemblée nationale a largement adopté mardi en première lecture, par 436 voix contre 34, la proposition de loi PS-UMP sur la fin de vie, qui instaure un droit à un endormissement pour les malades en phase terminale.
L'Assemblée nationale se prononce mardi sur le texte sur la fin de vie qui complétera la loi Leonetti, votée en 2005. Le renforcement des directives anticipées est l'une des mesures phares du texte. Ces documents, transmis par les personnes à leurs proches, expriment leur volonté en fin de vie. En France, moins de 3% des Français ont rédigé leurs directives anticipées.
"Monsieur le Premier ministre, vous paniquez à l'approche des élections départementales les Français s'apprêtent à vous administrer la plus grande claque électorale jamais connue." Le député UMP Sébastien Huyghe a accusé mardi Manuel Valls de faire monter le FN à dessein et de mener campagne en utilisant "sans vergogne les moyens" de l'Etat. Absent, le Premier ministre était en campagne à Metz pour les élections départementales. Il n'était pas le seul à en juger par les rangs clairsemés de l'Assemblée lors des questions au gouvernement.
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Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron effectue un bon de la 14e à la 4e place (+9 à 43% d'opinion favorable) dans le baromètre de popularité des personnalités politiques. Et ce, en dépit de l'épisode du 49-3, utilisé en février par le Premier ministre pour faire passer le texte de loi qui porte son nom.
L'écologiste, José Bové, a dénoncé mardi sur RMC et BFMTV, les procédés de fabrication néfastes utilisés par l'industrie agro-alimentaire. " Je suis inquiet. Les citoyens ne sont informés de rien et se retrouvent menacés dans leur santé", a-t-il expliqué. Venu sur le plateau avec des M M's, l'écologiste a fustigé les produits utilisés dans leur fabrication. "Tout ça est enduit de dioxyde de titane." Il n'y a eu aucune autorisation de mise sur le marché comme un nouveau type de matériau. C'est l'industrie qui impose ça", a-t-il expliqué avant de demander aux gens de " boycotter ces produits".
"Je dis aux gens qui nous regardent: boycottez ces produits, vous n'avez pas besoin de bouffer cette merde!", a lancé le député européen sur BFMTV.
L'écologiste José Bové, a réagi sur BFMTV et RMC mardi aux querelles entre Cécile Duflot et Jean-Vincent Placé qui divisent le parti d'EELV. "Je n'ai jamais été adhérent à ce parti. Ce qui est terrifiant c'est que l'image que ça donne de l'écologie, c'est la pire image que l'on puisse donner de la politique", désapprouve-t-il. "Je pense qu'il faut totalement reconstruire, je ne vois pas ce qu'on peut faire avec cette boutique comme ça", estime-t-il.
José Bové, député européen était l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV mardi. Interrogé sur le fort risque d'abstention prévu pour les élections départementales ce dimanche, l'écologiste a critiqué la campagne menée par le Premier ministre. "On est en train de transformer, et là Valls a une lourde responsabilité dans ce bazar, il transforme en dramatisant cette élection en référendum pour ou contre la politique du gouvernement", a-t-il indiqué. C'est une faute politique car il pouvait assumer le travail fait dans les départements. C'est une élection locale", a-t-il ajouté.
Le député européen Europe-Ecologie - Les-Verts et vice-président de la commission parlementaire Agriculture et Développement rural à Bruxelles José Bové regrette "l'image désastreuse" que donne sa famille politique en France.
Avec le projet de loi de lutte contre le terrorisme, les services de renseignement vont être dotés de nouveaux droits pour écouter les conversations téléphoniques ou espionner les courriers électroniques, a appris BFMTV.
Silencieux depuis son départ de Matignon, Jean-Marc Ayrault se livre dans un documentaire réalisé par sa fille. Il revient notamment sur l'affaire Florange, sa confrontation avec Arnaud Montebourg et le rôle joué par l'Elysée.
A cinq jours des départementales, Manuel Valls et Nicolas Sarkozy se sont livrés lundi à un affrontement verbal à distance dans l'Essonne. Au cours d'une réunion publique à Evry, le Premier ministre a ainsi répondu aux attaques du président de l'UMP: "Monsieur Sarkozy m'a demandé de garder mes nerfs, c'est un spécialiste de la question", a-t-il déclaré ironiquement. L'ancien président de la République en meeting à Palaiseau, a lui dénoncé "l'excès des mots et des postures" de Manuel Valls.
Dans un duel à distance face à Manuel Valls, le président de l'UMP a attaqué le président de la République accusé de "mensonges" et de "dégrader l'image de la France".
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Nicolas Sarkozy et Manuel Valls étaient tous les deux dans l'Essonne, ce lundi soir, pour soutenir "leurs" candidats aux élections départementales, dont le premier tour aura lieu dimanche. L'occasion d'échanger quelques piques.
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En campagne contre le Front national, le Premier ministre a répondu à l'attaque de Jean-Marie Le Pen sur ses origines espagnoles, lundi soir au Grand Journal de Canal +.
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a affirmé dimanche que Washington devrait négocier avec Bachar al-Assad pour mettre fin au conflit qui a fait plus de 215.000 morts et vient d'entrer dans sa cinquième année.
Les médias "se permettent de diffamer et de critiquer de façon tout à fait non contradictoire des formations politiques et notamment le Front national", estime la présidente du parti d'extrême droite.
Selon un sondage, le parti de Marine Le Pen arriverait très largement en tête au premier tour des départementales dans l'Aisne, jusqu'alors dirigé par le PS. La droite serait également devancée dans ce département rural, aux portes de l'Ile-de-France.
Le MJS lance lundi une campagne de mobilisation, à une semaine du premier tour des élections départementales. Une campagne déjà moquée et détournée sur les réseaux sociaux.
Le président du conseil général de l'Essonne rappelle que l'ancien ministre de Sarkozy a été renvoyé aux assises pour viol. Georges Tron est le candidat de la droite à la présidence du département.
Une semaine avant le scrutin, François Hollande anticipe la défaite de la gauche aux départementales. Le Président souhaite rassembler, y compris à gauche de la gauche, pour retrouver une majorité avant l'échéance de 2017.
Marisol Touraine était ce lundi l'invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC. Au lendemain d'une manifestation des médecins contre la loi santé, retrouvez ses principales déclarations.
Après Manuel Valls, c'est au tour de la garde des Sceaux de s'attaquer au Front National. Dans un long texte publié ce week-end sur Facebook, elle ne cite jamais explicitement le parti, mais dénonce ceux qui "grapillent les avantages du système".
Le coup de colère de l'attaquant du PSG Zlatan Ibrahimovic, dimanche, après son match contre Bordeaux, n'en finit plus de créer la polémique. Pour le ministre des Sports, le Suédois aurait du garder sa "rancoeur" pour lui.
Marine Le Pen a réagi, ce lundi matin, sur France Info, aux propos tenus dimanche sur la France par l'attaquant du PSG, Zlatan Ibrahimovic.
Chaque dimanche, BFMTV.com prépare pour vous l'agenda des actualités à ne pas manquer dans la semaine qui vient.
Invitée de BFM Politique, la ministre de l'Education nationale est revenue sur les enjeux des élections départementales avec pour mot d'ordre de faire barrage au Front national.
Damien Hameau-Brielles, candidat FN aux élections départementales en Mayenne, a réalisé plusieurs photomontages qu'il a posté sur Facebook. Sur l'un d'entre eux, il pose en braquant une arme sur la tempe du chef de l'Etat.
Le président d'honneur du Front National s'en est pris au Premier ministre qui avait fustigé samedi "la nostalgie de l'Algérie française". Des déclarations en référence au choix de Robert Ménard, le maire de Béziers qui a rebaptisé la "rue du 19 mars" en "rue Hélie Denoix de Saint-Marc", un partisan de l'Algérie française.
