Iran: un mort et 14 blessés dans les "émeutes" de Zahedan
La victime a perdu la vie à la suite de tirs "non identifiés", sans que plus de détails n'aient filtré.
La victime a perdu la vie à la suite de tirs "non identifiés", sans que plus de détails n'aient filtré.
La fin du deuil traditionnel. "Près de 10.000 personnes" se sont dirigées ce mercredi vers la tombe de Mahsa Amini, morte il y a 40 jours en Iran, selon l'agence de presse iranienne Isna.
La mort de Mahsa Amini avait, en septembre dernier, été le point de départ de nombreuses manifestations réprimées dans le sang par le régime de Téhéran.
Des manifestations, durement réprimées, ont lieu en Iran depuis la mort de Mahsa Amini, jeune Kurde iranienne, après son arrestation par la police des moeurs.
Amou Haji évitait de prendre un bain par crainte de "tomber malade".
Le ministre iranien a réaffirmé la volonté de son pays de tenir des pourparlers directs avec l'Ukraine à ce sujet.
La Russie et l'Iran ont souligné ces derniers mois l'importance d'accroître leur coopération, alors que les deux pays sont soumis à de sévères sanctions américaines.
La République islamique est secouée par un mouvement de contestation depuis le 16 septembre, suite à la mort de Mahsa Amini après son arrestation par la police des moeurs.
La championne d'escalade Elnaz Rekabi pourrait avoir été emprisonnée par le régime iranien après avoir concouru à Séoul sans son voile, que les femmes iraniennes sont tenues de porter depuis la révolution islamique de 1979.
La championne d'escalade Elnaz Rekabi pourrait avoir été emprisonnée par le régime iranien après avoir concouru à Séoul sans son voile, que les femmes iraniennes sont tenues de porter depuis la révolution islamique de 1979.
Après avoir condamné publiquement le meurtre de Mahsa Amini par la police des moeurs, l'Union européenne a annoncé une série de sanctions visant plusieurs responsables de l'institution.
Le président iranien, Ebrahim Raïssi, a accusé son homologue américain "d'inciter au chaos", après le soutien apporté par Joe Biden aux protestations dans le pays.
Les prisonniers sont morts par inhalation de fumée, selon la justice iranienne. Le quai d'Orsay assure suivre la situation "avec la plus grande attention", alors que des Français y sont détenus.
Affiché à Téhéran, le montage insinue que les femmes représentées portent le hijab de manière volontaire. Plusieurs d'entre elles se sont plaint de l'utilisation de leur image.
Le chef de l'État français a déclaré cette semaine "condamner la répression menée aujourd'hui par le régime iranien", alors que de nombreuses manifestations agitent le pays ces dernières semaines.
Plus de 100 personnes ont été inculpées en Iran dans le contexte des manifestations déclenchées par la mort de Mahsa Amini après son arrestation par la police des moeurs. Les sanctions de l'UE doivent être confirmées lundi.
Emprisonner des occidentaux ou des binationaux de passage en Iran fait partie de la stratégie diplomatique du pays pour obtenir gain de cause sur certains dossiers. Actuellement, cinq Français y sont détenus.
Jusqu'à aujourd'hui, seuls quatre ressortissant français retenus par le régime de Téhéran étaient officiellement reconnus par Paris.
Alors que le guide suprême de l'Iran, Ali Khamenei, s'exprimait sur la télévision d'État, le journal télévisée a été piraté peu après 21h30 ce samedi durant une dizaine de secondes. Le visage de Mahsa Amini et celui de trois autres victimes des protestations ont été affichées à l’écran, alors que le slogan "Femmes, vie, liberté" était scandé.
Shervin Hajipour avait été arrêté par les autorités dans le nord de l'Iran pour avoir composé une chanson en soutien aux manifestants.
Alors que le guide suprême de l'Iran, Ali Khamenei, prend la parole, le grand journal de la télévision d'État iranienne est piraté peu après 21h30 (heure locale) ce samedi. S'affiche alors une photo du même guide suprême avec une animation qui le mette en train de brûler, avec une cible sur le front. Plus bas sur l'image, le visage de Mahsa Amini, morte trois jours après son arrestation par la police des moeurs pour non-respect du port du voile, et celui de trois autres victimes des protestations ont été affichées à l’écran. En rouge, il est écrit: "le sang de notre jeunesse est sur vos mains" et en orange: "rejoignez-nous et rebellez-vous". En fond sonore, le slogan "Femmes, vie, liberté" est scandé. Une interruption d'une dizaine de secondes seulement, avant le retour à l'antenne, d'un présentateur au visage crispé. Ces messages font explicitement écho aux manifestations d'ampleur qui agitent tout le pays depuis la mort de Mahsa Amini, le 16 septembre dernier.
Durant une dizaine de secondes, des slogans faisant explicitement écho aux manifestations d'ampleur qui agitent tout le pays depuis la mort de Mahsa Amini ont été affichés à l'écran.
La mobilisation ne faiblit pas, malgré la répression. Iraniens et Iraniennes continuent de se rassembler pour protester contre le régime islamiste et en soutien aux femmes, notamment après la mort de Mahsa Amini.
Alors que le guide suprême de l'Iran, Ali Khamenei, s'exprimait sur la télévision d'État, le journal télévisée a été piraté peu après 21h30 ce samedi durant une dizaine de secondes. Le visage de Mahsa Amini et celui de trois autres victimes des protestations ont été affichées à l’écran, alors que le slogan "Femmes, vie, liberté" était scandé.
Selon le Quai d'Orsay, en restant en Iran, les ressortissants français s'exposent à des risques de "détention arbitraire".
Le Quai d'Orsay a de nouveau vivement dénoncé les accusations portées contre les deux Français arrêtés en Iran. Dans une vidéo diffusée par l'Iran, ils sont présentés comme des espions de la DGSE.
Un artiste anonyme a coloré des fontaines d'eau de Téhéran en rouge vendredi en référence à la répression sanglante des trois semaines de manifestations qui ont éclaté après la mort de Mahsa Amini.
Le père de Mahsa Amini a déclaré en septembre que sa fille était en "parfaite santé". Des manifestations ont été déclenchées en Iran en réaction à son décès après son arrestation par la police des moeurs.
L'adolescente a disparu fin septembre alors qu'elle se rendait à une manifestation contre le port obligatoire du hijab. Sa famille est convaincue qu'elle a été battue à mort par les autorités.
En Iran, Nika Shakarami, morte à l'âge de 16 ans, est le nouveau visage de la révolution.
Au cours du "vendredi sanglant de Zahedan", comme le nomment des ONG, les forces de sécurité ont réprimé une manifestation qui avait éclaté après les prières.
Le ministère Français des Affaires étrangères a affirmé ce jeudi que les deux Français arrêtés en Iran en mai dernier, et dont la TV iranienne a diffusé des "aveux" d'espionnage, sont des "otages d'État". Ils sont accusés de vouloir "déclencher le chaos" en Iran.
Sur cette vidéo diffusée par l'agence de presse du pouvoir iranien et présentée comme des "aveux", on peut notamment voir une femme dire en français qu'elle est "un agent" des services de renseignement français.
La télévision iranienne a diffusé jeudi ce qu'elle présente comme des "aveux" d'espionnage de deux Français arrêtés en mai dans le pays. Le ministère des Affaires étrangères a dénoncé une "mise en scène indigne".
La télévision iranienne a diffusé ce jeudi ce qu'elle présente comme des "aveux" d'espionnage de deux Français arrêtés en mai en Iran.
Sur cette vidéo diffusée par l'agence de presse du pouvoir iranien et présentée comme des "aveux", on peut notamment voir une femme dire en français qu'elle est "un agent" des services de renseignement français.
Abir Al-Sahlani, députée suédoise au Parlement européen, se coupe les cheveux lors d'un discours à Strasbourg en signe de solidarité avec les manifestants en Iran, mobilisés depuis que Mahsa Amini, une Kurde de 22 ans, est décédée le 16 septembre dernier suite à son arrestation par la police des mœurs à Téhéran, pour n'avoir prétendument pas respecté le code vestimentaire strict imposé aux femmes de la république islamique. "Tant que l'Iran ne sera pas libre, notre fureur sera plus grande que celle des oppresseurs", déclare la députée.
Le guide suprême Ali Khamenei, le chef religieux de la République islamique d'Iran, a réagi publiquement au mouvement de protestation qui secoue son pays depuis la mort de Mahsa Amini.
Le guide suprême de la République islamique, l'ayatollah Ali Khamenei, accuse les Etats-Unis, Israël et leurs "agents" d'avoir fomenté le mouvement de contestation antigouvernemental déclenché par la mort le 16 septembre de Mahsa Amini à Téhéran.
Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent les forces de sécurité en train de tirer des gaz lacrymogènes sur des étudiants manifestant contre le régime, les encerclant alors dans l'enceinte de l'université.