Le président catalan destitué convoqué en vue de son inculpation
Carles Puigdemont est convoqué cette semaine avec 13 membres de son gouvernement, après la déclaration d'indépendance de la Catalogne.
Carles Puigdemont est convoqué cette semaine avec 13 membres de son gouvernement, après la déclaration d'indépendance de la Catalogne.
La stratégie de l'exécutif catalan déchu n'a pas le mérite de la plus exemplaire clarté. Notre éditorialiste des questions internationales Ulysse Gosset décrypte les derniers rebondissements après l'exil-surprise de Carles Puigdemont et de cinq de ses ministres à Bruxelles.
Les autorités sanitaires d'un comté britannique ont envisagé d'héberger des patients chez des particuliers, faute de place à l'hôpital. Le projet a été retoqué. Mais le ministre de la Santé ne l'a pas définitivement exclu.
Le président destitué de Catalogne demande à l'Europe de réagir face au gouvernement de Madrid.
Le président destitué de la Catalogne Carles Puigdemont, visé par une procédure judiciaire en Espagne, s'exprime mardi lors d'une conférence de presse à Bruxelles.
Carles Puigdemont, le président destitué de la Catalogne, a accepté ce mardi lors d'une conférence de presse à Bruxelles les élections régionales anticipées annoncées par Mariano Rajoy. Il n'a pas demandé l'asile.
Alors que la confusion régnait lundi à Barcelone, le président destitué de Catalogne, Carles Puigdemont, se trouve lui à Bruxelles, où il est accompagné de plusieurs membres de son gouvernement. Il doit tenir une conférence de presse à 12h30 ce mardi, depuis la capitale belge.
Un parrain de la mafia sicilienne avait demandé à son fils de tuer sa propre sœur, qui était selon lui devenue un indic en raison de sa relation avec un policier.
Alors que la confusion régnait hier à Barcelone, Carles Puigdemont, à l’origine du référendum d’autodétermination du 1er octobre interdit par la justice, était lui à Bruxelles. L’information a été confirmée par le ministre espagnol de l’Intérieur. Selon les médias espagnols, il serait accompagné de plusieurs membres de son gouvernement destitué, sans que l’on connaisse pour l’instant le motif exact de cette visite. Carles Puigdemont devrait demander l'asile politique. Le parquet espagnol a déposé plainte contre les membres du gouvernement destitué par Madrid. Le procureur général les accuse d’avoir "causé une crise institutionnelle" et réclame leur comparution urgente en vue de leur inculpation.
Selon les médias espagnols, Carles Puigdemont et cinq membres de son équipe se trouveraient à Bruxelles ce lundi.
"Rebellion", mais aussi ""sédition, malversation et prévarication", les charges contre l'exécutif catalan sont lourdes.
Pour Madrid, c'était "la seule réponse possible", selon Mariano Rajoy. Dans la foulée de la déclaration d'indépendance de la Catalogne vendredi, le chef du gouvernement espagnol, déterminé à reprendre le contrôle de la région, a enclenché l'article 155 de la Constitution. Une mesure drastique aux multiples conséquences. Une tâche difficile, aussi, à mettre en œuvre, dans une Catalogne très autonome et où une partie de la population est prête à désobéir.
Les Catalans souhaitant rester dans l'Espagne ont occupé la rue à Barcelone ce dimanche. Ils étaient entre 300.000 selon la police et un million selon la préfecture, représentant l'État en Catalogne. BFMTV a interrogé certains des manifestants sur leurs motivations. "Il faut qu’on arrête de se cacher", a expliqué l’un d’eux quand une autre a estimé que les indépendantistes n’avaient "pas le droit de nous diviser".
Après les indépendantistes vendredi, ce sont les Catalans souhaitant rester dans l'Espagne qui ont occupé la rue à Barcelone ce dimanche. Ils étaient entre 300.000 selon la police et un million selon la préfecture, représentant l'État en Catalogne. Brandissant drapeaux de l’Espagne et de la Catalogne, ils se présentent comme la majorité silencieuse qui se réveille. La région est plus divisée que jamais, deux jours après sa déclaration d'indépendance.
300.000 personnes manifestaient ce dimanche à Barcelone pour l'unité de l'Espagne, deux jours après la déclaration d'indépendance proclamée au Parlement catalan. Ces chiffres de la police municipale sont moins impressionnants que ceux avancés par La Société civile catalane, l’organisatrice de cette manifestation, qui estime la participation à 1,1 million de personnes.
Les Catalans opposés à l'indépendance de leur région vont manifester, ce dimanche, à Barcelone, alors que la Catalogne vient d'être placée sous tutelle par Madrid.
Carles Puigdemont a appelé ses concitoyens à garder "l’espoir et la persévérance", ce samedi, au lendemain de l’annonce de sa destitution par Madrid. "Nous ne voulons pas la force et nous ne devons pas l’utiliser", a par ailleurs ajouté le président destitué de la Catalogne.
Vendredi, quelques instants après que le parlement catalan a adopté une résolution déclarant que la région devient un "État indépendant prenant la forme d'une République", les mairies de villes majeures de Catalogne ont baissé le drapeau espagnol.
La crise catalane n’est pas près de s’arrêter. Tandis que le parlement de Catalogne a adopté, ce vendredi, une résolution déclarant que la région devient un "État indépendant prenant la forme d'une République", le Sénat espagnol a voté lui, la mise en œuvre de l'article 155 de la Constitution, afin d'accorder au gouvernement central la possibilité de mettre la Catalogne sous tutelle.
Le Parlement catalan a voté pour la mise en place de la République catalane. Une décision historique qui provoque la joie de milliers d'indépendantistes à Barcelone mais génère de l'inquiétude chez certains Espagnols, observant la situation depuis Paris.
Le leader de la France insoumise s'inquiète de la situation en Catalogne et estime que "le peuple doit être consulté" sur l'indépendance.
Le chef opérationnel de la police catalane, Josep Luis Trapero, a été destitué ce samedi dans le cadre de la mise sous tutelle de la Catalogne. Il s'était notamment illustré pour sa gestion des attentats, en août dernier.
La destitution de l'exécutif catalan par le gouvernement espagnol, vendredi, en réponse à la déclaration d'indépendance de la Catalogne, fait les gros titres de la presse espagnole et française.
Le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a annoncé vendredi la destitution du président catalan Carles Puigdemont et de son exécutif, et la convocation d'élections le 21 décembre en Catalogne, quelques heures après la déclaration d'indépendance de la région.
Le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a donné, ce vendredi dans la soirée, une série de mesures après la déclaration d'indépendance en Catalogne dont la destitution du président et du vice-président de la Généralité de Catalogne et "du reste des conseillers du gouvernement économique".
Mariano Rajoy a annoncé la destitution de Carles Puigdemont et de son gouvernement ainsi que la dissolution du parlement catalan et la tenue d'élections anticipées le 21 décembre prochain.
Le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a dénoncé vendredi soir dans une allocution "le vol d'une partie du territoire espagnol" après la déclaration d'indépendance de la Catalogne.
Le chef de l'exécutif catalan va faire l'objet d'une plainte pour rébellion la semaine prochaine. Il risque jusqu'à 30 ans de prison.
Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a réagi ce vendredi à la déclaration d'indépendance du Parlement de Catalogne. "Nous n'avons pas à nous insérer dans ce débat hispano-espagnol mais je ne voudrais pas que demain l'Union européenne se compose de 95 Etats membres", a-t-il déclaré en déplacement en Guyane aux côtés du président français Emmanuel Macron.
Le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a réagi après le vote d'une déclaration unilatérale d'indépendance au Parlement de la Catalogne. "Grâce au pouvoir conféré par le Sénat, le gouvernement prendra les décisions correspondantes pour restaurer la légalité en Catalogne" a-t-il déclaré à la presse. "Je le dis à tous les Espagnols et les Catalans, soyez tranquilles, les choses vont bien se dérouler avec mesure et efficacité", a-t-il ajouté.
Consacrer Nobel de la paix la campagne de dénucléarisation en finançant le prix par des investissements dans l'armement nucléaire, tel est le pot aux roses dénoncé par une ONG norvégienne.
Les indépendantistes rassemblés au Parlement catalan à Barcelone ce vendredi ont salué le discours du président de la généralité de Catalogne Carles Puigdemont sur la déclaration d'indépendance de la région. Après des applaudissements, ils ont entonné l'hymne de la Catalogne.
Le président de la généralité de Catalogne Carles Puigdemont s'est exprimé devant les parlementaires à Barcelone ce vendredi peu après la déclaration d'indépendance de la Catalogne. L'indépendantiste a qualifié cette décision de "moment d'émotion, et aussi, de positivité". "Nous voulons maintenir la paix, le civisme et la dignité", a-t-il assuré.
Plusieurs dizaines de milliers de manifestants indépendantistes à Barcelone, massés à l'extérieur du parc abritant le parlement catalan, ont salué par des clameurs de joie l'annonce de la proclamation d'une République catalane vendredi après-midi.
Le parlement catalan a adopté ce vendredi une motion proclamant l'indépendance de la Catalogne. Les parlementaires ont ensuite entonné l'hymne catalan, en l'absence de l'opposition. Dans ses attendus la résolution demande à l'exécutif catalan de négocier sa reconnaissance à l'étranger, alors qu'aucun Etat n'a manifesté son soutien aux indépendantistes.
Le Sénat espagnol a autorisé ce vendredi la mise sous tutelle de la Catalogne en activant l'article 155 de la Constitution.
La Catalogne a déjà été indépendante dans son histoire, mais pas plus de dix heures, en 1934.
Le parlement de Catalogne a adopté vendredi une résolution déclarant que la région devient un "Etat indépendant prenant la forme d'une République", avant d'entonner l'hymne indépendantiste, en l'absence de l'opposition.
Les députés qui s'opposent à une déclaration d'indépendance n'ont pas participé au vote. Madrid a déjà réagi alors que le Sénat espagnol doit voter dans l'après-midi la mise sous tutelle de la Catalogne.
Le Sénat espagnol devrait voter ce vendredi la mise en oeuvre de l'article 155 de la Constitution. Dans son discours à la chambre haute, le Premier ministre a demandé la destitution du leader séparatiste Carles Puigdemont et de son gouvernement régional.
Le Sénat espagnol, où le parti du chef du gouvernement Mariano Rajoy est majoritaire, va voter ce vendredi la mise en œuvre de l'article 155 de la Constitution espagnole, qui va permettre à Madrid de prendre le contrôle de la Catalogne.
"Ma réaction est de déplorer ce manque de volonté politique", a déclaré Fernando Carderera, ambassadeur d’Espagne en France, alors que le président Puigdemont a considéré ce jeudi que les conditions n’étaient pas réunies pour organiser des élections régionales. "La moindre des choses qu’on peut lui demander, c’est de dire les choses clairement", a-t-il poursuivi.
Le président de la Catalogne n'a pas tranché à la veille d'un vote du Sénat espagnol pour déclarer la mise sous tutelle de la province. Carles Puigdemont n'a ni déclaré l'indépendance de la Catalogne, ni convoqué d'élections anticipées.