Rupture de barrage au Brésil: le bilan s'alourdit à 99 morts
Vendredi 25 janvier, la rupture d'un barrage minier avait causé un tsunami de boue au sud-est du Brésil. Le bilan de la catastrophe est passé à 99 morts et 259 disparus.
Vendredi 25 janvier, la rupture d'un barrage minier avait causé un tsunami de boue au sud-est du Brésil. Le bilan de la catastrophe est passé à 99 morts et 259 disparus.
Photos et vidéos d'un employé de banque en costume de super héros sur son lieu de travail ont fait le buzz sur les réseaux sociaux, selon le Daily Mail. Il avait démissionné.
40 personnes sont mortes lors de marches de protestation contre le régime du président Nicolas Maduro, selon l'ONU. Un nombre record de manifestants a par ailleurs été arrêté.
Deux des ingénieurs arrêtés travaillent pour une entreprise allemande. L'évaluation de la responsabilité pénale de l'entreprise Vale dans la tragédie, qui a fait au moins 65 morts, est en cours.
Le quartier de la Regla, au sud-est de La Havana, a été particulièrement touché.
Le bilan de la catastrophe au Brésil est passé dimanche à 58 morts, mais risque d'augmenter à nouveau après la découverte d'un bus rempli de corps.
Une hausse des niveaux de l'eau a été détectée dans un autre barrage, proche de celui qui a cédé vendredi dans le sud-est du Brésil.
Un barrage minier a cédé vendredi à Brumadinho, une commune de 39.000 habitants. L’accident a provoqué une coulée de boue dévastatrice. Ce barrage de 86 mètres de haut a été construit en 1976 et contenait 11,7 millions de litres d'eau et de déchets miniers. Les autorités ont déjà recensés neuf morts et près de 300 disparus.
Trois jours après l'annonce de Juan Guaido qui s'est autoproclamé président du Venezuela par interim, la France, l'Allemagne et l'Espagne laissent huit jours aux autorités locales pour organiser un nouveau scrutin.
Le nombre de victimes pourrait considérablement s'aggraver dans les jours à venir, 300 personnes étant portées disparues selon les autorités.
Un barrage d'un géant minier a lâché, ce vendredi dans le sud-est du Brésil, provoquant une gigantesque coulée de boue. Au moins 7 personnes sont mortes et 150 personnes ont disparu, selon les pompiers.
La mesure avait été annoncée fin décembre 2018. Au grand poste-frontière de Tijuana-San Ysidro, au sud de San Diego (Californie), elle est appliquée à partir de ce vendredi.
Le ministre des Affaires étrangères français a appelé Nicolas Maduro "à s'interdire (...) tout usage de la violence contre des manifestants pacifiques".
Le député socialiste, le seul a être ouvertement gay, a annoncé ce jeudi qu'il quittait le Brésil après avoir reçu des menaces de mort.
Des heurts ont éclaté ce mercredi entre opposants et partisans du régime de Nicolas Maduro, après l'auto-proclamation du président du parlement vénézuélien. De nombreux pays, dont les Etats-Unis, ont déjà reconnu Juan Guaido comme président du Venezuela.
Le président panaméen a lancé "un appel au pays pour maintenir la normalité" ce dimanche, précisant que "tous les protocoles de sécurité et d'urgence (avaient) été activés immédiatement".
Un oléoduc a pris feu vendredi dans la ville de Tlahuelipan au Mexique. Cet incendie s’est produit alors qu’une fuite sur ce pipeline avait attiré des habitants venus récupérer du carburant. Au moins 66 personnes sont décédées.
Au moins 9 personnes ont été tuées et 57 blessées, ce jeudi, dans une forte explosion à l'école de la police située dans le sud de Bogota, la capitale colombienne.
Jair Bolsonaro, le président d'extrême droite brésilien récemment investi, a signé, ce mardi, un décret qui facilite la détention d'armes à feu. Il honore ainsi une promesse de campagne.
Sept personnes ont été tuées dans cette station balnéaire prisée des touristes.
Damares Alves est une nouvelle ministre du gouvernement d’extrême-droite de Jair Bolsonaro. Lors de son investiture mercredi, elle a tenu des propos devenus viraux sur Internet: "les garçons s’habillent en bleu, et les filles s’habillent en rose".
Jair Bolsonaro est officiellement devenu le nouveau président du Brésil, le 1er janvier 2019. Mais quelques minutes avant son investiture, un cheval a perturbé son défilé.
Le Brésil est à l'aube d'une nouvelle ère. Jair Bolsonaro, premier président d'extrême droite élu démocratiquement, a été investi ce mardi à la tête du pays. Le nouveau chef d'État a la volonté de changer radicalement de cap dans la politique intérieure et extérieure de son pays.
Le nouveau président du Brésil, Jair Bolsonaro, a prêté serment à Brasilia ce mardi.
Le nouveau président brésilien d'extrême-droite a pris ses fonctions ce mardi 1er janvier. Jair Bolsonaro n'a pas déçu les attentes de ses électeurs lors de son investiture, s'affichant contre le "politiquement correct", "l'idéologie de gauche" et promettant de "rétablir l'ordre".