"Je suis vraiment désolé": Elon Musk regrette son soutien à un tweet antisémite
Le milliardaire avait créé la polémique en validant un tweet ouvertement antisémite, provoquant la fuite de nombreux annonceurs.
Le milliardaire avait créé la polémique en validant un tweet ouvertement antisémite, provoquant la fuite de nombreux annonceurs.
Le boycott du réseau social X par des annonceurs pourrait "tuer" la plateforme, a estimé mercredi Elon Musk, qui a conseillé à ces sociétés d'"aller se faire foutre".
La maire de Paris annonce quitter la plateforme, dénonçant sa récente évolution sous l'ère Elon Musk. Elle est désormais inscrite sur une plateforme concurrente: Bluesky.
Le milliardaire a indiqué vouloir "faire don" de tous les revenus issus de la "publicité et des abonnements liés à la guerre", récoltés par sa société X Corp, pour aider les hôpitaux israéliens et la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge dans l'enclave palestinienne.
Le géant du jeu vidéo a souhaité marquer sa désapprobation, face à la profusion de contenus haineux et au soutien d'Elon Musk à un message visant la communauté juive.
Sous l'impulsion d'Elon Musk, Twitter a rétabli de nombreux comptes auparavant bannis pour la diffusion de contenus haineux et de désinformation.
Après avoir exprimé son accord avec une publication visant ouvertement la communauté juive, Elon Musk tente de se défendre. Twitter fait face à une fuite massive des plus gros annonceurs.
Le propriétaire du réseau social s'est fait remarquer cette semaine en approuvant un message antisémite sur sa plateforme.
Le milliardaire a créé une nouvelle polémique en approuvant une publication ouvertement antisémite sur sa plateforme.
Un rapport de l'ONG Media Matters a montré que des publicités pour de grandes entreprises étaient diffusés aux côtés de publications vantant Hitler et les nazis.
Le réseau social a refusé de payer une amende de 610.500 dollars australiens (363.000 euros) infligée par l'Australie pour son manque de modération.
Twitter avait été condamné à payer plus de 350.000 euros pour son manque de moyens permettant de lutter contre la diffusion de contenus pédophiles.
De nombreuses études basées sur les réseaux sociaux ont dû être annulées, suspendues ou redirigées après les modifications apportées par Elon Musk à sa plateforme Twitter, rendant les données inaccessibles.
La plateforme a dévoilé son premier rapport de transparence, imposé par les nouvelles lois européennes. Il indique que 16.288 messages ont dû être retirés en France, soit plus du double qu'en Allemagne.
Selon des mails consultés par Forbes, une équipe interne au réseau social a déjà contacté des acheteurs potentiels.