Après son élection à la tête de La République en marche, Christophe Castaner, le nouveau délégué général du parti, s'est exprimé lors du congrès d'En Marche à Lyon samedi.
Christophe Castaner, durant son discours au congrès de La République en Marche ce samedi, a déclaré que son élection en tant que délégué général du mouvement "ne lui donne aucun droit, aucun privilège". "Elle ne me donne que des devoirs, et je souhaite en être digne", a-t-il ajouté.
Invité au congrès de La République en marche, le Premier ministre a remercié le parti de la majorité présidentielle, dont il n'est toujours pas membre, et réglé ses comptes avec Les Républicains.
Lors de son discours pendant le congrès de La République en Marche ce samedi, Edouard Philippe a salué Christophe Castaner, qui est devenu le délégué général du mouvement. "Depuis six mois, je n'ai eu qu'à me féliciter de ta compétence, de ton intelligence, de ta finesse et de ta loyauté la plus totale", lui a-t-il adressé. "Casta, c'est d'abord un accent tonique et joyeux", a-t-il poursuivi, saluant "la volonté de faire réussir l'équipe" de Christophe Castaner. "Je ne sais pas s'il sera un bon délégué, mais je peux vous garantir qu'il fera un excellent général", a-t-il conclu.
Le Premier ministre Edouard Philippe, lors du premier congrès de La République en Marche ce samedi à Lyon, a déclaré aux adhérents que "votre mouvement est en marche, rien ne l'arrêtera".
Le Premier ministre libanais démissionnaire Saad Hariri a été accueilli à l'Elysée par Emmanuel Macron ce samedi, dans le cadre d'une visite amicale. Les deux hommes doivent désormais s'entretenir ensemble.
Unique candidat, le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner, a été élu samedi délégué général de La République en marche
Christophe Castaner, seule candidat au poste de délégué général de La République en Marche, devrait prendre la tête du parti ce samedi, à l'occasion du premier conseil national du mouvement. Mais l'actuel porte-parole du gouvernement entend également conserver son poste au sein de l'exécutif. Pour se justifier, Christophe Castaner emploie l'argument de la rémunération. Il ne sera en effet pas payé pour être délégué général d'En Marche.
Le membre du bureau national du Parti socialiste a tweeté un montage présentant le Président avec un brassard nazi, la croix gammée remplacée par le signe dollar. Le Parti socialiste va engager une procédure d'exclusion.
Seul candidat en lice pour prendre la tête de La République en marche, Christophe Castaner devrait être élu ce samedi. Sera aussi choisi le bureau exécutif, pour lequel quatre listes sont en lice.
Les élus se sont vus refuser l'entrée d'Israël. Ils souhaitaient rencontrer le dirigeant palestinien emprisonné pour alerter sur la situation des prisonniers politiques sur place.
Ce vendredi 17 novembre 2017, Bernard Sananès, président de l'Institut de sondages Elabe, a analysé les positionnements politiques des Français. La part des Français qui n'a aucune position politique est notamment la plus nombreuse, avec 36% des voix. Mais où se situent réellement les Français dans le paysage politique ? - Les bonnes opinions, présenté par Bernard Sananès, sur BFMTV.
L'ex-candidat à la présidentielle quitte la présidence du mouvement Force républicaine qu'il cède à Bruno Retailleau. Il explique reconstruire "sa vie autrement" tout en restant "en alerte devant les grands défis du monde".
Olivier Besancenot a réagi aux propos de Jean-Luc Mélenchon sur la mobilisation contre la loi travail lors de son interview depuis Marseille sur BFMTV ce vendredi. Le leader de la France insoumise a affirmé vouloir faire converger les forces sociales et politiques pour protester contre la réforme du Code du travail. Selon lui, cela pourrait redonner du souffle à la mobilisation. Olivier Besancenot espère que le leader de la France insoumise "va croire à ce qu'il raconte lui-même". Le porte-parole du nouveau parti anticapitaliste défend qu'il n'y a "pas de place pour le sectarisme" et souhaite rencontrer Jean-Luc Mélenchon très rapidement.
Le leader de La France insoumise a dénoncé ce vendredi soir sur notre antenne la "division syndicale" qui a nui, selon lui, "d'une manière terrible" à la mobilisation contre les ordonnances réformant le Code du travail. Pour autant, il appelle toujours à la convergence "des forces politiques et sociales contre les politiques libérales" .
En direct ce vendredi sur notre antenne, le chef de file de La France insoumise s'est montré plutôt réticent à l'idée de voir le secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement conserver son poste tout en prenant la tête de la République en marche.
Jean-Luc Mélenchon, invité de Ruth Elkrief ce vendredi sur BFMTV, a confirmé qu'il était "absolument hostile à ce que la religion se mêle à la politique". Quand il s'est rendu ce lundi devant le Bataclan, à l'occasion des commémorations de l'attentat du 13-Novembre, Ruth Elkrief a noté que le chef de file des insoumis n’y avait pas prononcé les termes "terrorisme islamiste radical". Le président de la France insoumise a ainsi tenu à assurer qu'il était "un adversaire de l'islamisme politique".
Jean-Luc Mélenchon, invité de Ruth Elkrief ce vendredi sur BFMTV, estime qu'il n'y a pas de "contradiction à ce qu'un ministre soit le chef d'un parti". "Il faut arrêter de vouloir dépolitiser la vie politique", explique-t-il. En revanche, le chef de file de la France insoumise craint que ce soit problématique d'avoir un ministre chargé des Relations avec le Parlement qui soit également chef d'un parti. Selon lui, cette situation n'est "pas simple".
Invité de Ruth Elkrief ce vendredi sur BFMTV, Jean-Luc Mélenchon a commenté les récentes mobilisations contre la réforme du Code du travail voulue par Emmanuel Macron. Selon lui, la division entre les forces politiques et les syndicats les a considérablement affaiblis. Il a également précisé que la division au sein des syndicats et des associations avait "nui" à la mobilisation "de manière terrible". "Nous sommes responsables de ce désordre", a poursuivi le député des Bouches-du-Rhône.
Invité de Ruth Elkrief ce vendredi sur BFMTV, le président de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon affirme vouloir consolider son parti qu'il qualifie de "grande force progressive". "Les 17 députés de la France insoumise font rêver, ils sont jeunes, ils sont actifs", se réjouit le député des Bouches-du-Rhône. L'ancien candidat à l'élection présidentielle veut ainsi être dans la "transition" et dans la "transmission" tout en ne précisant pas s'il passera la main pour l'élection présidentielle de 2022.
Evoquant l'invitation "amicale" envoyée au Premier ministre libanais démissionnaire, Emmanuel Macron a rappelé vendredi après-midi que la France n'avait pas vocation à "s'immiscer dans les divisions nationales ou régionales".
La présence de parlementaires LREM sur une liste dissidente face à Christophe Castaner fait grincer des dents au sein du mouvement.
Emmanuel Macron a donné des précisions, ce vendredi à Göteborg en Suède à l'occasion d'un sommet social européen, sur la visite de Saad Hariri en France. Le président français recevra, ce samedi à midi à l'Elysée, le Premier ministre libanais démissionnaire. Le chef de l'Etat a qualifié cette rencontre d'amicale. "J'accueillerai demain à 12h15 le Premier ministre Hariri avec les honneurs qui sont dus à Premier ministre. Il est certes démissionnaire mais sa démission n'a pas encore été reconnue dans son pays puisqu'il ne s'y est pas rendu", a-t-il expliqué.
En acceptant de passer dans le camp macroniste, le Premier ministre Édouard Philippe a pris un risque politique qui le condamne à la réussite à Matignon.
Selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting, Alain Juppé serait un "atout" au sein du gouvernement pour 53% des Français.
Organisé pour répondre aux critiques sur le manque de démocratie interne du parti présidentiel, le débat entre les listes candidates au bureau exécutif de LaREM n'a pas vraiment réuni les foules.
Nicolas Hulot pourra-t-il rester au gouvernement si le feu vert est donné au projet en décembre? C'est peu probable. Au-delà de ce dossier à haut risque, pour le politologue Daniel Boy, le ministre qui apparaît éternellement sur la sellette est victime d'une malédiction qui a touché avant lui tous ses prédécesseurs à l'Ecologie.
Invitée par le magazine GQ à sa soirée récompensant les personnalités de l'année, Anne Hidalgo a repris avec d'autres invités la chanson de Joe Dassin qui moque les bouchons parisiens.
Le projet de loi sur le droit à l'erreur sera présenté fin novembre en Conseil des ministres.
La députée LaREM désapprouve le fait que Christophe Castaner n'exclue pas de cumuler le poste de délégué général du mouvement avec sa fonction de secrétaire d'Etat.
"Le mirage Macron va passer. L'alternative Mélenchon n'est pas la bonne, le chacun pour soi des leaders de droite n'est pas bon", a assuré Nicolas Dupont-Aignan sur BFMTV et RMC vendredi.
L'ancien chef de l'Etat reste persuadé qu'il aurait pu emporter l'élection présidentielle.
Sept Français sur 10 estiment que Christophe Castaner, actuel porte-parole du gouvernement, doit quitter l'Elysée s'il est élu samedi délégué général de La République en marche, selon un sondage Elabe réalisé par BFMTV. Même sentiment pour Christophe Barbier, éditorialiste politique de BFMTV: "Il ne faut pas qu'il reste au gouvernement".
Sept Français sur 10 estimaient que Christophe Castaner, actuel porte-parole du gouvernement, doit quitter l'Elysée s'il est élu samedi délégué général de La République en marche, selon un sondage Elabe réalisé par BFMTV. Il n'a pas exclu de rester secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement alors qu'il va être élu samedi délégué général de La République en marche. "À mon âge, je ne suis ni retraité, ni riche à tel point de pouvoir arrêter toute activité. Je ne suis pas rémunéré pour ce nouveau métier, je suis juste un animateur", explique-t-il au micro de BFMTV.
Une séquence est passée inaperçue lors du déplacement d'Emmanuel Macron dans le Nord. Lors de sa visite dans un quartier de Roubaix, le président de la République a échangé avec des jeunes de l'association Les Hauts Parleurs. L'une d'entre eux lui a posé une question qui fait écho à l'actualité du jour. Elle a interpellé le chef de l'État sur l'une de ses amies partie en Syrie. Il lui a répondu de manière franche et directe. - Les détails avec Salhia Brakhlia. - L'œil de Salhia, du lundi au jeudi, dans Grand Angle, sur BFMTV.
La quatrième journée de mobilisation contre la politique économique et sociale d'Emmanuel Macron se termine sur un échec. A Paris, seulement 8.000 personnes selon la préfecture - 40.000 selon la CGT - ont défilé. Observateurs et acteurs du débat expliquent pourquoi les opposants à l'exécutif semblent avoir perdu cette manche contre l'exécutif.
Bien qu'ils restent largement majoritaires, les Français sont moins nombreux à juger la présence de personnes riches en France utile à l'ensemble de la société, selon nu sondage Ifop.
Louis Mexandeau, ancien député et ministre de François Mitterrand, pensait avoir encore le droit de voyager gratuitement en train, et estime avoir été "humilié" en devant payer une amende.
Accusée d'emploi fictif par le magazine Capital, Anne Hidalgo produit une lettre de son ancien directeur de cabinet, qui atteste de la réalité de son emploi.
Le Premier ministre Edouard Philippe, en déplacement au Maroc ce jeudi, a rappelé que "le fait pour un ressortissant français d'être dans une zone de combat est pénalement répréhensible". "Tous ceux qui reviendraient sur le territoire national sont immédiatement soumis à une procédure pénale", a-t-il affirmé.
François Baroin estime qu'Emmanuel Macron mène une politique que la droite n'aurait aucun mal à endosser.
Manuel Valls, de retour sur le devant de la scène autour des débats sur l'islamisme radical et la laïcité, ne cache pas son envie de participer à nouveau à un gouvernement.
Deux d'entre eux ont témoigné dimanche à la télévision. Ils ont annoncé ce jeudi vouloir engager une procédure contre l'élu, dont ils ont choisi de taire le nom jusqu'à l'enregistrement de la plainte.
L'ancienne ministre de la Santé et des Sports Roselyne Bachelot a été condamnée pour diffamation pour avoir accusé le tennisman Rafael Nadal de dopage.
A Paris ou Marseille, les opposants à la politique "libérale" du président Emmanuel Macron se mobilisent jeudi pour la quatrième fois depuis la rentrée pour dénoncer les ordonnances, en vigueur depuis septembre, espérant être entendus par un gouvernement déterminé et déjà passé à d'autres réformes. A Nantes, des affrontements ont éclaté dans la matinée avec les forces de l'ordre.
Le leader de Force Ouvrière Jean-Claude Mailly a déclaré jeudi défiler à Marseille à l'occasion de la journée de mobilisation nationale contre les réformes portées par Emmanuel Macron pour "tirer la sonnette d'alarme" contre "la politique libérale" du gouvernement. "C'est l'occasion de prendre date pour les projets à venir" a-t-il aussi estimé.
"La division syndicale nous a coûté très cher, et la séparation du politique et du syndical tout autant. il y a des milliers, des millions de militants politiques engagés qui sont prêts à entrer dans l’action, mais à condition qu’on les appelle à une action qui leur semble avoir du sens", a estimé le député Jean-Luc Mélenchon lors de la 4e journée de mobilisation, mercredi, contre les ordonnances.
En amont du débat entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron, Henri Guaino aurait envoyé par mail deux textes à Gilbert Collard, député frontiste. L'un portait sur la France, l'autre sur les Français d'Algérie. Tous deux adressés à Emmanuel Macron, ils sont soupçonnés d'avoir été destinés à la conclusion de Marine Le Pen.
Laurianne Deniaud, présidente du MJS avant Thierry Marchal-Beck, raconte les agressions subies alors qu'elle participait aux instances nationales du PS.
