Invitée ce jeudi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, la candidate à la présidence des Républicains Florence Portelli s'en est prise à son adversaire Laurent Wauquiez. "Je ne comprends pas pourquoi il ne veut pas débattre avec ses amis politiques", a-t-elle affirmé. "On n'est pas en Corée du Nord", a-t-elle ajouté.
Invitée ce jeudi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, la candidate à la présidence des Républicains Florence Portelli a évoqué l'identité de son parti. Contrairement à Alain Juppé, la candidate n'est pas favorable à un élargissement de la droite. "On ne sait plus qui on est", a-t-elle dénoncé.
A quelques heures du débat opposant les 4 listes pour la direction du parti, de plus en plus d'élus s'élèvent contre les modalités du scrutin et le manque de démocratie interne.
Dans une chronique intitulée "L’égout médiatique crache à pleins tuyaux" et publiée sur son blog ce mercredi, Jean-Luc Mélenchon s'en prend à Capital et L'Express qui sont en train d'enquêter sur son patrimoine. Le leader de la France insoumise a même rendu public les questions qui lui ont été envoyées, qu'il juge malveillantes. En cause: un appartement à Paris et une permanence dans l’Essonne lorsqu’il en était sénateur.
Christophe Castaner prendra samedi la tête de la République en Marche. Encore un homme choisi pour un poste stratégique autour du président. Et pour le remplacer au porte-parolat, il n'y a que des hommes qui sont pressentis. Un casting principalement masculin qui agace jusque dans les rangs d'En Marche. Pourtant, la parité est respectée au gouvernement. Mais aussi À l'Assemblée nationale. Le parti présidentiel est le plus féminin (47%). Les détails avec Salhia Brakhlia. - L'œil de Salhia, du lundi au jeudi, dans Grand Angle, sur BFMTV.
En début de semaine, une centaine de marcheurs a annoncé sa démission de LREM dans une tribune. Alors que le parti se voulait loin des pratiques politiciennes classiques, un certain nombre de ses membres pointent un manque de "démocratie" ou d’"éthique". Cyrille Marques, maire de Bergnicourt dans les Ardennes, et Saïd Ahamada, député LREM des Bouches-du-Rhône, ont expliqué à BFMTV les raisons de leur désaccord avec le mouvement.
Emmanuel Macron a déclaré ce mercredi avoir "invité pour quelques jours en France" l'ex-Premier ministre libanais Saad Hariri et sa famille. "C'est un geste d'amitié et une volonté marquée de la France de contribuer au retour au calme et à la stabilité au Liban", a estimé le président de la République.
Invité de Ruth Elkrief, Julien Denormandie s'est exprimé ce mercredi à propos du sondage selon lequel 6 français sur 10 considèrent que le mouvement politique En Marche est un parti comme les autres. Le secrétaire d'Etat à la Cohésion des territoires a tenu à inverser la lecture de ce sondage. Selon lui, "4 Français sur 10 considèrent que le mouvement politique En Marche est un mouvement différent". "Aujourd'hui, le mouvement politique En Marche est considéré comme un mouvement central par les Français", a-t-il ajouté.
Dans un article du Point, on apprend que Nicolas Hulot a peu apprécié la forme qui lui a été imposée pour l'annonce de la réduction des ambitions dans la part future de l'électricité nucléaire. Au-delà, le ministre de la Transition écologique fait part de son "isolement" au sein de l'exécutif.
L'ancien président du Mouvement des Jeunes socialistes Thierry Marchal-Beck est accusé par huit femmes de harcèlement et d'agressions sexuelles, ainsi que d'abus de pouvoir. En août 2013, à l'occasion de l'université d'été du Parti socialiste, il avait pourtant pris la défense de la cause des femmes. "Les violences faites aux femmes reculent, même si elles demeurent un fléau", a-t-il notamment lancé, se projetant dans la France de 2025.
Christophe Castaner s'apprête à prendre la direction de La République en marche, lors d'un congrès ce samedi. Pourtant, il est prévu qu'il reste au gouvernement en sa qualité de secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement. Pour sept Français sur dix, il devrait au contraire renoncer à une fonction gouvernementale.
Les députés Insoumis et communistes ont quitté mercredi l'hémicycle de l'Assemblée pendant les questions au gouvernement pour protester contre des propos virulents du député UDI franco-israélien Meyer Habib au sujet des Palestiniens Salah Hamouri et Marwan Barghouti. "Quand le Quai d'Orsay a déclaré espérer la libération de Salah Hamouri, j'ai eu honte. Salah Hamouri est un terroriste, pas un prisonnier politique", a estimé Meyer Habib, alors que les Insoumis commençaient à quitter leurs bancs.
Présent mercredi et jeudi à Bonn, en Allemagne, pour la 23e conférence de l'ONU sur le climat, le président de la République a pris la parole à la tribune, où il a sonné l'alarme, estimant que le "seuil de l'irréversible a été franchi".
Militant pour Lionel Jospin et Barack Obama, Thierry Marchal-Beck, ancien président du Mouvement des jeunes socialistes accusé de harcèlement et d'agressions sexuelles par huit femmes, a rapidement grimpé les échelons politiques. Jusqu'à intégrer le cabinet d'un ministre.
Christophe Castaner a pris la tête de la République en marche (LaRem) ce samedi lors du conseil national à Lyon. À 51 ans, le porte-parole du gouvernement connait une ascension fulgurante depuis l’élection d’Emmanuel Macron. Ancien député-maire socialiste, il est peu connu du grand public et a un parcours atypique. Fâché avec son père pendant des années, rocardien et aussi chauffeur de salle, voici 5 choses que vous devez savoir sur Christophe Castaner.
Le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner, lors du compte-rendu du Conseil des ministres ce mercredi, a affirmé que "ça n'est pas embarrassant que l'Elysée ne se mêle pas d'une polémique entre un député, fusse-t-il Manuel Valls, et un journal". "Heureusement d'ailleurs", a-t-il ajouté. Christophe Castaner a également déclaré que "la seule limite à la croyance est la République", en évoquant la question de la laïcité.
Lors de la conférence des présidents, qui réunit les chefs de files des groupes parlementaires et des commissions, le président de l'Assemblée nationale, François de Rugy, a rappelé les élus à l'ordre sur leur comportement.
Alors que deux anciens assistants parlementaires accusent un député de harcèlement sexuel, le vice-président du parti a mis en garde contre "la caricature permanente" et dénoncé les "tweets antisémites" de l'un d'eux.
Si l'élection du délégué général semble acquise, quatre listes sont en concurrence pour le bureau exécutif du parti. Les candidats pourront débattre jeudi soir.
Le directeur de Charlie Hebdo a accusé le directeur du site d'information Mediapart, Edwy Plenel, de "condamner à mort une deuxième fois" sa rédaction en disant que le journal satirique prenait part à une campagne "générale" de "guerre aux musulmans". "Charlie Hebdo n'a nulle envie de faire la guerre à quiconque", a ainsi répondu Riss. Christophe Barbier, éditorialiste politique BFMTV estime que "Charlie Hebdo a eu raison de monter en ligne" avec sa Une reprenant quatre visages d'Edwy Plenel.
Les deux publications, autrefois proches idéologiquement, se livrent aujourd'hui à une guerre par éditoriaux interposés.
"Je veux qu’il recule, je veux qu’il rende gorge, je veux qu’il soit écarté du débat public, je veux qu’il perde son combat", a déclaré Manuel Valls, ancien Premier ministre et député de l’Essonne ce mercredi 15 novembre sur BFMTV et RMC. "C’est nous qui protégeons les musulmans de France et pas Plenel et ses sbires", a-t-il poursuivi.
"Edwy Plenel est un grand journaliste qui a été le patron de la rédaction du Monde, qui a créé Mediapart", mais quand "on reprend la phrase exacte d’Edwy Plenel c’est très grave, c’est un appel au meurtre", a estimé Manuel Valls, ancien Premier ministre et député de l’Essonne ce mercredi 15 novembre sur BFMTV et RMC.
La fondateur de Mediapart avait accusé Charlie Hebdo et une frange de la classe politique, Manuel Valls en tête, d'être obsédés par faire "la guerre aux musulmans".
"Il y a des policiers courageux qui rentrent dans ces quartiers mais parfois j’ai le sentiment que dans certains quartiers, on a perdu la bataille de l’islamisme radical", a affirmé Manuel Valls, ancien Premier ministre et député de l’Essonne ce mercredi 15 novembre sur BFMTV et RMC.
Une centaine de marcheurs a annoncé sa démission ce mardi dans une tribune, à quelques jours seulement du Congrès qui doit fonder officiellement La République en Marche. Ces frondeurs estiment qu’ils ne trouvent plus de "démocratie" ou d’"éthique" dans le mouvement fondé par Emmanuel Macron. Si du côté du parti certains voient ces départs comme une goutte d’eau dans l’océan, d’autres refusent de sous-estimer ces remous en interne.
Christophe Castaner devrait prendre la tête de la République en Marche dans les prochains jours. À 51 ans, le porte-parole du gouvernement connait une ascension fulgurante depuis l’élection d’Emmanuel Macron. Ancien député-maire socialiste, il est peu connu du grand public et a un parcours atypique. Lorsqu’il était jeune, Christophe Castaner avait par exemple passé quelques années à la marge après une violente dispute avec son père. Devenu joueur de poker, il a ensuite fait ses études de droits à Aix-en-Provence et est également devenu rocardien avant d’entrer formellement dans la politique.
Thierry Marchal-Beck, ancien président du Mouvement des jeunes socialistes, est visé par plusieurs accusations de harcèlement et d'agressions sexuelles.
Pour ou contre la peine de mort, l’euro ou encore le mariage pour tous…Le Front national a dévoilé ce mardi sa "grande consultation", un document de près de 80 questions visant à mieux connaître ses adhérents. Suite à son large échec au second tour de la présidentielle et au départ de Florian Philippot, Marine Le Pen cherche à rebondir et à retrouver une légitimité en s'attelant à la rénovation du parti. Les 81.000 adhérents sont donc appelés à renseigner ce qu'ils veulent voir changer dans le fonctionnement du parti en vue du congrès de mars prochain à Lille.
Benjamin Griveaux était l'invité de Ruth Elkrief ce mardi soir sur notre antenne. Alors que le mouvement a été comparé à une secte par un ancien "marcheur", le secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Economie a cherché à contrer l'attaque.
Israël refuse que des élus français, dont quatre députés et un sénateur, entrent sur son territoire pour rencontrer Marwan Barghouti, le dirigeant palestinien emprisonné.
Guy Contrastin est l'un des 100 signataires d'une tribune de militants de La République en marche pour annoncer leur départ du mouvement, dont ils critiquent le manque de démocratie interne. Guy Contrastin est revenu sur cette désillusion collective sur notre antenne ce mardi.
Guy Contrastin, signataire de la tribune "100 démocrates" qui explique les motivations ayant poussé 100 adhérents d’En Marche à démissionner, a estimé ce mardi sur BFMTV que le parti fonctionne "comme dans une secte". "Les ordres et les idées viennent du haut, […] on doit appliquer à la lettre", a-t-il regretté, ajoutant que "ce mode de management était peut-être admissible au 18ème siècle".
Le secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Economie Benjamin Griveaux, invité de Ruth Elkrief sur BFMTV ce mardi, a affirmé que La République en marche "est tout sauf une secte". "Il y a une centaine de personnes qui se manifestent sur 386.000, on peut considérer que c'est l'épaisseur du trait", a-t-il également considéré, évoquant les 100 adhérents qui ont décidé de quitter le parti.
La République en marche se donne jusqu'au 4 décembre pour recueillir les contributions susceptibles d'enrichir le projet de loi qui sera porté par la secrétaire d'Etat Marlène Schiappa en 2018.
Le chef de l'Etat a répondu à l'appel de Grigny lancé par les maires de 30 villes en difficulté le mois dernier. Il s'est rendu à Roubaix puis Tourcoing, ce mardi, pour rencontrer des maires et des acteurs locaux. Le président a dévoilé un plan d'action pour répondre aux besoins des villes "où on a, en quelque sorte, concentré toutes les difficultés". Son objectif est de "restaurer la République et parvenir à l'émancipation, la mobilité des personnes". Cette série de mesures s'inscrit dans le budget 2018.
Emmanuel Macron a précisé son plan d'action en matière de politique de la ville lors de son déplacement à Tourcoing, ce mardi. Une aide publique sera apportée aux entreprises pour encourager les entreprises à embaucher des personnes issues des quartiers défavorisés. Le président a annoncé une prime de 5000 euros par an pour chaque embauche en CDI et 2500 euros pour un CDD de deux ans et plus. Pour le chef de l'Etat, ce soutien public s'inscrit dans "la lutte contre la discrimination".
Malgré le démenti de l'un des témoins de son enquête, le magazine Capital maintient ses accusations d'emploi fictif à l'encontre de la maire de Paris.
Le président de la République a annoncé mardi qu'il allait ouvrir de nouveaux internats d'excellence dans les zones "les plus rurales" et "les plus urbaines". Ce dispositif, impulsé par Nicolas Sarkozy en 2008, a connu quelques évolutions sous l'ère de François Hollande.
On imagine souvent les catholiques voter à droite, et se mobiliser avec elle. Pour une bonne partie d'entre eux, c'est le cas, selon les études d'opinion. Or, depuis quelques années, on assiste à un phénomène nouveau: des catholiques, jeunes en général, n'hésitent plus à se réapproprier des thèmes chers à la gauche radicale, voire à voter pour celle-ci.
Le ministre de l'Intérieur a été interrogé ce mardi à l'Assemblée sur le suicide de six policiers et de deux gendarmes la semaine passée en France. Gérard Collomb, "il est incontestable que la dureté des tâches ne peut être éludé". "Ils sont confrontés à la violence, à la part la plus sombre de notre société", a-t-il affirmé. "J'ai demandé une évaluation pour qu'à l'avenir nous puissions venir en aide à chacune et à chacun", a annoncé le ministre.
Jean-Louis Borloo reprend du service pour aider Emmanuel Macron dans la mise en place de sa politique de la ville.
Comme ses prédécesseurs, Emmanuel Macron veut acter du "retour de l'Etat dans les quartiers". Le président a annoncé un train de mesures relevant tantôt du social, tantôt d'un renforcement des moyens sécuritaires. Sans oublier une part faite à l'éducation.
100 adhérents de La République en marche ont annoncé dans une tribune leur départ du mouvement, en dénonçant un manque de démocratie au sein du parti et un manque de représentation de la base militante. Ils contestent également le mode d’élection du futur président du parti, qui devrait être Christophe Castaner.
Contraint à un aggiornamento par les défaites électorales et le départ de Florian Philippot, le Front national tente de se trouver un cap politique en interrogeant ses adhérents.
