"Un Homme réservé, droit, courageux, qui ne trahissait pas". L'ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, a rendu un hommage appuyé à Charles Pasqua, mardi à Grasse, dans le sud de la France.
"Il faut sortir d'une certaine forme d'hypocrisie, La Grec incapable de rembourser sa dette au rythme auquel on lui demande", a expliqué mardi Jean-Marc Ayrault. Si Lancien Premier ministre socialiste est contre un compromis "à n'importer quel prix", il estime qu'il faut le rechercher absolument.
Les deux parlementaires écologistes ont créé leur club de réflexion au sein du parti. Mais démentent tout projet de scission.
Le ministre de l'Economie a estimé lundi que le Front national était "une forme de Syriza à la française". La présidente du FN a estimé mardi sur BFMTV qu'il existait "un point commun" entre les deux partis. "Syriza a pris la tête de la lutte contre l'Union européenne, contre son aspect totalitaire, contre l'oubli de son peuple par les instances européennes et c'est vrai que le Front national aussi a pris cette tête en France", a développé Marine Le Pen.
"Nous ne sommes pas de vraies démocraties", a estimé ce mardi matin Dominique de Villepin sur BFMTV et RMC. "Nous sommes des démocraties médiatiques". "Nos dirigeants parlent pour les caméras, ils disent ce qu’ils croient que l’opinion a envie d’entendre. Ils ont oublié les peuples", a déclaré l’ancien Premier ministre, déplorant dans le même temps l’absence d’un grand projet européen pour développer l’Afrique. "C’est là qu’est la croissance ", a estimé Dominique de Villepin.
Invité ce mardi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Dominique de Villepin est revenu sur le profil d’Alexis Tsipras. "Nous avons aujourd’hui la chance, je dis bien la chance, d’avoir un jeune Premier ministre grec. Il est crédible aux yeux d’une large partie de l’opinion grecque et il est indépendant. La Grèce retrouve sa fierté", a déclaré l'ancien ministre des Affaires étrangères. "Il peut engager, pour la première fois sans doute, son pays (…) Nous avons un vrai leader", a indiqué l’ancien Premier ministre.
L'ancien Premier ministre appelle sur BFMTV et RMC à faire preuve d'"'imagination" pour régler la crise grecque. Et se dit "affligé" par "l'aveuglement" des démocraties européennes.
Après le "non" au plan d'aide des créanciers lors du référendum en Grèce ce dimanche, c'est toute la classe politique qui a réagi ce lundi. La droite reste divisée et la gauche espère un accord. Au Front National, on se réjouit du refus des diktats européens. Jean-Luc Mélenchon, quant à lui, applaudit le choix grec et soutient Alexis Tsipras.
Après le "non" au plan d'aide des créanciers lors du référendum en Grèce ce dimanche, Alain Juppé souhaite que la zone euro soit "stabilisée" et non "fragilisée". "Il faut que les règles et les disciplines qui l'a gouvernent soient respectées par tout le monde", a indiqué le maire de Bordeaux, précisant que ce n'était, "jusqu'à présent", pas le cas de la Grèce. "Les choses peuvent évoluer. La démission du flamboyant ministre des Finances grec est peut être un signe dans ce sens", a ajouté l'élu des Républicains.
Après le "non" au plan d'aide des créanciers lors du référendum en Grèce ce dimanche, Marine Le Pen a estimé que "l'Union européenne ne serait plus jamais comme avant". "Il faut maintenant exiger que la BCE arrête ses comportements d'abus de pouvoir et l'étranglement de la Grèce du fait de la privation des liquidités", a indiqué la présidente du Front national au micro de BFMTV. "Je pense qu'il faut constater l'échec de l'euro et se concerter pour organiser le retour aux monnaies nationales", a-t-elle ajouté.
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Stéphane Le Foll est revenu sur le "non" au plan des créanciers lors du référendum grec ce dimanche. "La France souhaite que la Grèce, notamment son Premier ministre, fasse des propositions", a déclaré le porte-parole du gouvernement, précisant qu'il était favorable à la reprise des négociations. "Il va falloir prendre en compte à la fois ce qui a été exprimé par le peuple grec, l'intérêt de l'Europe dans son ensemble et aussi les intérêts de chacun des peuples", a-t-il ajouté.
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Stéphane Le Foll est revenu sur la démission du ministre des Finances grec, Yanis Varoufakis. "Il a tenu des propos inacceptables sur le terrorisme qui aurait été exercé par certains créanciers", a estimé le porte-parole du gouvernement. "On a besoin aujourd'hui de se respecter (…) Il faut faire des compromis. On ne peut pas se renvoyer des arguments qui n'en sont pas", a-t-il ajouté.
Au micro de Jean-Jacques Bourdin, le ministre de l'Agriculture a affirmé que la balle était désormais dans le camp de la Grèce, qui doit désormais "faire des propositions" pour reprendre les négociations. Il a également pointé du doigt le discours de Yanis Varoufakis, le ministre des finances grecs qui a démissionné lundi matin.
Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a salué dimanche "le magnifique geste de la Grèce" alors que le non est donné à 61,21% sur la moitié des bulletins dépouillés. "Maintenant il faut voir la suite", ajoute Nicolas Dupont-Aignan, qui signifie pour lui "la sortie de la Grèce de l'euro".
Jean-Luc Mélenchon, eurodéputé du Front de gauche, se réjouit dimanche soir de la probable victoire du non au référendum grec sur les mesures prônées par les créanciers du pays pour le renflouer. "Maintenant on peut commencer à discuter sérieusement en Europe", lance Jean-Luc Mélenchon.
Eric Woerth, chargé du projet des Républicains invité de BFMTV, a réagi aux premières tendances donnant le non en tête au référendum grec. Il voit dans ce non "une sorte d'impasse": "personne ne veut que la Grèce sorte de la zone euro, pourtant elle se place elle-même dans l'antichambre de la sortie", analyse l'ancien ministre du Budget.
Entre "impasse" et "bouffée d'oxygène", les responsables politiques français ont les yeux rivés sur les résultats du référendum grec et en tirent de premières conclusions.
Au micro de Ruth Elkrief, le ministre de l'Économie a affirmé que la France travaillerait à trouver "un bon compromis" avec la Grèce dès lundi, quel que soit le résultat du référendum.
Jean-Luc Mélenchon est prêt pour 2017, il l’a affirmé dimanche en clôture du congrès du Parti de gauche. Le leader du parti se rêve à la tête d’un mouvement à la manière d’Alexis Tsipras.
Le référendum grec a occupé une bonne place dans le discours de Jean-Luc Mélenchon, dimanche en clôture du congrès du Parti de gauche. Le leader du parti se rêve à la tête d'un mouvement à la manière d'Alexis Tsipras et affiche son objectif: la présidentielle 2017.
Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron tente de poursuivre les efforts de conciliation de la France dans la crise grecque. Au micro de Ruth Elkrief, il affirme que même si les Grecs votaient non au référendum, "la réponse ne peut pas être une sortie automatique" de la zone euro. Le ministre ajoute que "la France travaillera à un compromis" dès lundi avec la Grèce.
L'ancien ministre du Travail, aujourd'hui candidat à la présidence de la région Nord, a reconnu l'échec du gouvernement Sarkozy sur la question économique du pays. Mais assure avoir "des solutions", pour montrer que "sur une région, c'est possible".
Invité à la troisième édition de la Fête de la violette en Sologne, le président des Républicains a taclé la gestion de François Hollande et appelé son parti au rassemblement en vue de la présidentielle de 2017.
Le président des Républicains s'est rendu samedi à la fête de la violette en Sologne, organisée par Guillaume Peltier et Geoffroy Didier, du courant de la droite forte. Devant près de 3.500 personnes, Nicolas Sarkozy a envoyé quelques tacles à la majorité, avant d'appeler son propre parti au rassemblement en vue de 2017. Avec l'UDI, "il va falloir se serrer les coudes, être forts, courageux, il va falloir être totalement déterminés, il va falloir être rassemblés", a-t-il lancé devant ses supporteurs.
Pour la deuxième fois en un an, le maire Front national d’Hayange Fabien Engelmann est lâché par son premier adjoint. Son entourage l’accuse une nouvelle fois d’irrégularités dans sa campagne.
Afin de faciliter la réussite des redoublants de terminale au bac, la ministre de l'Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, prévoit d'instaurer dès 2016 la conservation des notes égales ou supérieures à 10 d'une année à l'autre. "Cela sert pour la deuxième fois à se concentrer sur les matières dans lesquelles on n’avait pas eu de notes supérieures à la moyenne", explique la ministre. Les syndicats d'enseignants, eux, pointent le risque d'emplois du temps à la carte.
La ministre de l'Education s'est exprimée jeudi au sujet d'un projet de décret concernant le bac. Il consisterait à encourager ceux qui ont échoué à repasser le bac en leur permettant de conserver leurs notes au-dessus de 10. "Ça ne dispense en aucun cas d'assister aux cours", précise Najat Vallaud-Belkacem.
