La chancelière allemande Angela Merkel a "fermement" rejeté jeudi 28 juillet les appels à remettre en cause l'accueil des migrants dans son pays après deux attentats perpétrés par des réfugiés.
Le profil du jeune homme qui a abattu 9 personnes dans un centre commercial à Munich, vendredi dernier, se dessine. Outre ses antécédents psychiatriques, on sait désormais qu'il nourrissait des sympathies pour les idées d'extrême droite.
Un patient a tué par balle un médecin avant de se suicider, mardi 26 juillet, à l’hôpital Benjamin-Franklin de Berlin-Steglitz selon la police allemande. Elle a précisé ne pas avoir "d'indices d'un attentat".
Après plusieurs attaques commises en Allemagne, notamment par des demandeurs d'asile, la chancelière doit affronter de nouvelles pressions sur sa politique migratoire, à un an des élections fédérales.
L'homme qui s'est fait exploser à Ansbach, dans le sud de l'Allemagne, avait prêté allégeance à Daesh. Une vidéo a été retrouvée dans son téléphone portable.
Le ministre de l'Intérieur allemand a rejeté lundi 25 juillet tout "soupçon généralisé" à l'encontre des réfugiés après les attaques perpétrées ces derniers jours en Allemagne.
L'Allemagne est en deuil après un week-end marqué par trois actes d'une rare violence dans le pays. Deux attaques terroristes et un fait divers ont fait trembler le pays.
Souffrant de troubles psychiatriques, l'auteur est mort dans l'explosion, qui a également fait 12 blessés. Les autorités allemandes parlent d'un "attentat".
Deux jours après la fusillade qui a fait 9 morts à Munich, en Allemagne, la police a annoncé avoir arrêté un proche du tueur. Un adolescent de 16 ans qui aurait eu connaissance de ce projet meurtrier et ne l'aurait pas dénoncé.
La police allemande a interpellé un demandeur d'asile syrien qui a tué une femme avec une machette, dimanche, à Reutlingen en Allemagne. Pour l'heure, il n'y a pas d'éléments indiquant "un attentat terroriste".
Le Germano-Iranien de 18 ans qui a tué 9 personnes et blessé 35 autres, vendredi, avait, selon les dernières révélations de la police allemande, préparé son attaque de longue date. Quant aux victimes, elles ont été abattues au hasard.
Les enquêteurs ont rapidement écarté la piste terroriste après la fusillade dans un centre commercial de Munich, vendredi. Mais des incertitudes persistent, notamment sur les motivations du jeune tireur qui avait organisé la tuerie.
La fusillade fait 9 morts et 16 blessés à Munich vendredi a été perpétrée par un jeune forcené souffrant de problèmes psychiatriques, sans rapport avec le jihadisme, et fasciné par le massacre commis il y a tout juste cinq ans par Breivik en Norvège.
La dirigeante conservatrice a rendu hommage aux Munichois au lendemain de la fusillade perpétrée à Munich.
La police allemande a annoncé samedi lors d'une conférence de presse n'avoir trouvé aucune preuve que l'attaque perpétrée par un homme à Munich vendredi avait un lien avec Daesh.
L'Iran a exprimé sa solidarité après l'attaque qui a fait 9 morts et 16 blessés dans un centre commercial de Munich, en Allemagne, vendredi soir.
Après la fusillade de Munich, aucun lien n'a été fait entre la tuerie et un acte de terrorisme lié à une idéologie islamiste radicale. Mais l'ombre de cette dernière pèse de tout son poids, l'Allemagne se trouvant dans un contexte particulier, marqué par la menace terroriste.
Une fusillade a éclaté vendredi en début de soirée dans un centre commercial de Munich, dans le sud de l'Allemagne. L'auteur présumé de la tuerie s'est suicidé en laissant neuf morts derrière lui.
Une fusillade a éclaté vendredi après-midi dans un centre commercial près du stade olympique de Munich, dans le sud de l'Allemagne. Il y a au moins dix morts et plusieurs blessés graves, selon un bilan provisoire de la police qui recherche activement jusqu'à trois suspects.
A Munich, après une fusillade, la police évoque un suspect retrouvé mort qui "aurait probablement agi seul". En début de soirée il a frappé un centre commercial faisant au moins dix morts.
Quatre personnes ont été grièvement blessées lors d'une attaque à la hache lundi soir dans un train régional en Bavière, dans le sud de l'Allemagne. L'assaillant était un demandeur d'asile afghan âgé de 17 ans. Retour sur cette attaque revendiquée par Daesh.
Attaquer les passagers d'un train avec une hache, tel a été le mode opératoire d'un jeune réfugié qui a grièvement blessé quatre personnes lundi soir.
Un drapeau de Daesh a été retrouvé au domicile de l'homme qui a agressé 21 personnes à la hache dans un train en Allemagne, lundi 18 juillet dans la nuit. L'organisation terroriste a revendiqué l'attaque.
Un Afghan de 17 ans a agressé des passagers d'un train lundi soir dans le sud de l'Allemagne. Il a été abattu par la police. Un drapeau de Daesh qui revendique mardi l'attaque, a été retrouvé à son domicile. Pourtant, les autorités allemandes n'ont à ce stade "aucun indice" montrant que le jeune homme était connecté avec l'organisation terroriste.
La fuite d'un rapport de la police allemande dans la presse révèle que le nombre d'agressions sexuelles durant la nuit du Nouvel an est beaucoup plus élevé que les chiffres officiellement révélés.
