"Nous demandons que le Conseil de sécurité de l'ONU prenne des mesures immédiates pour démiliratariser la zone d'excusion de Tchernobyl", dit la Première ministre ukrainienne ce dimanche.
Ce lundi marque le 33e jour de l'agression russe contre l'Ukraine. Des incendies ont été constatés dans la région de Tchernobyl, et Kiev demande la "démilitarisation" de la zone de la centrale.
L'attaque, revendiquée par le groupe État islamique, intervient alors qu'Israël accueille un sommet réunissant les États-Unis, l'Égypte, des Émirats, du Bahreïn et du Maroc au sud du pays.
Il s'agit "d'un projet visant à atteindre des millions de personnes dans le monde entier pour aider les Ukrainiens à vivre la guerre et à la gagner", ont souligné les organisateurs.
Maria Radionova a survécu au bombardement du théâtre de Marioupol. Au micro de BFMTV, elle raconte la panique qui a suivi l'attaque de l'aviation russe.
Volodymyr Zelensky a assuré que ce point précis des négociations devrait être soumis à référendum.
Les Ukrainiens ont-ils raison de ne pas croire au revirement stratégique annoncé par l'armée russe ? Les évènements de ce samedi ont en effet de quoi interroger. Quelques heures après avoir affirmé concentrer ses efforts sur le Donbass, les forces russes ont frappé à l'ouest. Deux missiles ont touché Lviv. Cette ville située à quelques kilomètres de la frontière polonaise était devenue une zone de repli pour de nombreux déplacés et était, jusqu'ici, relativement épargnée.
Ce port stratégique du sud-est du pays assiégé depuis la fin février.
Vendredi, le commandement russe avait créé la surprise en annonçant "concentrer le gros des efforts sur l'objectif principal: la libération" du bassin minier du Donbass.
Le passé colonial et esclavagiste du Royaume-Uni s'est invité en pleine tournée caribéenne du prince William et de Kate Middleton.
L'Irak partage une frontière de plus de 600 km de long avec son voisin syrien.
Alors que les combats semblent se concentrer sur l'est du pays, Kiev estime que la situation à Marioupol pourrait encore se dégrader dans les jours à venir.
L'envoyé spécial de BFMTV, Boris Kharlamoff, fait le point sur la situation dans la capitale ukrainienne, au 32e jour de l'offensive russe.
La directrice des hôpitaux du nord de l'Ukraine, Yuliya Siedaia, était l'invitée de BFMTV.
Des tranchées, une vie sous-terraine et des armées toujours sur le qui-vive. Pour ces soldats, Mykolaïv peut être l’une des ultimes prises de Vladimir Poutine.
Iuliia Mendel, ancienne porte-parole du président ukrainien était l'invitée de BFMTV.
Iuliia Mendel, ancienne porte-parole du président ukrainien était l'invitée de BFMTV.
Ils sont encore des dizaines de milliers à vivre dans ce port stratégique de la mer d’Azov. Des civils, bloqués sans eau ni électricité depuis des semaines à Marioupol. Emmanuel Macron veut faire évacuer les Ukrainiens mais l’opération humanitaire, qui dépend de la volonté des forces russes, s’annonce d’ores et déjà compliquée.
Le candidat Reconquête ! à l’élection présidentielle, Éric Zemmour, était en meeting ce dimanche après-midi sur la place du Trocadéro, à Paris.
La Pologne accueille à elle seule environ six réfugiés sur dix, soit plus de deux millions de personnes. En France, environ 26.000 Ukrainiens ont gagné le territoire, parfois simplement en transit.
Serhiy Kiral, le maire adjoint de Lviv, à l'ouest de l'Ukraine, était ce dimanche invité de BFMTV, alors que des bombardements ont été observés sur sa ville. Il a demandé "un soutien constant et régulier" de la communauté internationale.
Territoire ukrainien, la Crimée avait été annexée par la Russie en 2014 après un vote de la population locale sans que le scrutin ne soit reconnu par la communauté internationale.
Le président des États-Unis a eu des propos particulièrement violents à l'égard de son homologue russe, alors que les Européens privilégient une approche plus diplomatique envers la Russie après l'invasion de l'Ukraine.
À Kharkiv, dans l'est de l'Ukraine, des milliers d'habitants continuent de se terrer dans les stations de métro. La deuxième plus grande ville du pays est toujours la cible d'assauts aériens menés par la Russie.
En visite en Pologne, Joe Biden s'en est pris verbalement à Vladimir Poutine. Le président américain a qualifié son homologue russe de "boucher" et de "dictateur", des mots jamais entendus envers un dirigeant russe, même en période de guerre froide.
Le président des États-Unis a violemment attaqué son homologue russe samedi, le qualifiant de "boucher" et assurant qu'il ne pouvait "pas rester au pouvoir", avant que la Maison Blanche ne nuance ses propos.
La directrice générale de l'UNICEF France Ann Avril était ce dimanche invitée de BFMTV. Elle a affirmé qu'"il n'y a jamais eu autant d'enfants déplacés en si peu de temps". "C'est un traumatisme profond pour eux", a-t-elle ajouté.
Le président ukrainien a demandé samedi soir aux pays de l'Otan d'envoyer plus d'armement à l'Ukraine afin de faire face à l'invasion russe, assurant attendre cette aide depuis "31 jours", soit le début du conflit.
Plus d’un mois après le début de l’offensive russe, les soldats de Moscou opèrent sur plusieurs fronts. Près de la frontière à l’est, la ville de Kharkiv est encerclée et quotidiennement pilonnée. Dans la ville déjà martyre lors de la seconde guerre mondiale, les civils encore présents composent avec les tirs de roquettes et missiles.
En Norvège, des troupes de l'OTAN ont fait une simulation samedi afin de se préparer en cas d'attaque chimique. Cet exercice militaire était prévu depuis des mois, mais prend une autre dimension avec la guerre en Ukraine.
En visite en Pologne, Joe Biden s'en est pris verbalement à Vladimir Poutine. Le président américain a qualifié son homologue russe de "boucher" et de "dictateur", des mots jamais entendus envers un dirigeant russe, même en période de guerre froide.
Le président des Etats-Unis a assuré samedi que son homologue russe ne pouvait pas "rester au pouvoir", avant que la Maison-Blanche ne tempère ses propos, tandis que Zelensky a appelé à la fourniture de plus d'armes et que les combats se poursuivent près de Kiev.
Plus d’un mois après le début de l’offensive russe, les soldats de Moscou opèrent sur plusieurs fronts. Près de la frontière à l’est, la ville de Kharkiv est encerclée et quotidiennement pilonnée. Dans la ville de Marioupol, les civils encore présents composent avec les tirs de roquettes et missiles.
En déplacement en Pologne samedi, le président américain Joe Biden a décrit Vladimir Poutine comme un "boucher" et un "dictateur". Cette sortie a été mal accueillie par le Kremlin. Dans la foulée, la Maison Blanche est revenue sur les propos du président des États-Unis.
Les habitants de Kiev ne croient pas au revirement de l'armée russe, qui a annoncé samedi se concentrer sur le Donbass. Pour eux, il s'agit de gagner du temps par rapport aux négociations, alors que les combats continuent autour de la capitale ukrainienne.
Les Ukrainiens ont-ils raison de ne pas croire au revirement stratégique annoncé par l'armée russe ? Les évènements d'hier ont en effet de quoi interroger. Quelques heures après avoir affirmé concentrer ses efforts sur le Donbass, les forces russes ont frappé à l'Ouest. Deux missiles ont touché Lviv, ville située à quelques kilomètres de la frontière polonaise, devenu une zone de repli pour de nombreux déplacés et jusqu'ici relativement épargnée.
Un champ de ruine, voilà ce qu'il reste de Marioupol. Selon la mairie, 80% des infrastructures de la ville ont été détruites par les forces russes.
Le commandement russe a créé la surprise en annonçant concentrer son offensive sur l'est de l'Ukraine.
Antoine Heulard, correspondant de BFMTV à Washington, revient sur les propos de Joe Biden à l'égard de Vladimir Poutine.
A Kharkiv, la deuxième ville d'Ukraine située à l'Est, près de la frontière avec la Russie, les habitants restés dans la ville vivent au rythme des tirs de roquettes et des missiles.
1000 Ukrainiens considérés comme en âge de résister ont été questionnés par un think tank norvégien.
Sur le terrain en Ukraine, ce samedi marquait le 31e jour des combats. L'armée russe a annoncé hier vouloir désormais concentrer ses efforts militaires sur l'est du pays. Mais aujourd'hui à l'ouest, la ville de Lviv a subi deux frappes des hommes de Vladimir Poutine. Alors, comment réagissent les Ukrainiens sur place ?
"La balle est maintenant dans le camp de la Pologne", a estimé le ministre des Affaires étrangères ukrainien Dmytro Kouleba.
De nouveaux bombardements ont eu lieu dans l'ouest de l'Ukraine alors que l'armée russe avait, la veille, affirmé vouloir se concentrer sur l'est du pays. Dans le même temps, le président des États-Unis Joe Biden a une nouvelle fois vivement critiqué Vladimir Poutine.
Joe Biden, était ce samedi en Pologne, principal pays d'accueil des réfugiés ukrainiens. Après sa rencontre avec son homologue Andrzej Duda, le président des États-Unis s’est exprimé depuis le Palais royal de Varsovie.
Jean Lassalle était l'invité de BFMTV ce samedi soir. Le candidat à l’élection présidentielle s'est exprimé sur le rôle d’Emmanuel Macron dans les pourparlers sur la guerre en Ukraine.
Le président des États-Unis a violemment tancé son homologue russe, qu'il a qualifié de "dictateur" dans un long discours.
Joe Biden, était ce samedi en Pologne, principal pays d'accueil des réfugiés ukrainiens. Après sa rencontre avec son homologue Andrzej Duda, le président des États-Unis s’est exprimé depuis le Palais royal de Varsovie.
UJoe Biden, était ce samedi en Pologne, principal pays d'accueil des réfugiés ukrainiens. Après sa rencontre avec son homologue Andrzej Duda, le président des États-Unis s’est exprimé depuis le Palais royal de Varsovie.
De Joe Biden à Volodymyr Zelensky, beaucoup de dirigeants craignent que la Russie utilise des armes chimiques. Est-ce possible? En possède-t-elle encore? BFMTV fait le point sur la question.
