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Le pangolin d’Afrique, l’animal le plus braconné du monde

Le pangolin d’Afrique, l’animal le plus braconné du monde

Son corps est recouvert d’écailles, il possède de petites pattes griffues et se nourrit de fourmis et de termites, à l’aide d’une longue langue gluante. Cet animal atypique est aussi le mammifère le plus chassé dans le monde. Bien plus, en nombre, que les éléphants et les rhinocéros réunis. En Chine, la viande de pangolin est très appréciée et des restaurateurs sont prêts à débourser environ 1.750 euros pour se le procurer. Mais, c’est surtout pour ses écailles que ce fourmilier est chassé. Elles sont soit disant parées de nombreuses vertus curatives et aphrodisiaques. En Afrique aussi, l’animal est aussi un cadeau de luxe à qui on prête des pouvoirs magiques. Glissées dans la poche, les écailles du petit mammifère protégeraient du mauvais œil. En réalité, les écailles du pangolin ne sont guère plus que de la simple kératine, dépourvue de principe actif.

Le Mexique a son premier lion blanc né en captivité

Le Mexique a son premier lion blanc né en captivité

C’est la nouvelle mascotte de ce zoo de la ville de Tlaxcalan, au Mexique. Ce petit lion blanc est né le 28 octobre mais le zoo a annoncé la nouvelle ce jeudi. Le petit lion pesait 700 grammes et mesurait 25 centimètres à la naissance. Le félin est surveillé en permanence par le personnel du zoo. Il a en effet été rejeté par sa mère dès la naissance et a été élevé par les vétérinaires et les gardiens du parc animalier. Dans les jours à venir, des enfants seront invités à nommer le lion blanc dans le cadre d’un concours. Le nom du lionceau sera annoncé le 4 février.

Deux singes clonés pour mieux étudier les cancers chez l’Homme

Deux singes clonés pour mieux étudier les cancers chez l’Homme

Soixante-dix-neuf essais plus tard, des scientifiques chinois ont fait naître deux singes clonés dans leur laboratoire. Les deux macaques ont été créés à partir de cellules somatiques en utilisant la même méthode que pour la brebis Dolly, en 1996. Elle consiste à prélever le noyau d'une cellule avec son ADN - dans le cas présent, dans du tissus fœtal - pour l'implanter dans un ovocyte non fécondé dont le noyau a été retiré. L'idée est ensuite de s'appuyer sur ces clones pour étudier certaines maladies comme les cancers ou les maladies génétiques. Les deux singes clonés sont, pour le moment, en bonne santé. L'expérience devrait être retentée dans les prochains mois.