Un conteur et un entraineur suspectés de viols: la semaine de la justice

BFMTV.com revient sur l'actualité judiciaire marquante des sept derniers jours. Cette semaine, un conteur condamné pour avoir violé sa jeune voisine et une nouvelle plainte contre l'entraîneur de tennis de Levallois. Quant à Nicolas Bedos, il a été relaxé dans une affaire qui l'opposait à Marine Le Pen.

Si l'actualité judiciaire cette semaine vous a échappé, BFMTV.com vous propose de vous mettre à la page en un coup d'oeil.

• Humilié. Chaque mois, la douleur est ravivée. Près de dix ans après avoir perdu Ludivine, sa fille, violée et sauvagement assassinée à Guérande en Loire-Atlantique, Michel Guihard se sent humilié par le tueur qui lui envoie tous les mois quelques centimes d'euros d'indemnité.

• Condamné. Un conteur de 70 ans a été condamné mercredi à 10 ans de prison pour de multiples viols d'une collégienne, dont il a eu un enfant lorsqu'elle avait entre 10 et 13 ans.

• L'autre affaire Bygmalion. L'hebdomadaire Le Point affirme que Patrick de Carolis, déjà mis en examen pour "favoritisme" dans l'enquête sur des contrats entre France Télévisions et Bygmalion, a reçu de 120.000 euros via sa société de conseil. L'ex-Pdg du groupe audiovisuel a porté plainte en diffamation.

Le bras de fer du plateau des "Mille vaches"

• Revers. Une quatrième plainte vient d'être déposée contre Andrew Geddes, l'entraîneur de tennis de Levallois, soupçonné de viols. Il est incarcéré depuis le 8 mai.

• Relaxe. Dans une chronique publiée par l'hebdomadaire Marianne, l'humoriste Nicolas Bedos avait qualifié Marine Le Pen de "salope fascisante". Il a été relaxé mercredi des poursuites pour injures intentées par la présidente du Front national.

• Agriculture. Les cinq militants de la Confédération paysanne en garde à vue depuis mercredi car soupçonnés de dégradations sur le chantier de la ferme dite des "Mille vaches" sont convoqués au tribunal correctionnel d'Amiens, le 1er juillet. Vendredi, le conseiller agriculture de François Hollande avait été brièvement retenu par des membres de "la Conf'".

Aurélie Delmas