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Têtes couronnées

Couronnement de Charles III: le compositeur Karl Jenkins jure qu'il n'était pas Meghan Markle déguisée

Le musicien Sir Karl Jenkins à Buckingham Palace le 6 octobre 2015

Le musicien Sir Karl Jenkins à Buckingham Palace le 6 octobre 2015 - JOHN STILLWELL / POOL / AFP

Après avoir interloqué les réseaux sociaux lors du couronnement de Charles III à l'abbaye de Westminster samedi, Sir Karl Jenkins a rétabli la vérité: il s'agissait bien de lui et pas Meghan Markle déguisée pour assister coûte que coûte à la cérémonie.

"C'est bien moi." Le musicien et compositeur Sir Karl Jenkins a répondu ce mercredi aux spéculations nées sur les réseaux sociaux après son apparition lors du couronnement du roi Charles III samedi. Face à l'engouement, l'artiste de 79 ans a dû jurer, dans une vidéo sur son compte TikTok, qu'il ne s'agissait pas de Meghan Markle - absente de la cérémonie - venue à l'abbaye de Westminster pour voler les joyaux de la Couronne.

"Je comprends qu'il y a eu beaucoup d'intérêt pour moi depuis que j'ai assisté au couronnement du roi Charles III", a-t-il déclaré. "J'étais là parce que j'avais écrit de la musique pour le service."

Le Gallois a en effet composé une pièce interprétée lors de la cérémonie et jouée par l'orchestre du couronnement, avait indiqué la BBC la semaine dernière. D'où son invitation à Westminster et les réactions des internautes.

Un mulet et une moustache

Diffusé en mondovision, le couronnement de Charles III a été scruté jusqu'au moindre détail. Quand Sir Karl Jenkins est apparu sur les écrans, avec ses grandes lunettes, sa moustache et son mulet, beaucoup y ont vu l'apparence parfaite pour quiconque voudrait s'introduire dans cette cérémonie si sélective.

Tous les tabloïds et médias anglo-saxons s'en sont d'ailleurs donné à cœur joie. "Les fans de la famille royale convaincus que Meghan Markle s'est introduite au couronnement grâce à un déguisement", a par exemple titré le New York Post.

"Oh, et ma moustache... J'ai la moustache depuis que j'ai 18 ans. C'était très tendance à l'époque. Alors, c'est bien moi. Rien de sinistre ou de surprenant à ce sujet", a commenté le compositeur devant ses 107.000 abonnés.

Théo Putavy