Ce lundi, quelques jours après Pfizer, la société de biotechnologie américaine Moderna annonce que son vaccin contre le coronavirus est efficace à 94,5%.
Soignants et chercheurs britanniques examinent 500 patients jeunes et jusqu'ici en bonne santé atteints depuis plusieurs mois du Covid-19. Selon des données préliminaires, les organes des individus de ce profil présentent parfois anomalies et altérations.
Pour Tedros Adhanom Ghebreyesus, il faudra poursuivre les tests, le traçage, l'isolement des malades même après l'arrivée d'un vaccin.
Dans un entretien accordé au groupe Ebra et publié ce lundi, Olivier Véran a estimé que tout portait "à croire que nous av(ions) passé un pic épidémique" .
Le ministre de la Santé, en déplacement près de Lyon pour coordonner l'évacuation de patients Covid, considère qu'il est encore trop tôt pour envisager un éventuel déconfinement début décembre.
Le ministre de la Santé est à l'aéroport de Lyon-Bron où des transferts de patients sont effectués.
Le président de la République espère un nouveau multilatéralisme dans l'accès mondial au vaccin anti-Covid mais exprime son inquiétude sur une éventuelle "diplomatie du vaccin" dans une interview donnée à la revue Grand Continent.
Dans une interview accordée au groupe Ebra, le ministre de la Santé assure qu'une campagne de vaccination ne pourra se faire que si le vaccin est sans danger pour la population.
"Une bonne nouvelle", enfin. Dans une interview accordée au groupe Ebra - qui possède neuf quotidiens régionaux dont Le Dauphiné libéré, Le Progrès, Dernières Nouvelles d'Alsace et L'Est républicain - le ministre de la Santé a salué la légère embellie que connaît la France dans la deuxième vague de Covid-19.
Pour la première fois depuis le début de la seconde vague, les médecins observent une légère amélioration dans les hôpitaux. Le nombre d'entrées en réanimation de ces dernières 24 heures n'a jamais été aussi bas depuis trois semaines. Selon Bruno Mégarbane, chef du service de réanimation médicale à l'hôpital Lariboisière, cette embellie est due à un confinement efficace et respecté.
33.466 patients sont hospitalisés en France à cause du Covid-19, un chiffre stable par rapport à la veille. Depuis hier, 508 personnes sont décédées à l'hôpital.
Dans une interview accordée au groupe Ebra, il appelle cependant à ne pas relâcher les efforts, "nous n'avons pas encore vaincu le virus".
Autre record, pour la première fois, l'OMS a enregistré plus de 9500 morts sur trois jours consécutifs.
Les services de réanimation comptent, au total, 4880 personnes atteintes de la maladie infectieuse, dont 270 entrées depuis la samedi.
Maud est maman de Léon, un petit garçon de six mois né lors du premier confinement. En arrivant à l'hôpital en mars dernier, elle se retrouve à porter un masque au moment d'accoucher. Elle raconte son expérience.
Invité sur BFMTV, il se dit favorable à la réouverture des lieux de culte et des petits commerces à condition que les gestes barrières soient strictement respectés.
Pour avoir un retour à la normal à l'hiver 2021, le Pr Ugur Sahin estime "absolument essentiel" d'avoir un haut taux de vaccination avant l'automne 2021.
Le professeur Éric Caumes était ce dimanche invité de BFMTVSD sur BFMTV. Interrogé sur la fin de l'année à venir avec l'épidémie de Covid-19, il a estimé qu'"il va falloir déconfiner très progressivement". Il a également déclaré être "optimiste pour pouvoir passer des vacances en famille restreinte".
Dans les colonnes du JDD, Philippe Amouyel, Luc Dauchet et Emmanuel Hirsch soulignent la nécessité d'une participation plus importante des citoyens dans l'élaboration de la stratégie de déconfinement.
Philippe Amouyel, professeur de santé publique au CHU de Lille, est l'un des cosignataires d'une tribune dans le Journal du Dimanche pour "un développement durable, solidaire et citoyen". Sur BFMTV, il a lancé un appel pour "préparer dès à présent la sortie de confinement". Il propose notamment une campagne de dépistage massif pour identifier les personnes asymptomatiques.
Lex-directeur de l'institut Pasteur Patrick Berche était ce dimanche invité de BFMTV pour évoquer la deuxième vague de l'épidémie de Covid-19 que traverse la France. Il a alerté sur "des rebonds du virus si on se relâche", et estime que "cette épidémie va encore durer pendant des mois".
Partout en France, des catholiques se sont réunis ce dimanche matin pour protester contre la fermeture des lieux de cultes. L'évêque de Valence Pierre-Yves Michel a estimé que ces rassemblements "ne sont pas le bon signe à donner".
La directrice du Samu 95 était ce dimanche matin invitée de BFMTV. Interrogée sur le confinement allégé, elle a affirmé que "c'est efficace" pour lutter contre la propagation du Covid-19. "Il ne faut surtout pas relâcher les efforts maintenant, parce que sinon c'est comme si on avait rien fait", a-t-elle ajouté.
Pour la première fois de cette seconde vague, le nombre de malades du Covid-19 en réanimation est en baisse en France. Les appels au Samu se stabilisent également. Mais les médecins appellent à ne surtout pas "relâcher les efforts maintenant."
300 personnes étaient réunies dans la nuit de vendredi à samedi pour faire la fête dans une villa de Joinville-le-Pont, dans le Val-de-Marne. Des policiers ont été victimes de jets de projectiles lorsqu’ils ont tenté d’interrompre la soirée. le tout. Une personne est positive au COVID 19 selon les autorités, qui redoutent un cluster.
Une fête clandestine réunissant 300 personnes a été interrompue par la police dans la nuit de vendredi à samedi à Joinville-le-Pont, dans le Val-de-Marne. Pour le maire de la ville Olivier Dosne, cette soirée était "un cluster géant". Dans un communiqué, la préfecture de police a indiqué hier qu'au moins un participant était positif au Covid-19.
Le nombre de malades du Covid-19 décédés à l'hôpital lors des dernières 24 heures s'est élevé à 359, et 327 patients ont été admis en réanimation.
Si la situation s'améliore légèrement, le taux d'incidence dans la région reste encore bien supérieur par rapport au niveau national.
Une soirée clandestine réunissant 300 personnes s'est déroulée dans la nuit de vendredi à samedi à Joinville-le-Pont, dans le Val-de-Marne. Elle a été stoppée par la police, qui avait été appelée pour tapage nocturne. L'un des participants a été testé positif au Covid-19. La préfecture de police "invite les participants à se faire dépister dans les meilleurs délais".
Sur les 300 à 400 individus ayant participé à cette fête clandestine, au moins l'un d'entre eux était positif à la maladie. La préfecture les appelle à rester confinés pour éviter une plus large propagation du virus.
Alors que les fêtes de fin d'année se profilent, les Français se demandent comment ils vont pouvoir passer Noël en famille. Le gouvernement se montre assez flou sur le sujet, et les familles se préparent à tous les scenarii.
L'infectiologue au Centre hospitalier Métropole Savoie Olivier Rogeaux a estimé ce samedi que "le confinement marche" pour lutter contre la deuxième vague de Covid-19. "Mais il va falloir le garder de façon très stricte", a-t-il ajouté.
L'EMA prévoit de donner son avis favorable à un premier vaccin "d'ici la fin de l'année". Il faudra qu'au moins la moitié de la population européenne se vaccine pour faire décliner la pandémie.
Nos voisins européens font eux aussi face à une forte deuxième vague de Covid-19. Le pic pourrait être atteint prochainement dans les pays alentours aussi.
Invité ce samedi sur le plateau de BFMTV, le chef du service de réanimation de l'hôpital Ambroise-Paré, à Boulogne-Billancourt, estime que le plateau a été atteint mais invite les Français à poursuivre leurs efforts.
Le chef du service de réanimation de l'hôpital Ambroise-Paré à Boulogne-Billancourt Antoine Vieillard-Baron est intervenu sur BFMTV pour évoquer la tension hospitalière dans les hôpitaux d'Île-de-France avec la crise du Covid-19. Il a estimé que la situation est "moins inquiétante ce que qu'on redoutait", et ce "grâce aux effets du cuvre-feu et aux efforts réalisés".
Rendez-vous annulé, opération déprogrammée ou greffe reportée: de nombreux patients craignent pour leur santé et leur avenir avec la saturation des hôpitaux par les malades du Covid.
Comme d'autres établissements en France, l'hôpital privé d'Antony doit faire face à la deuxième vague de Covid-19. "C'est difficile à supporter parce qu'on a moins de renforts", raconte une infirmière à BFMTV.
La Belgique a atteint cette semaine le pic de la deuxième vague de la pandémie de coronavirus avec près de 1500 malades hospitalisés en soins intensifs, un chiffre désormais en recul selon les autorités sanitaires.
Ces tests qui permettent d'avoir un résultat en 15 à 30 minutes sont prévus notamment pour les personnels des établissements médico-sociaux et les passagers aériens.
Le nombre de patients hospitalisés et admis en réanimation en France est stable par rapport à la veille. Plus de 32.600 personnes sont à ce jour hospitalisées sur le sol national.
Selon les derniers chiffres de Santé publique France publiés ce vendredi soir, 2841 patients supplémentaires ont été hospitalisés et 467 morts supplémentaires ont enregistrés ces dernières 24 heures.
Au cours de la deuxième quinzaine d'octobre, l'Insee a compté dans l'ensemble du pays 1930 décès en moyenne par jour, soit 18% de plus qu'à la même période de 2019, selon les chiffres encore provisoires publiés par l'Institut national de la statistique.
Le Dr Édouard Sage de l'hôpital Foch de Suresnes, en région parisienne, donne, sur BFMTV, des nouvelles du premier malade du Covid-19 ayant reçu une greffe des poumons en France.
L'hôpital Foch a réalisé la première greffe pulmonaire sur un malade covid en France.
Le docteur Edouard Sage raconte sur BFMTV ce vendredi soir avoir réussi une greffe des poumons sur un patient atteint du Covid-19, âgé de 58 ans.
Les Sages de la rue de Montpensier ont jugé en l'espèce "qu'il n'y avait pas lieu de remettre en cause l'appréciation", par la majorité parlementaire, de la gravité de la situation sanitaire.
Cette "légère baisse" concerne notamment le nombre de nouveaux cas confirmés, qui "diminue de 14% avec 286.972 nouveaux cas contre 333.371" la semaine précédente.
Trente-deux cas positifs ont été détectés parmi les résidents, dans cet établissement situé dans le 4e arrondissement de Lyon, qui compte 80 pensionnaires. Un confinement a été instauré.
Alors que des tests antigéniques sont déployés en France, la question de leur usage à grande échelle se pose, mais cet outil contre l'épidémie comporte des limites, et son utilisation reste très encadrée.
