Le président LR de Charente-Maritime ne se rendra pas au Bureau politique qui doit entériner l'exclusion de Gérald Darmanin, Edouard Philippe mais aussi des Construtifs comme Thierry Solère et Franck Riester.
Eric Dillies, qui mène le Front national lillois, a déclaré sa candidature vendredi à la présidence du FN. Il réclame un délai supplémentaire car il n'a plus que quelques heures pour déposer les parrainages nécessaires.
Dans sa chronique Bonnes opinions, le président de l'Institut Elabe, Bernard Sananès, s'est intéressé à l'image d'Emmanuel Macron, après son premier grand oral télévisé. - Les bonnes opinions, du vendredi 20 octobre 2017, présenté par Bernard Sananès, sur BFMTV.
Invité sur BFMTV ce vendredi, Florian Philippot s’est montré très critique à l’égard du parti dont il a été vice-président pendant cinq ans et qu’il a quitté il y a un mois. Le fondateur des Patriotes a estimé que le FN était en train de "revenir en arrière". "Je pense qu’ils veulent devenir un gros syndicat anti-immigration", a-t-il déclaré.
Invité sur BFMTV ce vendredi, Florian Philippot a eu la dent dure contre Marine Le Pen, au lendemain de la rentrée médiatique de cette dernière avec L’Émission politique. L’ancien bras droit de la présidente du FN a dit s’être "pas mal ennuyé" et peu "surpris par le bide d’audiences". "J’ai vu une Marine Le Pen que je ne reconnais plus", a assuré le fondateur des Patriotes, ajoutant que "ça manquait d’énergie et de conviction".
Florian Philippot, ex-numéro deux du Front national et actuellement président des Patriotes, a abondamment critiqué ce vendredi le passage télévisé de Marine Le Pen la veille dans L'Emission politique sur France 2. Il a, plus largement, contesté la nouvelle orientation défendue par son ancienne patronne.
L'ex-assistante parlementaire du député de Moselle raconte à Franceinfo avoir été victime de "harcèlement sexuel" et d'"agression sexuelle". Elle a porté plainte pour ces mêmes faits.
Ex-bras droit d'Alain Juppé, Edouard Philippe s'est rendu à Bordeaux ce vendredi après-midi. Pour la première fois depuis son arrivée à Matignon, le Premier ministre s'est affiché aux côtés du maire de la ville, son ancien mentor. Les deux hommes se sont rendu compliment pour compliment devant la presse.
Le débat sur la transformation de l'impôt sur la fortune (ISF) agite les députés de la majorité. Certains d'entre eux expriment leur malaise par rapport à la proposition très symbolique du gouvernement d'extraire de l'ISF les yachts, les lingots d'or ou les voitures de luxe. Peu à peu, les langues se délient parmi les députés.
Emmanuel Macron, à l'occasion du conseil européen à Bruxelles, a estimé que "nous sommes loin du compte sur le plan des engagements financiers" pris par le Royaume-Uni dans le cadre du Brexit. "Si nous souhaitons être sûr que personne ne devra payer davantage, et que le Royaume-Uni honorera l'ensemble de ses engagements, je dirai qu'aujourd'hui nous sommes loin d'avoir atteint les engagements financiers nécessaires", a-t-il insisté.
Emmanuel Macron, à l'occasion du conseil européen à Bruxelles, a réaffirmé sa "volonté de définir une doctrine européenne rapidement" concernant les géants du numérique. "Il est tout à fait possible de combiner notre compétitivité européenne et notre capacité à créer une taxation du numérique", a-t-il déclaré, rappelant que "les acteurs du numérique jouissent aujourd'hui d'une situation de concurrence déloyale".
L'ancien candidat du PS à la présidentielle revendique "près de 30.000 adhérents" et pourrait "passer devant le PS", selon lui.
Après avoir vu son numéro diffusé sur Internet, le chef de l'Etat a choisi d'en changer. Parfois pour la plus grande surprise de ses ministres.
Nadine Morano est fidèle à son parti Les Républicains. Pour l'eurodéputée, ses collègues constructifs à l'égard d'Emmanuel Macron ou qui sont entrés au gouvernement ne méritent aucune considération. "'Constructif', c'est le mot de code pour traître !", affirme-t-elle vendredi sur BFMTV et RMC. Et sans surprise Nadine Morano se montre favorable à leur expulsion de Les Républicains.
Invité ce vendredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Nadine Morano s'est "forcée à regarder" l'Emission politique sur France 2 ce jeudi soir, dont Marine Le Pen était l'invitée. L'eurodéputée a notamment fustigé son "incompétence à propos de l'euro". "Elle sort, elle sort plus (…) Les Français ne veulent pas de Marine Le Pen en tant que Présidente", a-t-elle affirmé.
Alors que l’Élysée songe à commémorer les 50 ans de Mai 68, Christophe Barbier, éditorialiste politique à BFMTV a estimé ce vendredi que cette période avait également entraîné "des errances et des erreurs monumentales". "Il y a eu du très bon et du très très très mauvais et je ne vous parle pas du rapport au travail. C’est le moment où on a commencé à casser le goût de l’effort chez les Français", a-t-il poursuivi.
Ce jeudi soir, sur le plateau de L'Emission politique sur France 2, la présidente du Front national a évoqué le débat d'entre-deux tours de la présidentielle où sa performance avait été jugée ratée, jusque dans les rangs de ses partisans. Elle a assuré que l'événement n'avait pas amoindri la confiance que les Français pouvaient avoir en elle.
Ce jeudi 19 octobre 2017, Salhia Brakhlia s’est intéressée à la Foire internationale d'art contemporain FIAC, qui vient d'ouvrir ses portes au Grand Palais, à Paris. Une manifestation riche de près de 200 galeries, provenant d' une trentaine de pays différents, et où l'on rencontre quelques uns des plus gros contribuables de France. - L'œil de Salhia, du lundi au jeudi, dans Grand Angle, sur BFMTV.
Marine Le Pen s'est exprimée sur la question de l'euro ce jeudi soir sur le plateau de L'Emission politique de France 2. Elle n'a pas indiqué de cap clair à ce sujet.
"Grand Angle" a suivi Michèle Marchand, dite "Mimi", baronne de la presse people et conseillère officieuse des Macron. Un profil atypique face au reste de l'entourage du couple présidentiel.
Sur le plateau de L'Emission politique ce jeudi soir sur France 2, Marine Le Pen a expliqué pourquoi elle touchait désormais 5.000 euros net par mois contre 3.000 euros net auparavant pour ses responsabilités à la tête du Front national.
L'animateur Stéphane Bern a été convoqué par le ministre de l'Intérieur à la suite d'un tweet peu apprécié par ce dernier.
La présidence veut commémorer cette date "sans dogme ni préjugé".
La discussion du budget est parfois très technique. Alors pour mieux partager sa vision d'un point de fiscalité pour 2018, Charles de Courson a usé d'une comparaison avec la cocaïne inattendue, quitte à surprendre bon nombre de ses collègues avant qu'ils n'éclatent de rire.
Emmanuel Macron est arrivé ce jeudi au sommet de Bruxelles. Le président de la République a assuré qu'il "sera question d'une Europe qui protège", "une Europe qui sait trouver les bons accords de libre-échange" et "une Europe de la projection et de l'ambition".
Avec les échecs électoraux et l'incapacité du FN à incarner la première force d'opposition à Emmanuel Macron, les sondages font ressortir un doute chez les sympathisants du Front national.
Depuis des mois, elle est dans l’ombre de la communication du couple présidentiel. Michèle Marchand, surnommée "Mimi", côtoie les Macron. Directrice de l'agence BestImage, elle les a guidés durant la campagne. Chaque semaine, elle continue toujours de rendre visite à Brigitte Macron à l'Élysée. Retrouvez le reportage complet dans Grand Angle ce jeudi à 22h45 et 23h45 sur BFMTV.
"La transparence ne me fait pas peur" a fait savoir ce matin Bruno Le Maire à l'Assemblée lors de la discussion du budget 2018. Il répondait ainsi à un député lui demandant comme l'ont fait 120 parlementaire dans l'appel de "Libération" de rendre public l’impact de sa réforme de l'impôt de solidarité sur la fortune.
Le premier ministre a déploré les critiques de François Hollande concernant la politique menée par le nouveau gouvernement, l'incitant à faire preuve "d'humilité". L'ancien gouvernement n'a pas tardé à réagir.
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Le secrétaire général de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly, s'est agacé mercredi des critiques distillées depuis le début de la semaine par le chef de file de La France insoumise.
Le magazine les Inrocks a reconnu mardi que sa Une sur Bertrand Cantat, qui a fait polémique, était "contestable", après un éditorial cinglant du magazine Elle consacré à la mémoire de son ex-compagne Marie Trintignant, morte sous ses coups.
Invité ce jeudi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Adrien Quatennens, fan de Noir Désir, a réagi à la une polémique des Inrocks sur Bertrand Cantat. "Ce n'était pas bienvenu (…) Par contre, je considère que faire de Bertrand Cantat l'étendard des violences faites aux femmes est un peu opportuniste", a estimé le député de la France insoumise.
Invité ce jeudi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Adrien Quatennens a évoqué la proposition de Pierre Gattaz, le patron du Medef, d'instaurer des contrôles hebdomadaires ou journaliers des chômeurs. "C'est absurde (…) Pourquoi pas le bracelet électronique tant qu'on y est", a ironisé le député de la France insoumise.
Invité ce jeudi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Adrien Quatennens s'est dit favorable à l'instauration de 14 tranches d'imposition, contre 5 actuellement. Le député de La France insoumise assure ainsi que l'impôt sur le revenu baisserait pour tous les ménages qui touchent moins de 4.000 euros par mois.
Pour sa première grande émission de télévision depuis la campagne présidentielle, Marine Le Pen fera face au ministre de l'Action et des comptes publics Gérald Darmanin. Un choix qui n'a pas été aisé, tant les politiques se sont dérobés au fil des invitations.
Ce mercredi soir, lors d'un entretien télévisé, Laurent Wauquiez, candidat à la présidence des Républicains, a réagi aux déclarations de ses détracteurs au sein de son parti.
Ce mercredi 18 octobre 2017, Salhia Brakhlia s’est intéressée aux difficultés rencontrées par le Parti socialiste. Après la mise en vente de son siège historique, rue Solférino à Paris, le parti prépare "un projet de réorganisation du siège national, suite à la succession de mauvais résultats électoraux". Ces résultats ont entraîné une baisse de 75% du financement public du parti, soit une perte d'environ 100 millions d'euros de recettes. Un plan social qui implique également une soixantaine de suppressions d'emploi, soit près de la moitié des effectifs. Pour les personnalités de l'aile gauche du PS, le responsable de la débâcle est François Hollande. - L'œil de Salhia, du lundi au jeudi, dans Grand Angle, sur BFMTV.
Emmanuel Macron, dont les relations avec François Hollande, son ancien protecteur, sont des plus tendues, a adopté le style rhétorique de Nicolas Sarkozy, reprenant ses mots pour évoquer le domaine de la sécurité. Le chef de l'Etat a également loué sa réforme constitutionnelle de 2008 et se retrouve accusé de mener la même politique économique que son prédécesseur.
Rachida Dati, ancienne Garde des Sceaux de François Fillon et actuellement maire du 7e arrondissement de Paris, était l'invitée de Ruth Elkrief ce mercredi soir. Au sujet du harcèlement sexuel, et en pleine affaire Weinstein, elle a appelé à ne plus craindre de dénoncer le comportement de certains membres des élites.
Lors de son premier discours sur la sécurité, le président de la République a annoncé mercredi vouloir durcir les sanctions contre ceux qui s'en prennent aux forces de l'ordre. Parallèlement, Emmanuel Macron rappelle policiers et gendarmes à leur devoir d'exemplarité.
Les Français accueillent défavorablement la réforme de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), indique le nouveau sondage "L'opinion en direct" de l'institut Elabe que nous diffusons ce mercredi.
Alors que le siège historique du Parti socialiste est officiellement en vente, des voix appellent à déménager dans un quartier plus populaire que le 7e arrondissement de Paris. Au risque de s'éloigner trop des lieux de pouvoir?
Emmanuel Macron prononce mercredi depuis l'Elysée un discours qui se veut "fondateur" sur la politique de sécurité face aux représentants des forces de l'ordre, sur fond de menace terroriste persistante et de grogne policière.
Emmanuel Macron a prononcé ce mercredi depuis l'Élysée un discours qui se veut "fondateur" sur la politique de sécurité face aux représentants des forces de l'ordre, sur fond de menace terroriste persistante et de grogne policière. Le chef de l’État a notamment affiché sa volonté de lutter contre le radicalisme "dès le plus jeune âge" avec une "politique de prévention assumée".
Emmanuel Macron prononce mercredi depuis l'Elysée un discours qui se veut "fondateur" sur la politique de sécurité face aux représentants des forces de l'ordre, sur fond de menace terroriste persistante et de grogne policière.
