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Harcèlement de rue: "On fera en sorte qu’il y ait du flagrant délit", explique Schiappa

Harcèlement de rue: "On fera en sorte qu’il y ait du flagrant délit", explique Schiappa

"J’ai installé un groupe de travail avec les ministères de l’Intérieur et de la Justice avec cinq députés qui sont en train de travailler pour caractériser le harcèlement de rue", a déclaré ce vendredi 6 octobre sur BFMTV Marlène Schiappa, secrétaire d’état chargée de l’égalité femmes-hommes. "On mettra des amendes et on fera en sorte qu’il y ait du flagrant délit", a-t-elle poursuivi. 

"Bordel": "Le Président ne savait pas qu’il était filmé", selon Marlène Schiappa

"Bordel": "Le Président ne savait pas qu’il était filmé", selon Marlène Schiappa

"Le mot ‘bordel’ ne m’a pas dérangé. Le président de la République ne savait pas qu’il était filmé", a estimé Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’égalité femmes-hommes. Mercredi, Emmanuel Macron avait regretté que les salariés de GM&S "foutent le bordel" plutôt que de chercher du travail ailleurs. "On a tous un niveau de langage un peu plus familier lorsqu’on est entre nous sans caméra. Il faut sortir de ces petits débats", a-t-elle continué. 

L'œil de Salhia: DSK fait la leçon à Emmanuel Macron

L'œil de Salhia: DSK fait la leçon à Emmanuel Macron

Ce jeudi 5 octobre 2017, Salhia Brakhlia est revenue sur le premier discours de DSK depuis l'affaire du Sofitel de New York. Lors d'un hommage privé à l'ancienne ministre Nicole Bricq au Conseil économique, social et environnemental, Dominique Strauss-Kahn a évoqué les valeurs de la gauche devant une audience conquise et en présence de François Hollande et d'Emmanuel Macron. Faisant figure de revenant, il a pris la parole au même titre que ces derniers. Il a notamment fait la leçon au président de la république, en lui rappelant que les compromis entre droite modérée et gauche modérée étaient possibles, mais que cela ne mettait pas fin à la droite et à la gauche. - Du lundi au vendredi, l'œil de Salhia est un rendez-vous décalé sur l'actualité politique, sur BFMTV. Découvrez les images, les vidéos, les petites phrases ainsi que les polémiques du jour.

5 fois où Emmanuel Macron a été accusé de mépris

5 fois où Emmanuel Macron a été accusé de mépris

En visite ce mercredi après-midi en Corrèze, Emmanuel Macron a considéré que les salariés de GM&S devraient chercher du travail dans la fonderie voisine d'Ussel au lieu de "foutre le bordel" en marge de son déplacement. Et ce n'est pas la première fois qu'Emmanuel Macron est accusé de tenir des propos méprisants. En septembre, il s'en était pris aux "fainéants" qui s'opposerait à la loi Travail. En juin, le président de la République avait été épinglé pour sa phrase sur "les gens qui ne sont rien". Et en 2014, lorsqu'il était ministre de l'Économie, il avait estimé qu'il "y avait beaucoup d'illettrées" à l'abattoir de porcs Gad.